Guerre en Ukraine : BlackRock cesse d’acheter des titres en Russie

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce jeudi 3 mars, BlackRock suspend l'achat de titres russes dans ses fonds actifs et indexés. Quel impact la guerre en Ukraine aura-t-elle sur les stratégies d'investissement du géant américain ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Veolia/Suez : l’AMF ne reconnaît pas d’ouverture de préoffre sur les titres de la société Suez

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le collège de l’Autorité des marchés financiers (AMF) s’est réuni ce jeudi 24 septembre 2020, afin d'examiner la demande de la société Suez aux fins de lui faire constater l’ouverture d’une période de préoffre concernant ses titres, en application de l’article 223-34 du règlement général de l’AMF.

Cette demande faisait suite au communiqué diffusé par la société Veolia le 30 août 2020, et à la communication de cette société depuis cette date. Il ressort de cette réunion que le régulateur n’a pas procédé au constat qui lui a été demandé par la société Suez.

Absence d'un projet d'offre

Le régulateur a considéré que les termes employés par la société Veolia dans son communiqué du 30 août — ainsi que la communication de cette société et de ses dirigeants depuis cette date — n’ont pas eu pour effet de porter à la connaissance du public les « caractéristiques d’un projet d’offre » au sens des dispositions précitées.

L'AMF a reconnu l’intention de déposer un projet d’offre publique dans l’hypothèse où la proposition qu’elle a adressée à la société Engie d’acquérir 29,9 % du capital de Suez serait acceptée — étant précisé que les caractéristiques du projet d’offre publique qui suivrait l’acquisition de ces titres dépendraient, notamment, de l’éventuelle acceptation, par la société Engie, de cette proposition, telle que libellée ou modifiée.

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Marchés : Etats-Unis et Royaume-Uni au centre des préoccupations

Benjamin Melman
Edmond de Rothschild
Ces dernières semaines, les fortes incertitudes liées à la crise du coronavirus font plonger les bourses. Comment venir en aide à une économie mondiale presque à l'arrêt ? Comment tirer parti des valorisations ? Benjamin Melman, Global CIO Asset Management chez Edmond de Rothschild AM, partage son analyse.
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Financement sur titres : l’AMF publie la synthèse de ses contrôles thématiques

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des marchés financiers (AMF) publie ce mercredi 4 décembre une nouvelle synthèse. Au 2e semestre 2018, l’AMF a mené 5 contrôles « Supervision des Pratiques Opérationnelle et Thématique » (SPOT) sur les opérations de financement sur titres. Outre la synthèse, ces contrôles ont donné lieu à l’envoi de lettres de suites. Dans ce document, le régulateur dresse un état des lieux des pratiques et rappelle les règles applicables. 

Les opérations de financement sur titres (OFT) réalisées par les sociétés de gestion de portefeuille (SGP) correspondent aux opérations de prêt et emprunt de titres, aux achats et reventes de titres ainsi qu’aux prises et mises en pensions de titres. Elles permettent d’améliorer de quelques points de base la performance des fonds gérés. Lors de ses contrôles, l’AMF a examiné :

  • le dispositif de meilleure exécution ou de meilleure sélection ;
  • le dispositif de gestion des conflits d’intérêts ;
  • le respect des obligations en matière d’information et de transparence à l’égard des porteurs.

Focus sur les bonnes pratiques

Globalement, les SGP contrôlées ont bien mis en place des dispositifs opérationnels satisfaisants en termes de gestion des conflits d’intérêts potentiels ou d’exécution des ordres. Ces dispositifs ne sont toutefois pas toujours adaptés pour tenir compte de la spécificité des opérations de financement sur titres.

Les SGP disposent également toutes d’une procédure de gestion de risques incluant le dénouement à tout moment des OFT et d’un dispositif d’échange de collatéral satisfaisant. En outre, l’AMF a globalement relevé une bonne information des porteurs dans les prospectus et les rapports annuels des fonds concernés. Par ailleurs, le régulateur a relevé les bonnes pratiques suivantes :

  • recourir à un prestataire de service d’investissement régulé au sein de l’UE et fournissant un service d’investissement dans le cadre de la réalisation des opérations de financement sur titres ;
  • recourir à un prestataire qui utilise un algorithme permettant une répartition proportionnelle des titres au regard de leur détention dans les fonds.

