Patrimoine financier : donation d’une somme d’argent avec réserve d’usufruit et abus de droit

Stéphane Jacquin
Lazard Frères Gestion
Donner une somme d’argent avec réserve d’usufruit n’emporte aucun dessaisissement pour le donateur qui reste en possession de la somme donnée. Le comité de l’abus de droit fiscal a considéré qu’une telle donation n’était pas abusive car elle faisait naître une créance dans le patrimoine du donataire. Plus d'éléments avec Stéphane Jacquin, Associé-Gérant, Responsable de l’ingénierie patrimoniale de Lazard Frères Gestion.
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Arsene – Olivier Janoray : succession à l’international, quels enjeux de fiscalité ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Olivier Janoray, avocat associé du cabinet Arsene (réseau international Taxand), nous présente les enjeux d’une succession à l’international en termes de fiscalité. Quelles sont les étapes à respecter et quels […]
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EXCLUSIF / Assurance vie : comment retrouver un contrat à son bénéfice ?

Guillaume Aksil
Cabinet Lincoln Avocats Conseil
Les bénéficiaires d'une assurance vie ignorent parfois qu'un contrat leur est destiné. En cas de doute, comment prouver l'existence d'un tel contrat ? Quelles sont les démarches légales à entreprendre pour le retrouver ? Les explications de Me Guillaume Aksil, avocat spécialiste en droit des assurances chez Lincoln Avocats Conseil.
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Héritage : droits de succession, 49 % des Français voudraient les supprimer

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce lundi 28 mars, Le Cercle de l’Épargne/Amphitéa dévoile son enquête 2022 sur « Les Français, l'épargne et la retraite » — en partenariat avec AG2R La Mondiale. Il en ressort que les Français sont très hostiles aux droits de succession. Pourquoi ce rejet ? Que représente l'héritage en France ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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EXCLUSIF / Assurance obsèques : quelques points de vigilance

Morgane Hanvic
CNCEF Assurance
L'ACPR publie de nouvelles recommandations pour les courtiers et mandataire intermédiaire d'assurance (MIA) en ce qui concerne l'assurance obsèque. Quels doivent être les points de vigilance pour conseils experts financiers dans le cadre de ce type de contrats ? Les explications de Me Morgane Hanvic, Autorité de contrôle prudentiel et de résolution.
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Covid-19 : patrimoine, quels impacts sur les déclarations de succession ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le cabinet d'avocats CMS Francis Lefebvre Avocats — spécialiste des affaires internationales — publie ce jeudi 23 avril une note sur l'absence de report des dépôts des déclarations de succession. Malgré la crise sanitaire, le cabinet d'avocats rappelle que les déclarations de successions doivent être déposées dans les délais habituels.

Six mois de délai de dépôt usuel

Lorsqu’une succession est taxable en France et que le défunt est décédé sur le territoire français, la déclaration de succession doit être déposée auprès des services de l’enregistrement dans les six mois du décès, quand bien même le défunt avait sa résidence habituelle à l’étranger. En revanche, si le défunt est décédé hors de France, le délai de dépôt est d’un an, même s’il était résident français. Pour être recevable, le dépôt de la déclaration doit être accompagné du paiement de l’intégralité des droits de succession. 

En dehors de toute situation de confinement, le délai de dépôt de six mois est très difficile à respecter. En effet, l’établissement d’une déclaration de succession nécessite d’avoir toutes les informations sur la situation familiale du défunt, ses dispositions testamentaires, son patrimoine et le montant de ses dettes au jour du décès. Or l’évaluation du patrimoine du défunt, ainsi que la liquidation de son régime matrimonial et de sa succession peuvent s’avérer complexes.

