Family Offices : l’AFFO lance le Club NextGen pour accompagner les nouvelles générations

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Association Française du Family Office (AFFO) — association de référence du métier de Family Office — annonce ce mardi 7 novembre le lancement du Club NextGen. Cette structure est dédiée aux nouvelles générations des Single Family Offices (SFO) membres de l’AFFO. Elle est axée sur la formation, la collaboration et le partage des connaissances.

Ce Club a été créé à l’initiative de trois jeunes membres de familles adhérentes à l’AFFO pour accompagner les jeunes actionnaires. Il s'agit du troisième Club créé par l’AFFO, après le club SFO, animé par Frederick Crot, président de l’AFFO et le Club MFO, animé par Valéry Barbaglia de chez Neuflize OBC Family Office.

Nouvelles générations d'actionnaires

À l'ère de la disruption, où la transformation des paradigmes financiers, technologiques et modèles d’investissement s’accélèrent, il est impératif pour l’AFFO d’accompagner les nouvelles générations qui occupent déjà un rôle actif ou qui sont destinées à le faire au sein des family offices, que ce soit en tant qu’administrateurs, membres opérationnels ou futurs dirigeants, et de les préparer à devenir des acteurs éclairés au sein de leurs structures familiales.
 
L’objectif est de répondre aux besoins spécifiques et aux défis auxquels sont confrontés ces nouvelles générations d’actionnaires, en leur proposant des conférences sur des sujets liés à la gestion de patrimoine et au pilotage d’un Family office, de créer un safe place qui favorise le partage d’expérience et des meilleurs pratiques, ainsi que l’organisation de dîners conviviaux pour favoriser les interactions et renforcer les liens entre les membres du club.

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Investissement immobilier : Streal démocratise l’accès aux opérations réservées aux professionnels

La Rédaction
Le Courrier Financier

La plateforme Streal — spécialiste de l’investissement immobilier fractionné, créé en 2023 — annonce le lancement d’un produit d’investissement en immobilier fractionné, qui marque une étape clé dans la démocratisation des opérations immobilières les plus prisées par les professionnels. Au moyen d’émissions obligataires, la fintech française entend rendre accessibles les opportunités d’investissement dans des actifs immobiliers hors-marché, centrés sur les nouveaux usages, pour offrir un placement performant aux investisseurs et épargnants.

L’accès à l’investissement immobilier performant et rentable est de plus en plus restreint — tant pour l’immobilier résidentiel que l’immobilier commercial. Les exigences en matière de fonds propres sont plus élevées, et les conditions d’octroi de crédit plus difficiles. Enfin, les classes d’actifs qui offrent les meilleurs rendements sont pour la plupart inaccessibles aux particuliers. Malgré cela, l’immobilier reste le pilier incontournable des portefeuilles d’investissements, gage à la fois de revenus complémentaires et de construction d’un patrimoine résilient. 

Démocratiser l’accès aux actifs

Pour permettre aux investisseurs d’accéder aux meilleures opérations immobilières, Streal lance un produit d’investissement immobilier fractionné. Objectif, ouvrir l'accès à des marchés porteurs et performants, traditionnellement réservés aux investisseurs institutionnels ou aux initiés. Par exemple, dans les secteurs de l’immobilier commercial ou des nouveaux usages — comme les locations courtes durées, le flex office, etc.

Pour ce faire, Streal a créé un club qui permet aux investisseurs de tous horizons d’accéder à cette typologie d’actifs, aux côtés de professionnels aguerris. À partir de 100 euros, la plateforme permet de financer une opération immobilière. En échange de leurs souscriptions, les membres de Streal bénéficient d’un rendement directement corrélé au rendement locatif de l’actif, ainsi qu’une part de la plus-value potentielle à la revente. Le modèle de fractionnement proposé par Streal a été validé par l’AMF, qui encadre également les émissions obligataires.

Streal sélectionne, selon un cahier des charges strict, des actifs dans les quartiers prisés de Paris et petite couronne (Ile-de-France). Ces actifs se distinguent par leur qualité, la fiabilité des locataires, et par leur potentiel de valorisation. « La hausse des taux d’intérêt pousse les investisseurs à rechercher des alternatives aux solutions d’investissement existantes, en particulier dans un contexte d’inflation. Or, depuis l’émergence du crowdfunding immobilier il y a plus de 10 ans, le marché de l’investissement immobilier n’a pas connu d’innovation majeure » insiste Streal dans un communiqué.