Focus sur les mauvaises pratiques

 A l’inverse, l’AMF a recensé les mauvaises pratiques qui consistent à :

  • ne pas s’enquérir avant la signature du contrat de prestation des modalités de formation des prix, des modalités de répartition des opérations entre les clients du prestataire, de l’existence éventuelle d’un mécanisme d’appariement en cas d’interposition du compte propre du prestataire permettant d’établir une correspondance entre ses transactions et celles de son prestataire qui a mis en concurrence les contreparties de marchés, et de la qualité des reportings qui seront fournis par le prestataire ;
  • ne pas identifier dans la documentation contractuelle liant la SGP et le prestataire les obligations et moyens du prestataire afin de vérifier la meilleure exécution, dans l’hypothèse où ce prestataire n’est pas un PSI régulé au sein de l’UE, le niveau d’information que le prestataire doit fournir pour permettre à la SGP de contrôler cette prestation ;
  • ne pas mettre en place un contrôle du respect du partage contractuel des rémunérations entre les fonds, le prestataire et la SGP.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Blockchain : la France adopte une réglementation pour les services financiers

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le ministère de l'Economie et des Finances annonce ce vendredi 22 novembre l'adoption par la France d'un cadre règlementaire qui régit les applications de la Blockchain aux services financiers. Le décret n° 2019-1213 publié ce jour étend notamment cette législation aux prestataires de services sur actifs numériques (PSAN). La France souhaite conforter sa position de pionnier européen en la matière.

« Le cadre issu de la loi PACTE va favoriser le développement d’un écosystème Blockchain en France dynamique et robuste, qui allie capacité d’innovation, transparence et haut niveau de sécurité pour les épargnants et investisseurs. En étant l’un des premiers pays à se doter d’un tel cadre, Paris se donne les moyens de devenir la première place européenne de la Blockchain et conforte son engagement en faveur de l’innovation financière », déclare Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances.

Cadre créé par la loi PACTE

L'Hexagone a été l’un des premiers pays au monde à donner force de loi à l’utilisation de la technologie Blockchain en matière d’inscription et de transfert de titres financiers. La France complète ainsi « l’un des cadres les plus exhaustifs au monde en matière d’actifs numériques, qui couvre aussi bien les aspects réglementaires que fiscaux ou encore comptables », indique le ministère dans un communiqué. Le nouveau décret vient le cadre juridique spécifique à ces actifs numériques créé par la loi PACTE.

Sur le marché primaire, il était déjà possible pour les émetteurs de solliciter auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) un visa préalablement à leur émission d’actifs numériques (Initial Coin Offering – ICO), en application directe de la loi PACTE. Sur le marché secondaire, le décret vient préciser les contours des statuts applicables aux prestataires sur actifs numériques. Il leur ouvre la possibilité de s’enregistrer et de solliciter un agrément auprès de l’AMF.

Obtention de l'agrément AMF

L’obtention de cet agrément est conditionnée au respect de dispositions prévues par la loi. Il s’agit notamment d’obligations sur la sécurité des systèmes informatiques —  en termes de fonds propres ou d’assurance —  et d’obligations spécifiques à chaque service. Un service de conservation devra par exemple restituer la maîtrise des actifs numériques conservés. Cet agrément optionnel impose à certains prestataires de s'enregistrer, dans le cadre de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.

Par ailleurs, le décret renforce l’accès aux services bancaires pour les émetteurs qui ont reçu un visa de l’AMF sur leur émission. C'est aussi le cas pour les prestataires de services sur actifs numériques enregistrés ou agréés. En cas de refus injustifié — même implicite —  d’accès aux services de comptes et de dépôts, les émetteurs ou prestataires pourront exercer un recours auprès de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) en vue de déclencher une procédure de droit au compte.

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SWIFT et le cabinet BCG déclarent le secteur des titres prêt pour les API

La Rédaction
Le Courrier Financier

SWIFT — spécialiste mondial des services de messagerie financière sécurisée — et le Boston Consulting Group (BCG) publient ce mardi 30 juillet un rapport commun (en anglais) sur la dynamique croissante de la technologie API. D'après ce document, l'intérêt pour les API croît rapidement dans le segment post-marché. En 2018, la prise de conscience des API parmi les gestionnaires d'actifs (72 %) a progressé de +26 %.

