Invesco lance le fonds Sustainable Eurozone Equity Fund en partenariat avec UBS

La Rédaction
Le Courrier Financier

Invesco — gérant d'actifs mondial — annonce ce mercredi 19 avril le lancement du fonds Invesco Sustainable Eurozone Equity Fund. Le fond investira dans des entreprises européennes qui se démarqueront dans le cadre de la décarbonation de leurs activités. Lancé en partenariat avec UBS Global Wealth Management, le fonds sera géré par Oliver Collin et Steve Smith, gérants actions, avec le soutien de l'équipe d'investissement européenne élargie.

L’expérience d’Invesco en matière de gestion active, de recherche fondamentale et d'engagement auprès d'entreprises en mutation renforce la capacité de l'équipe à analyser la transition environnementale. Le fonds évaluera également la matérialité environnementale en s’appuyant sur des indicateurs financiers traditionnels pour déterminer la capacité d'une entreprise à s'adapter à un monde bas carbone.

Classé article 8, le fonds Invesco Sustainable Eurozone Equity Fund est lancé dans le but de soutenir la transition vers une économie bas carbone. Il ciblera des entreprises capables de réduire leurs émissions bien au-delà de celles émises par son indice de référence, le MSCI EMU (Net Total Return).

« Nous pensons que le rôle de la gestion active dans la réduction des émissions de carbone ne passe pas uniquement par des exclusions. Les stratégies qui, aujourd'hui, n'investissent que dans des entreprises exemplaires sur la question environnementale risquent de priver de capitaux celles qui peuvent jouer un rôle déterminant dans la réduction des émissions carbone à l'échelle mondiale. La transition énergétique nécessite des investissements, et nous pensons que c'est en sélectionnant et en accompagnant les entreprises qui ont la capacité de financer cette transition que nous créerons la plus grande valeur environnementale et économique. Cette nouvelle stratégie repose sur l’engagement avec les grands émetteurs, et non l’exclusion, et, par le biais d'une analyse financière traditionnelle, elle cherchera à modéliser la matérialité et la capacité de transition », déclare Stephanie Butcher, Senior Managing Director & Co-Head of Investments chez Invesco.

La gestion active du fonds comprend un engagement avec les équipes de direction pour soutenir leur analyse et, surtout, pour évaluer la volonté de changement de l'entreprise. Invesco mesurera également la réduction des émissions combinées de scope 1, 2 et 3 (mesurées en tonnes de CO2) du portefeuille et appliquera la même méthodologie pour comparer ces résultats à la réduction moyenne pondérée des émissions de l'indice.

Le fonds vise à surperformer l'indice de référence - l'indice MSCI EMU (Net Total Return) - à long terme, tout en cherchant à réduire plus avant les émissions de carbone par rapport à celles de son indice de référence à moyen ou long terme. Le fonds se concentrera sur les secteurs dont le changement potentiel est sous-évalué par le marché, reliant ainsi objectifs financiers et durables. Pour Invesco, combiner objectifs financiers et durables est la seule solution pour provoquer un véritable changement sur le long terme.

« La volatilité et l'incertitude persistantes sur les marchés ont souligné l'importance de la diversification entre les classes d'actifs, mais surtout au sein de celles-ci. Grâce à cette collaboration, nous offrons à nos clients une nouvelle stratégie dans l'univers de l'investissement durable qui se concentre sur les entreprises en transition, un secteur du marché qui a bénéficié d'une rotation accrue vers les stratégies value et cycliques », ajoute Philippe G. Müller, Head CIO Global IM Fund Investment Solutions, UBS Global Wealth Management.

Le fonds sera accessible aux investisseurs particuliers et institutionnels et certaines parts
seront enregistrées dans plusieurs pays européens.

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Marchés financiers : un mois sous le signe des turbulences bancaires

Tomas Hildebrandt
Evli Fund Management Company
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Taux, dette, croissance faible et banques attaquées : l’engrenage infernal

Thomas Planell
DNCA
Comment l'Europe se protège-t-elle de la crise bancaire ? Le risque idiosyncratique va-t-il se changer en risque systémique ? Les explications de Thomas Planell, CFA, gérant – analyste chez DNCA Finance.
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Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Investissement durable : UBS lève 440 millions de dollars pour le fonds Rockefeller

La Rédaction
Le Courrier Financier

UBS — société suisse de services financiers — annonce ce mercredi 24 juin investir dans le fonds Global Environmental, Social and Governance (ESG) Equity de Rockefeller Asset Management, division de Rockefeller Capital Management. Cette opération permet à UBS d'élargir ainsi les possibilités d’investissement durable proposées à ses clients.

Le fonds est un OPCVM proposé aux investisseurs particuliers et institutionnels. Il est enregistré à des fins de commercialisation dans divers pays, dont le Danemark, la Finlande, la France, l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Norvège, l’Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni.

Distribution du fonds

Spécialiste mondial de la gestion de fortune, UBS a procédé à une allocation directe dans ce fonds par le biais de son portefeuille multi-actifs 100 % durable. La valeur de ce portefeuille a dépassé les 10 milliards de dollars américains (USD) en début d’année.