S'adosser aux marchés côtés

Adosser des obligations à un sous-jacent immobilier tangible permet de maîtriser davantage les risques. Avec Streal, le revenu reversé aux investisseurs est principalement lié aux loyers perçus, et donc à des locataires sélectionnés pour leur fiabilité. Là où une SCPI permet d’investir dans un portefeuille d’actifs, « l’immobilier fractionné permet un contrôle accru en investissant dans l’opération de son choix, avec une structure de frais compétitive », assure Streal. 

« Nous voulons offrir une plus grande liberté et flexibilité à nos membres, de sorte qu’ils puissent investir de manière récurrente, tout en gardant la main sur leur stratégie », précise Louis Dutheil, président de Streal. Forte d’une équipe de 6 professionnels œuvrant au développement et au financement immobilier depuis 15 ans et gérant un portefeuille d’actifs valorisés à 400 millions d’euros, la fintech Streal proposera, courant juillet, une sélection d’actifs premium à ses premiers membres.

Streal compte aller plus loinen proposant dès 2024 des titres financiers adossés à l’immobilier sur des marchés côtés comme Euronext, dans le sens du régime pilote européen institué en mars dernier. « C’est le sens d’un engagement pour une expérience d’investissement optimale et un produit conforme aux nouvelles attentes des investisseurs, que sont la transparence et la liquidité. », conclut Louis Dutheil.

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IA : comment peut-elle bouleverser l’immobilier ?

Olivier Blaise
Parees
L'intelligence artificielle (IA) transforme le secteur de l'immobilier. Quelles perspectives se dessinent pour le secteur ? Quel avenir pour les métiers de l'immobilier ? Les explications d'Olivier Blaise, fondateur de Parees.
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AXA Climate lance une formation sur les enjeux environnementaux pour les responsables des services généraux

La Rédaction
Le Courrier Financier

AXA Climate — entité fondée en 2019 au sein du groupe AXA, dédiée à l’adaptation climatique et environnementale — annonce ce mardi 6 décembre le lancement d'une formation en ligne dédiée aux enjeux environnementaux à destination des responsables des services généraux (facility managers). Comment mesurer et réduire l’impact environnemental de son entreprise ? Quels objectifs chiffrés se fixer ? Comment embarquer les usagers dans cette transformation ?

Pourquoi cette formation ?

Aujourd'hui, les entreprises questionnent leur modèle de développement pour le rendre compatible avec la transition écologique et énergétique. Pour les aider, AXA Climate développe une série de formations pour sensibiliser l’ensemble des métiers d’une entreprise tous secteurs confondus : Digital, Juridique, Achats, Finance, Ressources Humaines, Communication et Marketing, Gestion des risques et Gestion des installations et services généraux.

Les responsables des services généraux jouent un rôle majeur pour maîtriser l'impact environnemental de leur entreprise. Ils gèrent les activités multi-techniques — bâtiments, performance énergétique, consommation d'eau ou encore climatisation. Ils sont souvent en charge également des activités multiservice — cantine, recyclage des déchets, espaces verts, ou encore flottes d’entreprise. Ils pilotent les contrats avec les différents prestataires et fournisseurs, et contribuent ainsi à la transition durable de leur entreprise.

https://axaclimate.wistia.com/medias/fn4zbu7rhf

Déroulement du parcours

Composée de sept vidéos, la formation en ligne leur apprend à réaliser leur diagnostic et leur feuille de route, avec des conseils méthodologiques pour bien prendre en compte tous les impacts et risques environnementaux. Il est notamment préconisé de se rapprocher de la direction RSE, d’utiliser des solutions digitales pour mesurer la performance énergétique des bâtiments, et de fixer une feuille de route opérationnelle avec des objectifs chiffrés.

Par ailleurs, la formation donne des conseils très concrets pour leur permettre de réduire l’impact sur l'environnement : fenêtres équipées de filtres UV, système de climatisation activé avec l'intelligence artificielle, peinture innovante refroidissant les espaces, choix des prestataires les plus vertueux pour gérer la restauration collective — produits locaux, bio, de saison, moins carnée, etc. Elle tord le cou à certaines fausses bonnes idées, comme l'installation de ruches sur les toits. Censée contribuer à maintenir la biodiversité, cette initiative dérègle en réalité certains écosystèmes en créant une compétition entre les différents pollinisateurs.   

