Eric Birotheau – Banque Richelieu France : déclaration des biens immobiliers, « le parcours s’adapte à la diversité des situations »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Cette année, les propriétaires doivent remplir un nouveau document fiscal : la déclaration d'occupation de bien. Comment procéder ? Eric Birotheau, Directeur de l'Ingénierie patrimoniale chez Banque Richelieu France, répond en exclusivité au Courrier Financier.
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Magalie Safar – Koliving : immobilier locatif, « nous aidons à réduire la vacance locative »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Le 11 octobre dernier, Koliving — spécialiste de la gestion locative immobilière — lançait son offre destinée aux professionnels. Comment la plateforme propose-t-elle de réduire la vacance locative ? Magalie Safar, cofondatrice et PDG de Koliving, répond en exclusivité au Courrier Financier.
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Crédit immobilier : un Français sur deux pense que ce n’est pas le moment d’emprunter

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce mercredi 23 mars, Artémis Courtage dévoile son dernier baromètre « Les Français et l'immobilier, quel état d'esprit au 1er trimestre 2022 » — réalisé avec OpinionWay. Comment les Français perçoivent-ils le marché du crédit immobilier ? Quel rôle accordent-ils aux courtiers ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Les Français continuent de privilégier la pierre

Ludovic Huzieux
Artémis Courtage
En 2021, les Français n'ont pas cessé d'investir dans la pierre. Quel bilan pour le secteur du crédit immobilier ? Quelles perspectives en 2022 ? Les explications de Ludovic Huzieux, co-fondateur d’Artémis courtage.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Crédit immobilier : l’accès se durcit, les associations appellent les IOBSP à la vigilance

La Rédaction
Le Courrier Financier

Les associations professionnelles représentatives des IOBSP — AFIB, ANACOFI-IOBSP, APIC, CNCEF Crédit, CNCGP et Compagnie des IOB — se sont de nouveau réunies le 15 mai 2020. Objectif faire le point sur les tensions constatées avec les partenaires bancaires et sur le resserrement des conditions d'accès au crédit des ménages.

Ce mercredi 27 mai, elles observent de façon unanime que malgré de nombreuses démarches entreprises auprès des autorités — Gouvernement, Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), Comité consultatif du secteur financier (CCSF) — les ouvertures au dialogue sont restées sans réponse.

Appel à la vigilance des IOBSP

« L'augmentation des refus bancaires ainsi que des situations contentieuses entre intermédiaires et prêteurs deviennent inquiétantes, dans un contexte où les synergies devraient au contraire aider à la reprise économique », indiquent les organisations professionnelles dans un communiqué.

Les différentes associations demandent à leurs adhérents de leur transmettre tous les cas avérés, faisant état de dérives manifestes, afin de constituer un dossier étayé qui pourrait être confié aux autorités.

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Droit de la copropriété : la réforme exclut le plan pluriannuel de travaux, la FNAIM réagit

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le projet d’ordonnance portant réforme du droit de la copropriété — prévue par la loi ELAN — a été adoptée le mercredi 30 octobre en Conseil des ministres. Dans un communiqué publié le lendemain, la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) a salué une réforme « relativement équilibrée ». Elle déplore cependant la disparition du plan pluriannuel de travaux (PPT) obligatoire, une mesure « pourtant approuvée à l'unanimité par l'ensemble des acteurs de la profession et des associations de consommateurs ». Pour la FNAIM, c'est « une occasion manquée ».

Prévenir la dégradation des immeubles 

La mise en place obligatoire d’un plan pluriannuel de travaux (PPT) pour les copropriétés de plus de 15 ans a disparu du texte final de la réforme. La FNAIM regrette le retrait de cette mesure, qui aurait permis d’assurer une rénovation du bâti dans la durée. Le PPT aurait ouvert la voie à « une plus grande anticipation pour les copropriétaires, notamment grâce à l’obligation d’abonder les fonds travaux à hauteur de 2,5 % minimum du PPT », assure Jean-Marc Torrollion, Président de la FNAIM.

« Concrètement, cette mesure aurait permis de mieux prévenir la dégradation des immeubles et d’éviter des drames comme ceux de la rue d’Aubagne à Marseille (...) C’est pour les professionnels de la copropriété une réelle déception. Nous attendons les explications du gouvernement sur les moyens qu’il compte mettre en place pour lutter contre le délabrement de nombreux bâtiments », ajoute Jean-Marc Torrollion.

Régime unique et contrat socle

D'après la FNAIM, le maintien d’un régime unique de gestion de la copropriété est une mesure positive. Elle garantit une égalité des copropriétaires face au droit, quelle que soit la taille de la copropriété. Les petites copropriétés bénéficient cependant d’aménagements. « Le risque était de créer un régime de copropriété à deux vitesses, qui aurait pu engendrer une rupture en matière de services proposés aux copropriétés de 5 lots au plus ou bien 15 000 € de budget pendant 3 années consécutives en les faisant sortir de la gestion professionnelle », ajoute Jean-Marc Torrollion.