Problèmes liés au confinement

Outre ces écueils techniques, différents facteurs peuvent retarder l’établissement de la déclaration de succession tels que la minorité d’une partie, la dimension internationale de la succession en raison d’actifs du défunt situés à l’étranger ou encore d’héritiers ou légataires non-résidents…Aux difficultés habituelles se sont ajoutées à compter de mars 2020 des obstacles majeurs liés au confinement :

  • les études notariales ont dû fermer leurs portes et la mise en place du télétravail a été plus ou moins rapide selon les cas ;
  • les professionnels du droit ont toutes les peines à réunir les informations nécessaires pour inventorier les actifs et passifs de la succession et pour les évaluer.

Les héritiers et légataires ont donc perdu un temps précieux pour se conformer aux délais de dépôt.

Aucun délai de retard prévu

Pour autant, les ordonnances relatives à l’état d’urgence sanitaire n’ont pas prévu de report de délai. Cette absence de report a été justifiée, dans le rapport au président de la République relatif à l’ordonnance n°2020-306 du 25 mars 2020, par la nécessité de préserver les recettes publiques : « Il s’agit ici de préserver le recouvrement des recettes publiques nécessaires au fonctionnement des services publics et au soutien de l’économie. »

Les déclarations de succession doivent donc être déposées dans les délais habituels. Rappelons les sanctions encourues en cas de retard :

  • une pénalité de 5 % en cas de retard de paiement ;
  • une pénalité de 10 % pour défaut de déclaration, qui passe à 40 % en l’absence de dépôt de la déclaration dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception d’une mise en demeure de déclarer, voire 80 % dans certains cas particuliers. L’Administration peut également procéder à une procédure de taxation d’office si les conditions sont réunies.

A ces pénalités s’ajoutent les intérêts de retard. Pour les déclarations à déposer dans les six mois du décès, les intérêts de retard courent à compter du premier jour du septième mois suivant le décès.

Mesure conservatoire

Plus que jamais, la mesure conservatoire visant à payer dans le délai de dépôt un acompte de droits de succession devra être mise en œuvre si, comme on peut le craindre, les contribuables ne sont pas en mesure de déposer une déclaration en raison du confinement : soit parce que le délai de dépôt expire pendant le confinement, soit parce qu’il expire ultérieurement mais qu’un retard conséquent dans l’établissement de la déclaration a été accumulé pendant cette période.

Le paiement d’un acompte dans les six mois du décès permettra d’éviter, à hauteur du montant versé, le paiement des intérêts de retard et de la pénalité de 5 %. Par ailleurs, si la déclaration de succession est déposée dans l’année du décès, accompagnée du paiement de l’intégralité des droits dus, aucune pénalité ni pour retard de paiement (5 %), ni pour défaut de déclaration (10 %) ne sera due. Seul l’intérêt de retard devra être payé mais uniquement à hauteur de la différence entre le total des droits de succession dus et le montant de l’acompte payé dans les délais.

Faute de pouvoir déposer la déclaration, les professionnels devront donc essayer de calibrer au mieux le montant de l’acompte à verser à partir des informations en leur possession, dans la limite bien évidemment des liquidités pouvant être débloquées. Si le versement d’un acompte ne nécessite pas par hypothèse le dépôt d’une déclaration définitive, il est toutefois recommandé de contacter l’administration fiscale pour l’informer du retard et de lui envoyer un écrit explicatif (sous forme d’e-mail compte tenu des circonstances).

Il en sera de même dans l’hypothèse où aucun acompte ne peut être payé, faute de liquidités. Même si on peut espérer que, compte tenu des circonstances exceptionnelles liées à la crise sanitaire, l’administration fiscale accorde plus facilement une remise, au moins partielle, des intérêts de retard, voire des pénalités lorsqu’elles sont dues, l’octroi des remises relève du gracieux et n’a donc rien d’automatique. Il reste donc important de prendre date et de justifier à l’écrit tout retard, avant de déposer ultérieurement une demande de remise gracieuse.

