2023, l’année de la dette émergente ?

Les équipes d'Ostrum Asset Management
Ostrum Asset Management
L'année 2023 s'annonce charnière sur les marchés obligataires émergents. Quelles perspectives pour les investisseurs ? Les explications de Zouhoure Bousbih (stratégiste pays émergents) et Sébastien Thénard (Gérant de portefeuille senior, dette émergente et FX) chez Ostrum Asset Management.
Lire (3 min.)

Marchés émergents : « the place to be » ?

Les équipes de Edmond de Rothschild AM
Les marchés émergents bénéficient de tendances favorables : environnement de taux bas grâce à des politiques monétaires accommodantes, plans de relance massifs de la part des Etats, prix du pétrole et niveau du dollar, accélération des campagnes de vaccination qui ouvrent la voie à une reprise des échanges commerciaux. Les équipes de gestion du groupe Edmond de Rothschild Asset Management (France) partagent leur analyse.
Lire (8 min.)

Dette souveraine : Candriam dévoile un nouveau modèle d’analyse de la durabilité

La Rédaction
Le Courrier Financier

Candriam — société de gestion internationale, spécialisée dans le développement durable et les investissements multi-actifs — présente ce mercredi 17 février une mise à jour de son modèle d’analyse des émetteurs souverains, présenté pour la première fois en 2017.

L’évolution principale consiste à passer d’un modèle dans lequel les quatre types de capital — Capital Humain, Capital Social, Capital Economique et Capital Naturel — sont évalués au même niveau, à un modèle qui fait du Capital Naturel un multiplicateur déterminant pour les trois autres formes de capital désormais interdépendants.

Chaque pays reçoit ainsi un score permettant d’établir un classement mondial. L’impact environnemental que l’humanité subira ces 10 prochaines années est déjà, en grande partie, prédéterminé par les activités économiques passées et actuelles.

L'accent sur le capital naturel

La recherche des équipes de Candriam a démontré que si les pays peu performants en matière environnementale continuent d’épuiser de grandes quantités de ressources naturelles, qui composent notamment le Capital Naturel, ils subiront à terme des impacts négatifs sur les quatre types de capital — impliquant des conséquences sociales, économiques et environnementales dramatiques.

En plaçant le Capital Naturel au cœur du modèle d’analyse des émetteurs souverains, Candriam aborde l’analyse de la soutenabilité avec une perspective unique et tournée vers l’avenir. Par exemple, dans le cas de la déforestation, les modifications dans l’utilisation des sols et la destruction des habitats contribuent à la dégradation des écosystèmes et accentuent le changement climatique.

Elles aggravent les catastrophes naturelles, qui, à leur tour, ont un impact économique. Ainsi, la pandémie de Covid-19 pourrait-elle être causée par la dégradation des écosystèmes qui aurait entraîné la transmission de maladies zoonotiques des animaux sauvages vers les êtres humains.

Principales conclusions

Le modèle d’analyse des émetteurs souverains de Candriam montre que les mesures de « soutenabilité » ont globalement décliné sur les douze mois pris en compte par l’étude, à la fois dans les marchés développés et émergents. Le changement de méthodologie en 2020 n’a pas eu d’impact sur le premier du classement, la Suisse, qui obtient à nouveau des scores très élevés sur les quatre types de capital — notamment le Capital Naturel. Elle est suivie par la Suède (au 2e rang), le Danemark (3e) et la Finlande (4e).

Parmi les marchés développés, les changements les plus importants liés à la nouvelle méthodologie ont affecté l’Australie (28e). Le pays a souffert du faible score obtenu sur la dimension Capital Naturel, principalement en raison de son empreinte carbone très élevée. L’Australie affiche en effet l’une des pires tendances au monde en matière d’émissions de gaz à effet de serre, mais également dans l’utilisation des ressources naturelles. Elle dépend bien plus des activités minières et des exportations d’hydrocarbures que les autres pays de sa catégorie. 

La Norvège (15e) et les Pays-Bas (12e) ont également vu leurs classements chuter : chacun ayant perdu 8 places au classement global. Les scores obtenus par la Norvège ont surtout été impactés par les exportations de pétrole et de gaz. Pour les Pays-Bas, le pays a souffert de la part toujours élevée des énergies fossiles dans sa production d’énergie, comparée aux pays de sa catégorie, ainsi que de sa forte exposition au changement climatique et à l’élévation du niveau de la mer. Un rythme de transition énergétique plus lent a ainsi entraîné de nombreuses conséquences.

Le cas de la France

La France se classe 6e du classement avec une note globale de 84. Elle est suivie du Luxembourg et précédée par l’Autriche. Avec un score de 98 % pour le Capital Naturel, le pays se situe dans la moyenne des 10 premiers du classement, avec des critères comme la Réglementation environnementale et la Préservation. C’est le Capital Social (85 %) qui pénalise le plus la France au classement général. Il inclut notamment du niveau de mise en œuvre des processus démocratiques, de corruption et de sécurité.  