La réforme donne également la possibilité aux syndics de proposer un contrat socle. Cette mesure marque une avancée concrète pour les services proposés par le syndic, au-delà du contrat type qui limitait jusqu’alors cette possibilité. « Cela permettra au syndic de proposer aux copropriétaires toute une gamme de prestations répondant aux attentes et besoins des copropriétaires conciergerie, gardiennage, babysitting, dogsitting, etc. qui pourront-être autant d’éléments apportés au bien vivre au sein de la copropriété », précise Jean-Marc Torrollion.

Renforcement du rôle du conseil syndical

Le projet maintient la mise en concurrence obligatoire du syndic à chaque échéance, malgré les interrogations de la profession. Cependant, la FNAIM a obtenu que la mise en concurrence se place sous la responsabilité unique du conseil syndical. Le non-respect du processus par le conseil syndical n’aura aucune incidence sur la validité du contrat. « Cela permet au syndic de travailler avec sérénité et que sa mission ne puisse être remise en cause dans le cas où la mise en concurrence ne serait pas appliquée dans les délais », indique Jean-Marc Torrollion.

Le renforcement du rôle et des pouvoirs du conseil syndical sera un levier d’amélioration de la gestion des immeubles en copropriété. La FNAIM cite notamment le renforcement des pouvoirs du président du conseil syndical, et l’encadrement de la délégation des pouvoirs accordée au conseil syndical pour l’exécution de certaines décisions. Pour Jean-Marc Torrollion « Le conseil syndical reste dans son rôle et il n’a pas été donné suite à l’idée, évoquée pendant un certain temps, d’un conseil d’administration dans les grandes copropriétés qui ne correspondait pas à notre vision de la gestion des immeubles collectifs en France, et aurait remis en cause l’esprit de la loi de 1965, basé sur un fonctionnement « démocratique » de la copropriété ».

Plus de fluidité dans la gestion

De nombreuses dispositions présentes dans ce texte vont permettre de faire primer la gestion collective sur les intérêts particuliers. Objectif, assurer un fonctionnement plus fluide et plus efficace de la copropriété. Par exemple :

  • l’interdiction à la copropriété de faire obstacle à des travaux de mise aux normes handicapées sur les parties communes ;
  • la facilitation du vote par correspondance ;
  • la portabilité des documents dématérialisés lors de changement de syndic ;
  • l’obligation pour toutes les copropriétés gérées par un syndic professionnel d’ouverture d’un compte bancaire séparé ;
  • la mise en place de mesures facilitées pour le recouvrement des charges ;
  •  ou encore, l’abaissement des majorités afin de faciliter les prises de décisions.

« Bien que le pragmatisme l’ait emporté dans beaucoup des mesures et que cette réforme préserve les équilibres indispensables au bon fonctionnement de la copropriété, la FNAIM regrette le manque d’ambition dans certaines mesures pourtant essentielles, à l’image du plan pluriannuel de travaux », conclut Jean-Marc Torrollion.

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Résidences secondaires : en tirer des revenus

Ludovic Huzieux
Artémis Courtage
Détenir sa maison de vacances est un rêve qui se paye cher. Les équipements ou les impôts fonciers représentent plus de la moitié des dépenses.
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Le marché du viager s’éveille et crée de nouvelles opportunités

Charlotte Evanguelidis
La Silver Economie créée en 2013, l’économie sociale et solidaire de juillet 2014 et la récente loi à l’adaptation de la société au vieillissement de décembre 2015 montrent bien l’évolution de la prise en considération politique et économique de l’accroissement de l’espérance de vie et à l’ampleur du phénomène démographique du Papy-boom. C’est dans ce contexte qu’apparaissent de nouveaux marchés créateurs d’emplois et de valeurs, comme le marché du Viager.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Les français et la propriété : les chiffres clefs

La Rédaction
Le Courrier Financier
Quelle proportion de ménages français est propriétaire ? Quelle est la durée moyenne de construction d'une résidence principale ? Combien d'années de revenus faut-il allouer à son remboursement d'emprunt ? La rédaction vous propose une nouvelle infographie sur les tendances immobilières de l'hexagone.
Voir

Épargnants : les atouts de l’investissement locatif à l’étranger

Patrick Monti
Osiris Investissements
Dans un contexte économique des plus moroses, nombreux sont les épargnants découragés par l’investissement locatif en France, caractérisé par une instabilité fiscale et des casse-têtes administratifs. Le manque de rentabilité des livrets et la problématique des loyers impayés posent également problème. Alors vers quels produits se tourner quand beaucoup de voyants sont au rouge ?  L’investissement dans la pierre reste encore le bon choix, encore faut-il miser sur le cheval gagnant. Et à ce jeu-là, l’investissement locatif à l’étranger permet une excellente diversification.
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