Il est proposé aux responsables des services généraux de se projeter en 2030 afin d'anticiper les évolutions de leur métier. Ils échangeront quotidiennement avec d’autres responsables de sites pour partager les bonnes pratiques en matière environnementale — reconditionnement de mobilier de bureau, etc. Avec les responsables RSE, ils organiseront des retours d’expérience sur des initiatives de mobilité bas carbone (vélo de fonction, autopartage, etc.). Et avec les équipes RH, ils se mobiliseront pour protéger la santé des salariés (mise en place de plans canicule avec les bons gestes à adopter, la réorganisation des horaires de travail, etc.).

Accompagner la transition écologique

De façon prospective, la formation évoque l'enjeu de l'adaptation des sites au dérèglement climatique. Certaines parties du monde, comme l'Asie du Sud, pourraient devenir inhabitables dès 2050 à cause du mélange de chaleur extrême et d’humidité. Avec la montée des eaux, des infrastructures vont devoir être relocalisées. Enfin, la formation sensibilise à l’accompagnement du changement et de la communication vis-à-vis des collaborateurs afin que leurs usages soient en cohérence avec les actions menées. Car à quoi sert un bâtiment éco-conçu, équipé de triple vitrage, si les salariés ouvrent les fenêtres et font chuter la performance énergétique ?

« Cette formation est la dernière d’une série de formations que nous avons adressées cette année à l’ensemble des métiers de l’entreprise engagée dans la transition écologique. Le responsable des services généraux est un levier important de cette transition car il peut agir directement sur une partie conséquente de l’impact environnemental de son entreprise », explique Antoine Poincaré, responsable de Climate School d’AXA Climate. Pour ce module, AXA Climate a échangé avec plusieurs professionnels du facility management

  • Noémie Feldbauer, Directrice de la Transition Énergétique chez Heppner ;
  • Christian Whitaker, Global Head of Sustainable Operations chez JLL ;
  • Aurélie Fort, Directeur technique Facilities Management et Immobilier chez EPSA ;
  • Philippe Lacroix, Head of Hard Services and CSR chez Axa France ;
  • Jacques Bouscary, Chief Procurement Officer Real Estate et Corporate Services chez Aon ;
  • Ömer Döne, Facility Manger and Global Sustainability Program leader chez Sanofi ;
  • Foucault de La Rochère, Chief Efficiency Officer chez Accor ;
  • Hélène Billon, Director Facilities & mobility management chez Orange ;
  • Wilfried Eliezer Kouassi, Senior Procurement Category Manager Material Handling Equipment, Facility Management, Energy et Sustainability chez Kuehne ;
  • Emmanuel Régent, Président de Biodiversio ;
  • Eric Hoyez, Facility Manager chez Saint Gobain ;
  • Laurie Pigeot Besse, Directrice des Services sur Sites chez Ubisoft.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Virginie Fauvel – Harvest : France, « nous lançons un outil de calcul de commission début 2023 »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Après une refonte massive en 2021, Harvest-Fidroit Quantalys change de nom pour devenir le Groupe Harvest. Comment la société va-t-elle poursuivre sa croissance en 2023 ? Quels nouveaux outils met-elle à la disposition des conseillers en gestion de patrimoine (CGP) ?
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Annelies Helmer — Patrimonia 2022 : CGP, rendez-vous à Lyon les 29 et 30 septembre

Mathilde Ledroit
Le Courrier Financier
La 29ème édition de la convention Patrimonia se tiendra à Lyon les 29 et 30 septembre prochains, sur le thème « conseiller, protéger et valoriser le patrimoine des Français ». Au cours de ces deux jours, les professionnels du patrimoine pourront découvrir quatre grandes conférences plénières et une multitude de « Débats d’experts » et « Conseils de pros ». Quelles nouveautés pour cette édition ? Quels seront les temps forts ?
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Conférences CGP – 17/05/2022 : « Résilience et dépassement de soi »

La Rédaction
Le Courrier Financier
Ce mardi 17 mai 2022, retrouvez le prochain rendez-vous des Conférences CGP sur la thématique « Résilience et dépassement de soi », à l'IMSI dans le Xe arrondissement de Paris — avec la participation de Pascal Papé. Venez vous inscrire !
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L’AFiTE change de nom et devient CNCEF France M&A

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Association pour le Financement et la Transmission des Entreprises (AFiTE) annonce ce jeudi 17 février changer de nom pour devenir CNCEF France M&A. Cette nouvelle identité marque le rôle déterminant des conseils M&A dans ce marché des opérations de cession, acquisition transmission et financement. Créée en 2013, l'AFiTE regroupe près de 200 professionnels du conseil en cession, acquisition transmission et financement d'entreprises, dans toutes leurs spécialités : boutiques M&A, banques d'affaires, filiales de cabinets d'audit ou d'expertise-comptable, consultants et conseils indépendants, etc.