Une adoption plus lente

L'intérêt commercial croissant entraîne une multiplication des projets pilotes et des cas d'utilisation, notamment entre gestionnaires d'actifs et dépositaires. Les API peuvent aider le secteur des services de titres, qui fait face à la variété des types d'actifs, à des échanges d'informations complexes et à une pression croissante sur les frais. Le rapport expose quatre aspects sur lesquels le secteur aurait tout à gagner à utiliser les API :

  • Efficacité et réduction des coûts à travers l'échange de données automatisé ;
  • Visibilité des informations en temps réel, comme l'état des règlements et le risque intra-journalier ;
  • Services à valeur ajoutée, tels que données enrichies et analyses ;
  • Benchmarks opérationnels pour aider les prestataires à comparer leurs performances avec celles de leurs homologues.

L'adoption des API a été plus lente dans le secteur des services de titres que dans d'autres secteurs des services financiers. Cela vient en partie d'un manque d'impulsion de la part des autorités de réglementation. De plus, le niveau de préparation à l'adoption des API reste très contrasté. Les gestionnaires d'actifs présentent une grande variété — complexité technique et s'engagement auprès des fournisseurs via des solutions API. D'après l'enquête, 56 % des personnes interrogées perçoivent la maturité des API post-trade comme « expérimentale », tandis qu'ils ne sont que 21 % à la considérer comme « élevée » ou « moyenne ». 

Un levier d'innovation puissant

« Les API ont la capacité de constituer un levier d'innovation puissant dans le segment post-marché, exactement comme cela s'est produit dans les paiements et d'autres domaines bancaires », souligne Juliette Kennel, responsable Titres et Marchés des changes chez SWIFT. « Pour véritablement stimuler et accélérer l'adoption des API à plus grande échelle, nous devons éliminer l'incertitude sur les normes et améliorer la compréhension du degré de maturité atteint par cette technologie » ajoute-elle. Le rapport formule quatre axes d’amélioration pour le secteur :

  • Mutualiser les infrastructures API communes. Les composantes de base des solutions API — telles que la gestion des identifications, l'authentification, la sécurité et la gestion de la connectivité réseau — devraient être harmonisées au niveau global à travers des accords entre les entreprises, plutôt qu'au niveau de chaque entité ;
  • Organiser les normes des API pour permettre l'interopérabilité. La prolifération de nombreux standards menace d'amoindrir les gains d'efficacité que les API permettent. Le secteur a besoin d'une seule et unique norme API compatible avec tous les fournisseurs ;
  • Soutenir la mise en réseau des API plutôt que des solutions point à point. Les entreprises sont prêtes à profiter de la mise en réseau des API. Par exemple, un seul appel de vérification de l'état d'un règlement effectué par un courtier pourra ensuite être acheminé simultanément à plusieurs dépositaires. Une solution en réseau favorisera également la convergence des définitions de données ainsi que d'autres caractéristiques des API ;
  • Respecter des normes de sécurité et de résilience strictes. Pour gagner du terrain, les systèmes d'API devront atteindre des niveaux élevés de protection des données et de résilience.

« La numérisation de la banque s’accélère, une transformation qui doit beaucoup à la technologie des API », analyse Sumitra Karthikeyan, responsable mondiale Services de titres chez BCG. « Les API commencent tout juste à s'introduire dans le secteur des services de titres. Elles émergent peu à peu comme une technologie de pointe vers laquelle les directions se tournent volontiers, au moment où elles cherchent à transformer leurs entreprises afin d’accélérer leur digitalisation. Bien que les difficultés traditionnelles telles que l'interopérabilité et la sécurité freinent l'adoption des API, nous pensons qu'elles pourront être surmontées et nous misons sur une plus grande adoption toujours à l'avenir » conclut-elle.

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Belgique, quand l’efficience fiscale rencontre l’éthique

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
Si les pays européens ont tendance à alléger la fiscalité sur les entreprises et sur le patrimoine, le gouvernement belge s’est engagé, en juillet dernier, dans la réintroduction d’une taxe sur les détenteurs de titres financiers
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Les obligations des pays émergents méritent d’intégrer les portefeuilles

David Bessey
Depuis le deuxième trimestre, les investisseurs renouent peu à peu avec les marchés émergents, en témoigne l’augmentation constante des flux de capitaux : les marchés émergents ont bénéficié de près de 40 milliards de dollars de flux nets au cours des huit premiers mois de l’année. Ce regain d’optimisme à l’égard de la dette émergente est due à la stabilisation des fondamentaux macroéconomiques de ces pays par rapport à l’année dernière. Le différentiel de croissance du PIB par rapport aux marchés développés devrait encore s’établir à près de 150 points de base cette année.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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