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Edmond de Rothschild et Trajan Capital lancent un fonds spécialisé sur la transmission des PME françaises

La Rédaction
Le Courrier Financier
L’équipe Trajan Capital et Edmond de Rothschild Private Equity ont le
plaisir d’annoncer leur partenariat lors du lancement du Fonds
Transmission & Croissance 1 FPCI, une stratégie d’investissement dédiée aux PME françaises en transmission.Alors que plus de 20% des dirigeants de PME et d’ETI françaises ont plus de 60 ans, moins de 20% des successions d’entreprises sont réussies au sein de la famille du dirigeant.
Devant ce constat, il est apparu important aux deux entreprises de
mettre en commun leur expertise respective pour apporter une solution
complète aux dirigeants devant faire face au défi de la transmission
capitalistique et managériale de leur société.

En développant une stratégie d’investissement innovante en France
dédiée aux PME en transmission, Trajan Capital remet le capital humain au cœur de ces opérations de succession. L’équipe Trajan Capital devient le conseil en investissement exclusif pour le fonds Transmission &
Croissance 1 FPCI dont la société de gestion est Edmond de Rothschild
Private Equity. Trajan Capital pourra ainsi s’appuyer sur le réseau du
Groupe Edmond de Rothschild pour accompagner la mise en œuvre de
sa stratégie.

Avec plus de 2,5 milliards d’euros d’actifs sous gestion, 13 stratégies
d’investissement différenciantes et créatrices de valeur à long terme,
la plateforme de Private Equity du Groupe Edmond de Rothschild
apportera notamment son expertise reconnue dans l’accompagnement
des entreprises.
Thomas Duteil et Tanguy Tauzinat, co-fondateurs et associés de Trajan
Capital déclarent : « Nous sommes heureux de pouvoir nous appuyer sur
un partenaire aussi prestigieux que le Groupe Edmond de Rothschild dans
le déploiement de notre approche. Au-delà de la puissance de sa marque, le maillage fin du territoire et le réseau de leurs bureaux en France sont des
atouts inestimables pour notre stratégie qui se nourrit de la proximité avec
les écosystèmes régionaux d’entrepreneurs et de PME. »

Johnny El Hachem, CEO d’Edmond de Rothschild Private Equity indique : « La stratégie Transmission & Croissance complète notre offre d’investissement et réaffirme notre engagement dans l’accompagnement des entrepreneurs français et européens, dans toutes les phases de développement de leur société grâce à des solutions sur-mesure différenciantes. Cette stratégie s’inscrit au cœur de la démarche de notre plate-forme Private Equity en apportant une réponse à un enjeu sociétal fort qu’est celui de la pérennisation du
tissu économique français composé des PME en régions, tout en valorisant
le capital humain et les talents ».

Les équipes de Trajan Capital et d’Edmond de Rothschild Private Equity
visent ainsi à constituer un vivier d’une douzaine de managers candidats à la reprise d’entreprise qu’ils accompagneront dans la recherche
de cibles d’acquisition, l’analyse d’opportunités et la structuration
d’opérations. Le fonds Transmission & Croissance 1 FPCI, dont l’objectif
de levée est de 120 à 150 M€ apportera les fonds propres nécessaires à
une prise de participation majoritaire dans ces opérations et au
développement des sociétés en portefeuille.
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Assurance vie : aux Assises de l’Afer, le Gouvernement promet de préserver la fiscalité

La Rédaction
Le Courrier Financier

Ce lundi 28 octobre, l'association française d'épargne et de retraite (Afer) organisait ses Assises 2019. Devant plus de 1 500 adhérents réunis au Théâtre du Châtelet à Paris, Gérard Bekerman, Président de l'Afer, a plaidé en faveur de la stabilité juridique et fiscale de l’assurance vie et de l’héritage. Pour rappel, début octobre 2019, plusieurs députés MoDem avaient déposé un amendement dans le cadre au projet de loi finance 2020.