« Nous sommes très fiers de lancer ce nouveau modèle d’analyse des émetteurs souverains qui reconnaît que la destruction de notre environnement naturel engendre des conséquences économiques et sociales de long terme. Le monde de la finance doit intégrer ces facteurs afin de maximiser la création de valeur dans la durée », déclare Vincent Hamelink, CIO de Candriam, à propose des résultats obtenus.

« Si nous sommes très satisfaits de voir les autorités réglementaires reconnaître l’importance accrue du changement climatique et de la préservation de l’environnement, nous sommes convaincus que le secteur doit aller de l’avant et faire évoluer la manière dont nous abordons la production, la consommation et l’investissement. En ce qui concerne les problématiques de soutenabilité, il n’est plus possible de colmater les brèches, car les fissures sont devenues trop importantes », ajoute Kroum Sourov, Analyste Emetteurs Souverains chez Candriam.

Focus sur la méthodologie

Dans son approche, Candriam reconnaît que le Capital Naturel est une ressource limitée. Afin d’intégrer cette contrainte au modèle le plus récent, le score Capital Naturel est utilisé comme multiplicateur pour les trois autres formes de capital. Les résultats du modèle prennent également en compte les progrès effectués dans le cadre des 17 Objectifs de Développement Durable des Nations Unies.

Le modèle est composé de plus de 400 critères individuels permettant de capter une large palette de facteurs. Candriam s’appuie sur des données collectées auprès de différentes sources privées, publiques et publiées par des ONG. Les analystes évaluent ensuite la pertinence de chacun des facteurs, pour chaque pays, sur les 10 dernières années.

Lire (5 min.)

Investissement : l’assaut des day traders ne réduit pas l’attractivité des actions

Frédéric Rollin
Pictet AM
En 2021, les marchés actions vont bénéficier de la reprise économique. Pourquoi s'intéresser aux entreprises asiatiques, actuellement décotées par rapport à celles des autres pays développés ? Le point avec Frédéric Rollin, conseiller en stratégie d’investissement chez Pictet Asset Management.
Lire (2 min.)

Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

Lire (3 min.)

La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

Lire (2 min.)

Marchés émergents : l’Asie offre les meilleures opportunités pour les investisseurs en obligations

Marcin Adamczyk
NN Investment Partners
La pandémie de Covid continue d'affecter les marchés financiers à travers le monde. Quelles opportunités l'Asie offre-t-elle aux investisseurs sur le marché obligataire ? Marcin Adamczyk, expert des obligations des marchés émergents chez NN Investment Partners, présente ses perspectives.
Lire (4 min.)

ESG : Swiss Life Asset Managers lance un fonds de dette souveraine marchés émergents

La Rédaction
Le Courrier Financier

Swiss Life Asset Managers (Swiss Life AM) — filiale de gestion des actifs du groupe Swiss Life — annonce ce lundi 25 janvier élagir sa gamme obligataire. Swiss Life AM lance Swiss Life Funds (LUX) Bond ESG Emerging Markets Sovereigns. Il s'agit d'un fonds ESG de droit luxembourgeois, centré sur la dette souveraine en monnaies fortes des marchés émergents. Ce nouveau fonds s'adresse aux investisseurs qui cherchent à diversifier leur portefeuille avec une empreinte de durabilité.

Le nouveau fonds investit principalement dans des obligations en monnaie forte émises par des gouvernements et des entités gouvernementales des marchés émergents. Ce véhicule place les problématiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) au cœur de sa stratégie d’investissement. Objectif, promouvoir un engagement durable dans les régions du monde qui ont la plus forte croissance.

Modèle propriétaire

Le fonds vise à se conformer aux exigences de l’article 8 du règlement sur la publication d'informations en matière de durabilité (Sustainable Finance Disclosure Regulation, SFDR) qui entrera en vigueur le 10 mars 2021. Avec ce fonds, les investisseurs bénéficient de l’expertise approfondie de Swiss Life Asset Managers en gestion obligataire et en dette émergente.

Le fonds s’appuie sur un modèle propriétaire « Emerging Market Country ESG Scoring Model » développé par Swiss Life AM, qui permet de réaliser une analyse comparative mais qui capte aussi l’évolution dans le temps de la performance ESG de chaque pays. Ce modèle propriétaire propose également une analyse approfondie des composantes ESG sous-jacentes et révèle leur impact sur la performance ESG des différents pays.

Quels avantages à investir ?

Les pays émergents totalisent aujourd’hui plus des trois cinquièmes de la production mondiale et ont contribué à plus de la moitié de la croissance du PIB mondial (en termes de PPA) ces dix dernières années. La dette souveraine en monnaie forte est l’une des classes d’actifs dont la croissance a été la plus forte au cours de la dernière décennie, et offre une meilleure liquidité que d’autres sous-classes d’actifs des marchés émergents.

L’univers d’investissement est large avec plus de 160 émetteurs répartis dans 74 pays, ce qui permet une importante diversification des investissements permettant ainsi l'optimisation du couple rendement/risque. Comme les entités émettrices sont des gouvernements ou des sociétés publiques, la transparence offerte en termes de couverture par les agences de notation, les médias et les analystes est très grande.

