Twitter et eToro veulent enseigner le trading aux internautes

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce jeudi 13 avril, Twitter annonçait un partenariat avec la plateforme d'investissement eToro — en améliorant sa fonctionnalité $Cashtags. Objectif, favoriser l'éducation financière des utilisateurs. Le point avec Le Courrier Financier.
Lire (3 min.)

L’AMF veut rendre les marchés financiers plus attractifs pour les entreprises

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des marchés financiers (AMF) annonce ce jeudi 3 février soutenir les objectifs de la Commission européenne (CE) afin rendre les marchés financiers plus attractifs pour les sociétés de l’Union européenne (UE), et de faciliter l’accès des PME aux capitaux en simplifiant le processus de cotation par des ajustements ciblés.

A l’occasion de sa réponse à la consultation lancée par la CE sur la simplification des règles de cotation, l’AMF souligne dans un papier de position que le cadre réglementaire européen existant est robuste. Une refonte des règlements clés, tels que le règlement Prospectus et le règlement Abus de marché, serait contreproductive. En outre, une certaine stabilité réglementaire est essentielle suite aux récentes réformes et autres initiatives en cours.

Accès aux marchés de capitaux

Si la publication d’un prospectus représente un coût pour l’émetteur, ce document permet de réduire l’asymétrie des informations communiquées aux différents participants du marché. Les listes d’initiés sont elles aussi utiles, dans la mesure où elles préservent l’intégrité du marché et protègent les investisseurs. Le papier de position détaille également dans quelle mesure des changements apportés à des concepts de base de ces règlements pourraient entraîner une forte incertitude pour les participants de marché, ainsi que de nouveaux coûts de mise en conformité, alors que ces concepts sont d’ores et déjà bien appréhendés. 

Pour faciliter l’accès des PME aux marchés de capitaux, l’AMF recommande de supprimer l’obligation d’établir un prospectus européen dans le cas d’une offre publique de titres par des sociétés dont les titres sont admis à la négociation sur les marchés de croissance de PME ou qui cherchent à être admis sur de tels marchés. L’AMF propose donc de modifier la directive MIF II, de manière à demander aux émetteurs qui souhaitent offrir des titres au public sur les marchés de croissance des PME de publier un simple document d’information. Objectif, permettre aux investisseurs d’évaluer en connaissance de cause la situation financière et les perspectives de l’émetteur, ainsi que les droits attachés à ses titres.

Nouvelles propositions de l'AMF

En outre, l’AMF propose de relever à 1 milliard d’euros le seuil de capitalisation boursière définissant une PME dans la directive MIF, ce qui permettrait d’augmenter le nombre de PME bénéficiant de l’accès à un marché de croissance des PME. Cette population élargie d’entreprises de taille moyenne considérées comme des PME bénéficierait des allègements accordés aux marchés de croissance des PME dans la législation européenne et favoriserait le développement de petits émetteurs cotés, ainsi que la liquidité sur ces places boursières.

Enfin, l'AMF recommande une modification ciblée du règlement Prospectus afin de faciliter le processus de levée de fonds pour tous les émetteurs sur les marchés réglementés, en ramenant la période minimale entre la publication du prospectus et la clôture de l'offre pour les offres primaires à trois jours ouvrables au lieu des six jours minimums actuels. Cela permettrait de réduire les risques d'exécution et de faciliter les processus de constitution de carnet d'ordres qui réunit l’ensemble des demandes des investisseurs.

Faciliter la cotation des PME

La promotion de conditions de concurrence équitables en termes d'exigences réglementaires entre les entreprises cotées et non cotées est essentielle à l'efficacité de l'Union des marchés de capitaux et devrait être un principe fondamental guidant toute réforme future.

A l'exception des obligations spécifiquement liées au processus de cotation lui-même, l'AMF considère que le droit communautaire devrait éviter d'introduire des obligations d'information supplémentaires, qui ne relèvent pas de l’information permanente au sens du règlement Abus de marché, uniquement pour les entités cotées. Cela serait susceptible de décourager les PME de chercher à s'introduire sur les marchés financiers et d'accélérer les tendances à la radiation que nous pouvons observer dans l'UE.

Lire (4 min.)

Démarchage abusif : la CNCEF Assurance réclame l’entrée en vigueur de l’auto-régulation

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Chambre Nationale Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF) Assurance annonce ce mercredi 2 septembre avoir pris connaissance des sanctions délivrées par la Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) à l’encontre de courtiers en assurance, qui ne respectent pas la législation adoptée fin juillet, en matière de démarchage téléphonique.  