Le fonds est aussi proposé aux clients d’UBS Global Wealth Management dans certains pays en tant que placement autonome. À travers ces canaux, UBS a jusqu’à présent levé 440 millions USD pour ce produit, lequel reste ouvert à l’investissement pour ses clients dans les régions concernées.

« L’investissement dans des sociétés cotées qui améliorent leur comportement constitue selon nous un volet important et croissant de l’investissement durable. Il s’agit également d’une partie essentielle de notre portefeuille multi-actifs 100 % durable pour les clients privés », déclare Andrew Lee, Head of Sustainable and Impact Investing d’UBS Global Wealth Management.

Approche « ESG Improvers »

La stratégie du fonds Rockefeller Global ESG Equity suit une approche dite « ESG Improvers » qui vise à identifier et à investir dans le capital de sociétés cotées qui améliorent leurs performances vis-à-vis des enjeux ESG majeurs et qui sont susceptibles de continuer à progresser dans ce domaine.

Les investisseurs sont ainsi exposés à l’évolution positive progressive de ces entreprises sur les questions ESG, ainsi qu’au bénéfice potentiel en termes de performance financière que peuvent apporter de telles améliorations. L’engagement des actionnaires auprès de ces entreprises peut également contribuer à susciter un changement positif.

De façon générale, les investissements axés sur les « ESG Improvers » font partie intégrante du portefeuille 100 % durable d’UBS GWM. Ils représentent environ 15 % d’une version équilibrée du portefeuille suivant les objectifs financiers et la tolérance au risque du client. « Une démarche axée sur les « ESG Improvers » constitue une alternative crédible aux stratégies plus traditionnelles basées sur l’identification d’entreprises déjà leaders en matière d’ESG », conclut David Harris, Chief Investment Officer, President de Rockefeller Asset Management et Co-Portfolio Manager.

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2020 : les investisseurs affichent leur optimisme, d’après une enquête UBS

La Rédaction
Le Courrier Financier

UBS Global Wealth Management (GWM) — filiale d'UBS, société de services financiers — publie ce vendredi 24 janvier sa nouvelle enquête trimestrielle sur la confiance des investisseurs. Ceux-ci ont une vision plus optimiste en ce début 2020. En effet, le niveau des liquidités décline et les inquiétudes suscitées par la situation politique nationale sont moins prégnantes.

L'enquête a été menée entre le 19 décembre et le 12 janvier derniers, auprès de plus de 4 800 investisseurs dotés d'un patrimoine d’une valeur minimale de 1 million de dollars américains (USD) ou affichant un chiffre d'affaires d'au moins 250 000 USD et employant au moins un salarié autre qu’eux-mêmes sur 19 marchés.

Optimismes régionaux

Selon cette enquête, 67 % des personnes interrogées se disent optimistes quant à l'économie de leur région, contre 61 % lors de celle réalisée trois mois auparavant. 60 % expriment leur optimisme concernant l'économie mondiale, contre 53 % auparavant.

65 % se montrent optimistes à l’égard des marchés boursiers de leur région (contre 56 %). Le niveau des liquidités passe de 27 % des portefeuilles à 25 %. En France, l'allocation en espèces est à un niveau plus bas comparé aux autres régions. Seuls 16 % des portefeuilles français sont en espèces, comparé à 30 % en Asie et 21 % aux États-Unis.

Après les performances de l'an dernier, les investisseurs ont des attentes élevées pour 2020. 94 % prévoient des performances positives et 44 % tablent sur des rendements à deux chiffres. Cette évolution fait suite à une année durant laquelle seules 5 % des personnes interrogées ont enregistré des performances négatives et 53 % des performances à deux chiffres.

Après l'accord commercial

C'est aux États-Unis que la confiance a le plus progressé. 68% des Américains interrogés se déclarent optimistes quant à l'économie de leur propre région, contre 55 % lors de l'enquête précédente. 64% expriment leur optimisme en ce qui concerne les marchés boursiers de leur région, contre 50 % trois mois auparavant.

Les investisseurs asiatiques affichent aussi une plus grande confiance. Ils enregistrent la deuxième meilleure progression.  Ils sont les plus optimistes dans l'ensemble. Plus de 70 % d'entre eux se disent confiants à la fois vis-à-vis de leur propre économie et des marchés boursiers. L'amélioration aux États-Unis et en Asie suit l'apaisement des tensions sino-américaines. Les investisseurs se sont enthousiasmés à l'égard des marchés émergents.

43 % citent la croissance des marchés émergents comme motif d'optimisme pour les marchés actions, ce qui en fait le facteur le plus souvent cité. 42 % citent la politique de leur pays parmi leurs principales préoccupations, contre 47 % lors de l'enquête précédente. Pour autant, 67 % des entrepreneurs anticipent un niveau de tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine au moins identique ces 5 prochaines années.

Quid du portefeuille d'UBS GWM ?

Le moral des investisseurs s'est avéré conforme au positionnement actuel du portefeuille d'UBS GWM. Le Centre des investissements d'UBS GWM opte pour une surpondération des actions en général — et des actions des marchés émergents en particulier — ainsi que pour une surpondération de la Chine parmi les actions des marchés émergents.