Avec plus de 500 opérations par an, ces conseils experts accompagnent les chefs d'entreprises et leurs actionnaires dans leurs projets stratégiques de croissance externe, transmission et cession d'entreprise, levées de fonds, recherche de financements complexes et opérations LBO. Cette nouvelle identité accompagne le changement de gouvernance opérée fin 2021 et concrétise le rapprochement avec le groupe CNCEF, qui réunit plus de 2 000 structures d'experts et de conseils financiers.  

Nouvelle feuille de route pour l'association

Son Président Marc Sabaté, Associé et Directeur Général In Extenso Finance, s'est entouré des Vice-Présidents Corinne Previtali et Pierre-Jean Gaudel, respectivement Présidente et Fondatrice de Kanupa Corporate Finance et Associé Fondateur de Colibri Advisory. La nouvelle équipe, qui inclut Luc Farriaux, Associé de FL Partners, au poste de Trésorier et Elisabeth Decaudin en qualité de Déléguée Générale s'est dotée d'une feuille de route :

  • promouvoir les standards de qualité et la fiabilité d'exécution des opérations conseillées par ses membres, notamment par une offre de formation dédiée ;
  • mettre à disposition des professionnels du conseil en M&A un ensemble d'outils et de services utiles à la diffusion de bonnes pratiques ;
  • porter au niveau national la voix de la profession auprès des pouvoirs publics, instances réglementaires, régionales et organisations professionnelles.

Ouverture aux professionnels du M&A

« Notre volonté est de promouvoir vers les entreprises et leurs dirigeants, les conseils en M&A et leurs équipes, véritables experts de la transmission et du financement. Et pour y parvenir, la structuration de la profession est plus que jamais nécessaire avec le déploiement des « bonnes pratiques » et les formations adaptées. L'objectif est bien de sécuriser les opérations pour l'ensemble des parties prenantes (acheteur, vendeur, investisseur) et d'optimiser les transactions dans leur valeur, leur durée, la gouvernance post-opération et les stratégies de développement », déclare Marc Sabaté.

« C'est avec une grande fierté que nous accueillons dans le réseau CNCEF les professionnels du M&A avec lesquels nous entretenons une étroite et fructueuse collaboration depuis de nombreuses années. Désormais rassemblés autour de la marque CNCEF France M&A, c'est la profession tout entière des conseils en cession, acquisition et financement qui va évoluer et grandir, au service de l'attractivité des entreprises », se félicite Didier Kling, Président de la CNCEF.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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L’ANACOFI publie la synthèse de ses positions publiques

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Association Nationale des Conseils Financiers (ANACOFI) publie ce lundi 24 janvier une synthèse de ses positions publiques, comme en 2019. Il s'agit d'un travail de mise en forme des positions de l'association, « qu’elles découlent de travaux de commissions, des conseils d’administration, des réponses aux consultations ou des études réalisées ».

10 propositions principales

Ce travail était destiné « initialement aux seuls élus » devrait « pouvoir intéresser le plus grand nombre » ajoute l'organisme dans un communiqué. Le document contient 116 positions structurelles ou conjoncturelles, classées en six chapitres. Elles couvrent la finance d’entreprise, le plan de relance, les besoins et avis des métiers de la gestion de patrimoine ou du courtage, la protection des consommateurs, la fiscalité, l’immobilier et d'autres sujets divers.

« Par vote, nos élus ont fait ressortir 10 positions principales. Elles portent sur la défense de nos métiers pour 4 d’entre elles, 2 autres sur le moyen d’améliorer notre efficacité, une sur notre vision de l’immobilier, une autre sur la transmission d’entreprise et une enfin, sur l’éducation financière », détaille l'ANACOFI. L'association estime que ses positions et avis peuvent servir aux autorités, mais aussi tous les candidats à la présidentielle de 2022.