Face à ce constat, la CNCEF Assurance invite les Parlementaires à examiner la proposition de loi relative à l’auto-régulation du courtage en assurance dès cette rentrée. L’association soutient la proposition de loi initiée par Valéria Faure-Muntian, députée en charge de ce texte.

Information et devoir de conseil

« Sous la forme d’un article unique, ce texte peut être inséré aisément à l’ordre du jour des travaux de l’Assemblée Nationale. Il assurera à la fois la bonne pratique des professionnels en exercice et la légitime information et protection des consommateurs », plaide Stéphane Fantuz, Président de la CNCEF Assurance.

Enfin, « L’ACPR a rappelé à différentes reprises que la souscription à distance, qui plus est par démarchage téléphonique, ne doit pas altérer l’information et le conseil délivrés au client » souligne l’association.

Lire (1 min.)

Marché obligataire : l’AMF évalue la transparence introduite par MIF 2

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des marchés financiers (AMF) publie ce 19 mai une étude sur les effets des mesures de transparence introduites sur le marché obligataire, en ce qui concerne les conditions d’accès et l’utilisation par les intervenants de marché de données sur les transactions. Ce document dresse un premier bilan, plus de deux ans après l’entrée en application du cadre réglementaire européen des marchés d’instruments financiers MIF2.

Trop peu de transparence

Depuis le 3 janvier 2018, les obligations de transparence sur les données de transactions ont été étendues aux instruments assimilées aux actions — par exemple fonds cotés sur indices, exchange traded funds ou aux certificats — mais également à d’autres instruments, dont les obligations. Ces informations portent notamment sur les volumes, les prix et l’heure de conclusion des transactions. Elles doivent être publiées dans des délais imposés et via des dispositifs agréés, que les transactions aient lieu sur une plateforme de négociation ou qu’elles soient effectuées de gré à gré.

Dans le cadre de sa mission de surveillance des marchés — et alors que la Commission européenne a commencé ses consultations en vue d’une réforme de MIF2 — le régulateur a souhaité examiner les effets de cette transparence post-négociation sur le marché obligataire. Son analyse a été menée sur le périmètre des titres de dette émis par des sociétés françaises. Il en ressort que la transparence des transactions n'est pas assez accessible, fiable et complète pour que les investisseurs puissent l’exploiter réellement.

Accessibilité et qualité

La transparence est fragmentée entre une douzaine de plateformes, auxquelles il faut ajouter de nombreux dispositifs agréés — en anglais « approved publication arrangements » ou APA — pour les transactions réalisées de gré à gré. Or les fournisseurs de données ne proposent pas, à ce jour, de vision consolidée de l’ensemble. Selon les moyens à leur disposition, les intervenants n’ont donc pas toujours une vision exhaustive du marché. De plus, l’accès à ces données demeure difficile.

Certains services de publication ne remplissent pas encore l’intégralité des critères définis par l’Autorité européenne des marchés financiers (AEMF ou ESMA en anglais) en termes d’accessibilité. Au-delà de la question de l’accès, l’étude montre une donnée d’une qualité mitigée. Par exemple, le taux de recouvrement entre les données de transparence et le reporting au régulateur s’établirait entre 25 % et 45 % en termes de volumes échangés, un niveau particulièrement faible.

Vers plus de coordination

L’AMF confirme son engagement en faveur de l’amélioration de la transparence sur les marchés obligataires. Elle continuera d’œuvrer à l’amélioration de la qualité des déclarations, tant concernant la transparence sur les transactions vis-à-vis de l’ensemble du marché que les reportings aux régulateurs.

Elle promeut une coordination internationale avec les autres régulateurs pour renforcer le respect des exigences faites aux dispositifs de publication agréés et aux plateformes de négociation s’agissant de l’accès aux données. Enfin, l’AMF soutient l’émergence d’un système consolidé de publication des données de transactions, une mesure très attendue par le marché. 

Lire (3 min.)

Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

Lire (3 min.)

La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

Lire (2 min.)

Comptes semestriels : l’AMF rappelle quelques principes

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité des marchés financiers (AMF) publie ce mercredi 20 mai sur son site quelques éléments clés pour aborder la présentation des rapports financiers semestriels et la communication qui l’accompagne. Objectif, accompagner au mieux les entreprises face au coronavirus.

Fiabilité de l'information

Les incertitudes restent fortes concernant les conséquences, la durée et l'intensité des effets de la pandémie sur l’économie et l’activité des sociétés cotées. L’information donnée par les émetteurs aux investisseurs est donc essentielle pour maintenir la confiance et assurer une bonne formation des prix sur le marché. Elle doit être fiable, spécifique et aussi détaillée.