Quelle performance ESG ?

Dans le contexte de récession mondiale provoquée par la pandémie de la Covid-19, il est devenu encore plus important pour les investisseurs de passer en revue tout l’éventail des marchés émergents afin d’y détecter les faiblesses économiques. En plus de l’analyse macroéconomique classique, les facteurs ESG fournissent des informations essentielles sur l’importance accordée par un pays au développement durable, et sont donc un indicateur de la stabilité à long terme d’un pays.

L’importance des facteurs ESG dans les investissements sur les marchés émergents a été mise en évidence lors des ventes massives liées à la pandémie au premier trimestre 2020. Selon les données de l’indice JP Morgan ESG EMBI, les investissements réalisés dans des obligations souveraines centrées sur des thèmes ESG ont surperformé l’ensemble du marché de plus de 1,7 %. D’un point de vue historique aussi, les marchés émergents affichant une meilleure position en matière d’ESG présentent de meilleurs rendements totaux et ajustés du risque.

« Outre l’argument du rendement, celui de la compatibilité parle également en faveur des investissements axés sur des thèmes ESG sur les marchés émergents. En faisant dépendre la capacité et le coût d’emprunt des pays de leur position ESG, les marchés émergents pourraient être encouragés à adopter des pratiques de croissance plus durables », explique Rishabh Tiwari, gérant de portefeuille responsable de la stratégie du fonds.

Lire (4 min.)

2021 : il est temps de revisiter l’allocation émergente

Maxime Alimi
Silex
En 2021, l'environnement économique s'annonce favorable pour les marchés émergents. Quels sont les risques à prendre en compte sur ce segment ? Maxime Alimi, Responsable Macro & Allocation chez Silex.
Lire (3 min.)

Dette émergente : Mirabaud AM lance une deuxième stratégie à échéance fixe

La Rédaction
Le Courrier Financier

Mirabaud Asset Management (AM) —  gestionnaire d’actifs suisse — annonce ce mardi 29 octobre le lancement d’un second fonds de dette émergente à échéance fixe, destiné aux investisseurs en euros. Cette stratégie « Emerging Market 2025 Fixed Maturity » fait suite au lancement réussi — plus tôt cette année — d’une stratégie de dette émergente à échéance 2024, qui affiche 100 M$ d'actifs sous gestion.

Focus sur la stratégie

L'offre « Emerging Market 2025 Fixed Maturity » de Mirabaud sera lancée fin novembre. Le fonds vise à tirer profit des rendements intéressants actuellement offerts par les émetteurs des marchés émergents. Son profil proche d’une obligation présente la même diversification qu’un portefeuille de dette libellée en euros ou couverte contre le risque de change de l’euro.

Cette stratégie offre une exposition aux obligations émergentes libellées en monnaie forte, présentant une échéance en 2025. Elle adopte une approche d’achat et de conservation des titres sur les segments des obligations d’entreprises et des émissions souveraines et quasi-souveraines, en sélectionnant certaines des meilleures opportunités assorties d’un profil rendement/risque parmi les plus élevés des marchés émergents mondiaux.

Avantages de la dette émergente

Ce nouveau support sera géré par Daniel Moreno, Responsable de la dette émergente, et Puneet Singh, gérant senior de portefeuille obligataire. Tous les deux possèdent une longue expérience de l’investissement obligataire sur les marchés émergents. Ils gèrent actuellement la stratégie Global Emerging Market Bond, où ils mettent en œuvre des décisions d’investissement dynamiques entre les sous-classes d’actifs et les devises, à différents stades du cycle économique.

« Dans un contexte de taux d’intérêt historiquement bas en Europe, la dette émergente offre une alternative de choix aux investisseurs qui recherchent un revenu stable, un taux de rendement satisfaisant et un niveau de risque modéré. En investissant dans un fonds à échéance fixe, les investisseurs peuvent atteindre l’ensemble de ces objectifs tout en réduisant considérablement les risques associés au manque croissant de liquidité constaté sur le marché », déclare Daniel Moreno.

Lire (3 min.)

Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

Lire (2 min.)

Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

Lire (2 min.)

Obligations souveraines : attraits émergents

Roland Gabert
DWS
Les obligations souveraines des marchés émergents libellées en euros offrent de plus en plus d'opportunités de diversification du risque de crédit. Quels éléments prendre en compte pour investir sur ce segment de marché ? Quelle stratégie adopter pour diversifier le risque de crédit ? Roland Gabert, Gérant de fonds Obligations des marchés émergents chez DWS, partage son analyse.
Lire (3 min.)

Marchés financiers : un avertissement pour les optimistes

Frédéric Rollin
Pictet AM
Cet été suite au virage accommodant des banques centrales, les investisseurs espèrent une nouvelle ouverture du robinet monétaire. Les mesures de stimulation devraient cependant se révéler inférieures aux attentes des marchés. Les investisseurs ont-ils tort de se montrer optimistes ? Dans ce contexte, quelle stratégie adopter ? Frédéric Rollin, conseiller en stratégie d’investissement chez Pictet AM, partage son analyse.
Lire (2 min.)