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CNCGP : l’association renforce sa représentativité des CGP

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine (CNCGP) annonce ce lundi 25 janvier dans un communiqué avoir poursuivi l’adhésion de nouveaux adhérents « à un rythme soutenu » en 2020. Cette évolution s'est poursuivie en dépit « d’un contexte très particulier » liée à la crise sanitaire de la Covid-19.

La CNCGP recense 228 nouveaux cabinets qui ont rejoint l’association, « soit une progression de l’ordre de 12 % par rapport à 2019 ». L'association a également admis 385 nouveaux conseils en gestion de patrimoine (CGP), en tant que personnes physiques. « Cette évolution est d’autant plus significative que, chaque année, environ 20 % des dossiers d’admission transmis aux équipes de la Chambre ne sont pas retenus », relève la CNCGP.

La CNCGP portera une « vigilance particulière sur les projets d’évolutions réglementaires à venir », comme la révision de la directive MIF 2 d’ici la fin de l’année 2021. Afin de favoriser la mobilisation des capitaux privés, la Commission devrait se pencher sur la création d’un label paneuropéen pour les conseillers financiers. « La promotion d’un tel modèle hors les frontières est un projet dans lequel la Chambre s’inscrit et qu’elle aura vocation à promouvoir », précise la CNCGP.

Homogénéité des membres

Compte tenu de ce bilan, la CNCGP estime avoir renforcé sa représentativité auprès des conseils en gestion de patrimoine (CGP). « La part de marché de la Chambre sur la population des conseillers en investissements financiers (CIF) a progressé de 28 % à 30 % sur un an », d'après les données d’activité 2019 des conseillers en investissements financiers publiées en novembre 2020 par l'Autorité des Marchés Financiers (AMF).

D'après l'association, cette évolution ne remet pas en cause de « l’homogénéité » de la population qu’elle représente. Seuls 2 % de ses membres sont spécialisés dans le conseil aux institutionnels et aux sociétés de gestion. La majorité des adhérents à la CNCGP restent spécialisés dans le conseil et l’accompagnement des épargnants sur leurs problématiques de gestion patrimoniale.

Cette homogénéité se vérifie dans la diversité du nombre de statuts détenus. Plus de 54 % des membres de la CNCGP détiennent quatre statuts au titre de leurs activités de CIF, d’intermédiaire en assurances (IAS), en opérations de banque et service de paiement (IOBSP) et de leurs interventions sur des opérations immobilières (carte T). 66 % en possèdent au moins trois (source : Rapport annuel Orias 2019). Par ailleurs, 53 % possèdent la compétence juridique appropriée contre 44 % pour le reste de la population.

Réformes à venir en 2021

D'après la CNCGP, le chiffre d’affaires global moyen de ses adhérents affiche une progression constante a contrario de la tendance générale. Pour les CGP-CIF, celui-ci a reculé de 12,5 % pour atteindre 405 000 euros. Côté CNCGP, « celui-ci atteint environ 450 000 euros en 2019, contre 427 000 euros en 2018 et 413 000 en 2017 ». Le chiffre d’affaires global médian atteint 210 500 euros. Il demeure stable, même s'il enregistre une diminution de 11,5 % à 125 000 euros pour le reste de la population CIF.

L’année 2021 sera marquée nécessairement par les travaux préparatoires à l’adoption de la réforme du courtage. Celle-ci aura vocation à imposer aux courtiers d’assurance et aux intermédiaires en opérations bancaires et services de paiement d’adhérer à une association professionnelle. Dans ce cadre, les courtiers dont l’activité est proche de celle des adhérents actuels de la CNCGP — « essentiellement constituée par la distribution de contrats d’assurance vie » — auront vocation à rejoindre la Chambre.

Parmi les services proposés par la Chambre en 2021, l’offre en matière de formations professionnelles sera reconduite. L'an dernier, 54 évènements consacrés à la formation qui ont été organisés — soit cinq universités, 48 réunions régionales (dont 21 en présentiel, 27 en visioconférence) ainsi qu’une journée interprofessionnelle organisée en région avec l’appui d’une Chambre notariale. Au total, ces manifestations ont réuni 3 619 adhérents.

Chaque nouvel adhérent sera invité à suivre en ligne une formation dédiée à la prise en main des outils juridiques adaptés, à jour des directives MIF 2 et DDA, afin de disposer de bases solides au démarrage de son activité. Ces formations seront assurées par le service juridique de la CNCGP.

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