« Quasiment tous les investisseurs ont fait état de performances positives de leurs portefeuilles en 2019 et continué d'exprimer de fortes attentes pour 2020. L'optimisme à l'égard de l'économie et du marché boursier continue de grandir, mais les événements géopolitiques pourraient venir le tempérer à tout moment », déclare Paula Polito, vice-président de la division UBS Global Wealth Management.

Ces zones plus optimistes...

Les préoccupations relatives à la politique intérieure restent les plus vives aux États-Unis, où 55 % des personnes interrogées les considèrent comme une question majeure. Néanmoins, l'optimisme des entrepreneurs et des investisseurs s'est nettement amélioré. 75 % des entrepreneurs américains se disent optimistes quant à l'économie de leur région, 37 % d’entre eux ayant l’intention de recruter, contre 31 % il y a trois mois.

En Europe, l'optimisme des investisseurs a également rebondi début 2020. 57 % font preuve d’optimisme vis-à-vis du marché boursier de leur région, contre 50 % lors de l'enquête précédente. La proportion des optimistes sur les perspectives de l'économie régionale passe de 56 % à 58 %, et de 67 % à 72 % pour les entrepreneurs. À l'instar des États-Unis, les Européens placent la politique de leur pays au premier rang de leurs préoccupations (42 %).

Le regain d'optimisme des investisseurs asiatiques se retrouve chez les entrepreneurs. 72 % des entrepreneurs asiatiques se disent optimistes à l'égard de leur région, contre 68 % précédemment. 37 % prévoient d'embaucher, contre 32 % auparavant. Leurs principales préoccupations sont liées à l'inflation : hausse des coûts de la main-d'œuvre et du coût des matériaux. En revanche, pour les investisseurs asiatiques, la principale préoccupation reste le conflit commercial mondial.

...et ces zones plus prudentes

Plus prudente, la majorité des investisseurs suisses (58 %) se montre toutefois optimiste vis-à-vis des marchés locaux (60 % lors de l'enquête précédente). Le pourcentage d'entrepreneurs optimistes sur les perspectives économiques de leur région passe de 54 % à 58 %, même si la part de ceux qui envisagent de recruter est passée de 44 % à 42 %. La principale préoccupation des investisseurs suisses est la hausse des coûts liés à la santé, quand celle des entrepreneurs suisses est la réglementation.

Les investisseurs d'Amérique latine sont plus prudents depuis l'enquête précédente, la situation économique continuant à se dégrader, en particulier en Argentine. 60 % d'entre eux expriment leur optimisme à l'égard des marchés boursiers de leur région, mais ce chiffre est en baisse par rapport aux 64 % enregistrés il y a trois mois. Néanmoins, le pourcentage d'entrepreneurs envisageant de recruter est passé de 31 % à 38 %, ce qui correspond à la moyenne mondiale.

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Momentum – Taux zéro et bulles immobilières

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Certaines villes d'Europe sont au cœur de bulles immobilières. Elles attirent les populations dynamiques créatrices de richesse, mais à la faveur des taux zéro, elles attirent également les investisseurs. Tentons de dresser un panorama. Notre expert Waldemar Brun-Theremin vous livre son analyse dans ce nouveau Momentum, votre incontournable rendez-vous financier !
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UBS France renforce sa position dans UBS La Maison de Gestion

La Rédaction
Le Courrier Financier
UBS France — filiale d’UBS, banque spécialisée dans la gestion de fortune — annonce ce mercredi 24 juillet la signature d’un accord de principe, en vue de renforcer sa participation […]

UBS France — filiale d'UBS, banque spécialisée dans la gestion de fortune — annonce ce mercredi 24 juillet la signature d'un accord de principe, en vue de renforcer sa participation dans UBS La Maison de Gestion. Cette entité de gestion privée haut de gamme a été créée en 2017, par rapprochement des filiales de gestion d’UBS en France et de Banque Leonardo France. Dans le cadre du développement du groupe en France, la participation d'UBS passerait ainsi de 51 % à 95 %.

Croissance du groupe en France

Cette opération — soumise à l’approbation des autorités de tutelle et à la consultation des instances représentatives du personnel — souligne le succès du projet d'alliance — initié il y a plus de deux ans — avec La Maison et plusieurs grandes familles françaises : le Groupe Dassault, Michel David-Weill, Carlo de Benedetti, etc. UBS La Maison de Gestion affichait 4 milliards d’euros d’actifs sous gestion en 2017, contre 5 milliards d’euros à ce jour. UBS souhaite renforcer ses liens capitalistiques avec cette entité.

« Cette opération telle qu'envisagée nous permettra d’intégrer davantage la société aux activités d’UBS en France et de poursuivre notre stratégie de croissance », souligne Jean-Frédéric de Leusse, Président du Directoire d’UBS France. « Les actionnaires minoritaires qui ont accompagné avec succès la mise en place d'UBS La Maison de Gestion resteront aux côtés d’UBS France pour continuer son développement dans l’esprit qui a présidé à la création de ce partenariat », précise Michel Cicurel, Président de La Maison.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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