A cet égard, la publication des comptes semestriels constitue une échéance décisive. L’information financière semestrielle permette aux investisseurs d’appréhender au mieux la situation et la performance financières des sociétés. Les investisseurs ont besoin d’informations prospectives, notamment sur la situation de liquidité et les besoins financiers.

6 principes à respecter

Pour aider les entreprises à préparer ce rendez-vous, l’AMF rappelle quelques principes utiles. Sa publication accompagne la communication de l’Autorité européenne des marchés financiers (AEMF ou ESMA en anglais) qui a été adaptée au contexte français. Elle aborde ainsi les points suivants :

  • les informations dans les états financiers intermédiaires et le rapport de gestion, comme le recours à des jugements et hypothèses significatifs ou encore les informations attendues par les marchés sur les risques financiers (par exemple des renégociations de dette ou de nouveaux financements) ;
  • le communiqué sur les résultats et les indicateurs de performance ;
  • la présentation des états financiers ;
  • la continuité d’exploitation ;
  • les tests de dépréciation ;
  • les contrats de location.

D’une manière générale, l’AMF encourage les émetteurs à faire œuvre de pédagogie et à préciser les hypothèses retenues. Elle invite les sociétés qui ne seraient pas en mesure de publier leur rapport financier semestriel comme prévu — ou qui souhaiteraient mettre pleinement à profit la période des trois mois accordée par la réglementation financière — à communiquer au marché dès que possible leur nouveau calendrier.

Lire (3 min.)

Informations : quel impact sur les marchés ?

Cyrille Geneslay
La transmission de l’information répond à des règles précises.
Lire (2 min.)

Les jeunes PME plus exposées aux risques de fuites d’infos

La Rédaction
Le Courrier Financier
Les entreprises de moins de cinq ans ont deux fois plus de risques de compromettre la confidentialité d’informations sensibles que leurs aînées plus établies, selon une étude sur les pratiques de sécurité et de gestion de l’information des PME commandée Iron Mountain.
Lire (3 min.)

Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

Lire (2 min.)

Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

Lire (2 min.)

Creditsafe s’attaque au Moyen-Orient

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cette nouvelle étape permet à Creditsafe d’augmenter sa plateforme d’informations financières de 21% passant ainsi à 230 millions d’entreprises publiques, privées et institutions. Les clients de Creditsafe pourront accéder instantanément à une base de rapports enrichis dans ces pays, notamment sur les sociétés publiques. Ces rapports sur les sociétés cotées ou « Publicly owned companies » (PLC) incluront de nouvelles données financières ou relatives à la concurrence et la répartition géographique du chiffre d’affaire.

« Les entreprises ne cessent d’identifier de nouvelles régions dans le monde avec lesquelles établir des échanges commerciaux. C’est notre métier que de leur apporter les informations permettant de faciliter leur prise de décision dans le choix de partenariats commerciaux, et de limiter leur exposition au risque, ce dans le monde entier. Nous améliorons constamment les informations existantes, et c’est précisément la raison pour laquelle nous avons ajouté une nouvelle série de données à nos rapports internationaux, notamment sur les Entreprises publiques. Utilisées conjointement, ces mises à jour accompagneront nos clients dans une vision plus nette et détaillée de l’activité de leurs clients et fournisseurs à l’échelle mondiale », commente Damien Barthélémy, directeur général de Creditsafe France.

Cette annonce fait suite à la dernière mise à jour de la base Creditsafe en mai dernier, qui mettait alors quelques 40 millions de rapports d’entreprises chinoises à disposition de ses utilisateurs. Le niveau d’information dont Creditsafe dispose dépend des pays concernés, selon les règlementations locales. Là où l’information n’est pas disponible, Creditsafe lance des enquêtes via ses partenaires et obtient des rapports mis à jour sur demande.

En 2016, e, France, l'entreprise affiche près de 13 000 clients à son actif et ambitionne de poursuivre sa croissance sur le marché français.

Lire (2 min.)

PRIIPS : les professionnels s’unissent dans la lutte

La Rédaction
Le Courrier Financier
La mise en oeuvre de la nouvelle réglementation européenne sur la protection des investisseurs, PRIIPS, continue d'animer les débats de la place. Les professionnels du secteur n'auront pas attendu la fin de l'été pour mener une nouvelle opération de lobbying à l'encontre de ce dispositif.
Lire (4 min.)