Ce texte prévoyait de « borner dans le temps » l’avantage fiscal de l’assurance vie en matière de succession. L'amendement a été rejeté le 9 octobre dernier par la commission des finances de l'Assemblée nationale. L'appel de Gérard Bekerman a été entendu par la secrétaire d’Etat Agnès Pannier-Runacher. Elle a renouvelé l’engagement pris par le président de la République de ne pas toucher aux règles applicables aux héritages.

Fonds en euros et financement de l'économie

Dans un contexte de taux d’intérêt négatifs, Gérard Bekerman a également insisté sur le besoin d'équilibre pour une juste rémunération de l’épargne. Convaincu que le mouvement des taux négatifs est réversible, le Président de l’Afer a renouvelé sa confiance dans les fonds en euros. « Ce n’est pas par la contrainte mais par la liberté qu’on convaincra les épargnants de s’ouvrir à d’autres formes de produits d’épargne », a-t-il déclaré.

Sur le financement de l'économie par l’assurance vie, Gérard Bekerman a exprimé sa volonté de faire de l'Afer un acteur majeur des transitions en cours : « Je suis pour les fonds verts, la transition écologique, la French Tech : pas seulement parce que c’est rentable, pas seulement parce que c’est éthique, mais parce que c’est un nouveau paradigme. Une bonne action peut être aussi une bonne affaire. Préparons l’avenir ! », a-t-il conclu.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Prise de participation : CAPZA et Bpifrance entrent au capital de Coutot-Roehrig

La Rédaction
Le Courrier Financier

CAPZA — spécialiste de l’investissement privé dans les PME/ETI — annonce ce mercredi 23 octobre l'acquisition, aux côtés de Bpifrance, d'une participation minoritaire dans le capital du groupe Coutot-Roehrig, spécialiste de la généalogie successorale. Cette opération a pour objectif d’accompagner la croissance du groupe, tant organique qu’externe, et de le positionner comme spécialiste mondial sur son secteur.

« En s’associant à CAPZA dans cette opération, Bpifrance réaffirme sa volonté de soutenir et d’accompagner les dirigeants, notamment d’ETI familiales, dans leurs projets de croissance et de participer ainsi à la création de leaders français à l’international. Nous sommes également particulièrement fiers de participer à la primo ouverture de capital du groupe Coutot-Roehrig », déclare Johanne Destrés, Directrice d’investissement Capital développement de Bpifrance.

Quelle stratégie de développement ?

Fondé en 1894, le groupe Coutot-Roehrig pratique en activité principale la recherche d'héritiers dans le cadre de successions. La société joue le rôle d’enquêteur « au long cours » de quelques mois à quelques années, en France et à l'international. Elle possède possède l’une des plus grandes bases privées de données numérisées au monde. Le groupe compte 285 collaborateurs, généalogistes et juristes, et s'appuie sur un réseau international de correspondants. Coutot-Roehrig dispose de 47 succursales, dont 12 à l’étranger et 1 correspondant exclusif en Pologne. A l'heure actuelle, le groupe revendique un chiffre d’affaires de plus de 50 M€.

CAPZA — qui mène cette opération — accompagne le PDG du groupe Guillaume Roehrig — qui reste actionnaire majoritaire — en investissant dans la société en capital et mezzanine, afin de soutenir sa stratégie de développement. Coutot-Roehrig va accélérer sa croissance en France et à l’international, et diversifier ses activités auprès des institutionnels (banques et assurances) dans la gestion d’actifs en déshérence. « Nous souhaitons maintenir une croissance organique soutenue tout en menant une politique d’acquisitions ambitieuse », explique Guillaume Roehrig, Président Directeur Général de Coutot-Roehrig.

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Succession : la transmission de patrimoine dans de bonnes conditions

Albert d'Anthoüard
Les questions de succession sont souvent délicates, mais nécessitent d’être anticipées pour permettre une transmission de patrimoine dans de bonnes conditions. Droits de succession, abattements fiscaux, intérêts de l’assurance-vie : voici les grandes lignes à connaître. Est-il nécessaire d'épargner pour ses enfants ?
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