Lifento obtient le label LuxFLAG ESG pour son fonds paneuropéen

La Rédaction
Le Courrier Financier

Lifento — société de gestion, spécialiste des fonds immobiliers santé — a annoncé ce vendredi 17 décembre la labellisation LuxFLAG pour son fonds SICAV RAIF Lux « Lifento Care Paneuropean », pour avoir répondu aux critères spécifiques du Label concernant le respect d’objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance. 

ESG et immobilier de santé

Créé en 2020, « Lifento Care Paneuropean » est un fonds spécialisé dans le secteur de l’immobilier de santé et du médico-social — cliniques, EHPAD, centres de santé, résidences médicalisées — dans la zone euro : Portugal, Italie, Allemagne, Pays-Bas, France, Belgique, Luxembourg.

« Nous sommes fiers d’avoir obtenu cette labellisation européenne, qui confirme notre approche ainsi que notre engagement ESG dans nos stratégies d’investissement », réagit Arnaud Chrétien, Président de Lifento.

Lire (1 min.)

Stéphane Levy – Chahine Capital : intégration ESG, « nous envisageons une certification ISR »

La Rédaction
Le Courrier Financier
Au terme d'un an de crise sanitaire, Chahine Capital revient sur sa dynamique de croissance en Europe. Comment la société favorise-t-elle l'intégration des critères ESG dans sa gestion ? Comment les fonds de la gamme Digital Stars adaptent-ils leur allocation en 2021 ?
Voir (<5 min.)

ISR : le fonds BL Sustainable Horizon reçoit deux certifications

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Banque de Luxembourg Investments (BLI) — société de gestion de fonds de la banque privée Banque de Luxembourg — annonce ce lundi 20 juillet avoir reçu deux labels indépendants pour son fonds BL Sustainable Horizon. Ces deux labels attestent de la solidité de son approche ESG. Le premier, le Label ESG LuxFLAG, est attribué par l’organisation à but non lucratif Luxembourg Finance Labelling Agency (LuxFLAG).

Le deuxième, le label ISR, découle d’une initiative du ministère des Finances en France. Tous deux visent à rendre les produits d’investissement socialement responsables (ISR) plus visibles pour les épargnants en Europe et donnent aux investisseurs l’assurance que l’argent placé dans ces produits est réellement investi selon des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

Trois approches complémentaires

L’objectif initial de BL Sustainable Horizon reste d’offrir une solution d’investissement en actions mondiales dotée d’un rapport risque-rendement attractif sur le long terme. A cet objectif financier traditionnel, Joël Reuland ajoute des objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance concrets et mesurables. Il combine trois approches complémentaires de l’investissement ISR : tout d’abord, il exclut de son univers d’investissement les secteurs d’activités sujets à controverses.

Ensuite, Joël Reuland sélectionne les entreprises en distinguant deux poches : une poche quantitative composée de sociétés dont les notations sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance sont supérieures et une poche thématique dans laquelle il intègre des entreprises dont les produits ou services contribuent à la réalisation d’un ou plusieurs Objectifs de Développement Durable (ODD) de l'ONU.

Investissement responsable

« Avec BL Sustainable Horizon, nous tentons d’aller au-delà de notre responsabilité fiduciaire classique de gérant d’actifs et visons à apporter notre pierre à l’édifice de l’investissement responsable avec pour objectif de contribuer par nos investissements à un meilleur équilibre économique, social et environnemental », explique Joël Reuland, gestionnaire de fonds de BLI.

La combinaison de ces approches ESG avec l’analyse financière fondamentale classique de BLI permet d’identifier des entreprises de qualité dotées d’avantages compétitifs clairs et d’un profil ESG solide, vecteurs de création de valeur à long terme. « Dans un monde marqué par des déséquilibres sociaux, économiques et environnementaux croissants, une économie durable mettant l’accent sur la responsabilité sociétale et environnementale est plus que jamais nécessaire », conclut Joël Reuland.

Lire (3 min.)