Relance verte : l’IFC et Amundi lancent une stratégie obligataire de 2 milliards de dollars

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Société Financière Internationale (IFC), membre du Groupe de la Banque mondiale, et Amundi — premier gestionnaire d'actifs européen — annonce ce mercredi 3 novembre le lancement d'une stratégie obligataire durable sur les marchés émergents, à hauteur de 2 Mds$ d’investissements privés. Objectif, relever le double défi de la lutte contre les inégalités et le changement climatique ; et soutenir la lutte contre le Covid-19 en favorisant une reprise verte, résiliente et inclusive.

Une stratégie à horizon 10 ans

Dévoilée en marge de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques COP 26 à Glasgow en Écosse, la stratégie « Build Back Better Emerging Markets Sustainable Transaction Bond » (BEST) de ce nouveau fonds sera gérée par Amundi. Ce fonds permettra d’orienter les capitaux des investisseurs institutionnels vers des émissions obligataires durables émanant d’entreprises et institutions financières dans les pays en développement. Objectif, orienter le financement vers des domaines prioritaires, tels que le climat et l’égalité femmes-hommes.

La stratégie BEST aura une durée de vie prévisionnelle de 10 ans. Elle contribuera aux engagements pris par IFC dans le cadre du Plan d'actions sur le changement climatique du Groupe de la Banque mondiale. Elle fait suite à deux fonds d'obligations climat sponsorisés par IFC : le fonds « Amundi Planet Emerging Green One » axé sur les obligations vertes émises par des institutions du secteur financier et le fonds « HSBC Real Economy Green Investment Opportunities » (REGIO), axé sur les obligations vertes émises par des sociétés non financières. Elle compte parmi les engagements sociétaux du Groupe Crédit Agricole.

Obligations durables émergentes

« La pandémie de Covid-19 et le changement climatique représentent des menaces interdépendantes pour les pays en voie de développement. Des mesures urgentes sont nécessaires pour éviter que des millions de personnes supplémentaires ne tombent dans la pauvreté, protéger les emplois et assurer un avenir plus écologiqueLes initiatives innovantes sur les marchés de capitaux peuvent jouer un rôle essentiel , en stimulant l'investissement privé, en suscitant un nouvel intérêt pour les actifs durables et en soutenant la reprise économique », déclare Makhtar Diop, Directeur général d’IFC.

La Covid-19 a représenté un coût élevé pour les marchés émergents et les économies en développement en augmentant la pauvreté, en ralentissant la croissance économique et en limitant la capacité des gouvernements à apporter un soutien budgétaire. La croissance des émissions d'obligations durables par le secteur privé — conjuguée à l'augmentation des investissements en obligations vertes — peut contribuer à combler les écarts de financement sur les marchés émergents. L'initiative fournira un nouveau modèle pour les autres gestionnaires d'actifs et les investisseurs institutionnels désireux de reproduire et amplifier son impact.

Partenariat entre IFC et Amundi

« Nous sommes fiers de poursuivre le développement de notre partenariat avec IFC, suite au lancement réussi d'Amundi Planet Emerging Green One en 2018. Cette nouvelle initiative contribuera à développer le marché des fonds obligataires durables sur les marchés émergents. Elle démontre également le rôle de premier plan d'Amundi dans la finance responsable et constitue un bel exemple des avantages des partenariats public-privé pour les investisseurs et l'ensemble de l’économie », déclare Valérie Baudson, Directrice Générale d'Amundi. 

Les investissements de BEST seront conformes aux normes mondiales régissant les obligations durables. Un mécanisme d'examen permettra de s'assurer que ces investissements soient bien alignés avec les objectifs de la stratégie. Afin d'étendre sa portée aux pays à faibles revenus, le guichet du secteur privé de l'Association internationale de développement (IDA PSW) envisage la fourniture d'une garantie de crédit partielle, par le biais de sa facilité de financement mixte. La stratégie BEST sera accompagnée d'un mécanisme d'assistance technique qui vise à accroître la qualité et la quantité des émissions obligataires durables sur les marchés émergents.

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Obligations vertes : un rôle crucial sur les marchés émergents, d’après un rapport Amundi et IFC

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amundi — premier gestionnaire d'actifs en Europe — et l’International Finance Corporation (IFC) — affilié à la Banque mondiale — publient ce mardi 30 avril leur rapport sur les obligations vertes au sein des marchés émergents. Ce document s'intitule Amundi-IFC Emerging Market Green Bond Report 2018 (en anglais). C'est le premier rapport consacré aux investissements en obligations vertes des marchés émergents. Il présente des informations sur le marché, et des prévisions basées sur des données publiques, toutes deux essentielles pour les émetteurs et les investisseurs.

Changement climatique et opportunités d'investissements

Les marchés émergents sont les régions les plus exposées aux risques liés au changement climatique, mais ils sont confrontés à un défi sans précédent pour décarboner leurs économies tout en maintenant une trajectoire de développement économique durable. Répondre aux besoins de financement nécessaires à la construction de nouvelles infrastructures compatibles avec ces défis nécessite des capitaux venant aussi bien du secteur public que du secteur privé.

Le capital des investisseurs institutionnels privés disponibles aujourd'hui dans les marchés développés est estimé à 147 400 milliards de dollars. Toutefois, le transfert de ces capitaux par le biais d'opportunités d'investissement appropriées dans les marchés émergents reste difficile. Dans les seuls grands centres urbains, les opportunités d'investissement inexploitées sont estimées à 29 000 milliards de dollars d’ici 2030, réparties entre six secteurs clés : déchets, énergies renouvelables, transports publics, eau, véhicules électriques et bâtiments écologiques.

Les obligations vertes restent le meilleur moyen pour les marchés émergents de financer leur croissance durable. Entre 2012 et 2018, les émissions cumulatives d'obligations vertes ont atteint 140 milliards de dollars sur 28 marchés. L’IFC estime que ce chiffre pourrait atteindre entre 210 et 250 milliards de dollars en 2021. Les institutions financières représentent plus de 50 % des émissions d'obligations vertes sur les marchés émergents. Diversifier l'éventail d’émetteurs permettrait d'ouvrir l'usage des obligations vertes aux sociétés non financières privées.

Les obligations vertes dans les économies émergentes

Les premières émissions d'obligations vertes des marchés émergents ont eu lieu en 2012 en Afrique du Sud, mais la croissance mondiale de ce genre d'obligations est tirée par la Chine, la région Asie de l'Est et Pacifique représentant 81 % du marché. Malgré un ralentissement des émissions obligataires mondiales en 2018, l’émission d’obligations vertes dans les marchés émergents a continué à un rythme soutenu — 43 milliards de dollars d'obligations vertes ont été émises, avec des primo-émetteurs enregistrés dans six pays.

Les institutions financières des marchés développés ont représenté 18 % du total des émissions d'obligations vertes. Elles constituent cependant le secteur d'émission le plus important dans les marchés émergents, avec 57 % des émissions cumulées d'obligations vertes, suivies des sociétés non financières (25 %), des agences gouvernementales (14 %), des souverains (2 %) et des municipalités (1 %). Les énergies renouvelables représentent le premier secteur dans les marchés émergents, suivis par les transports à faible émission de carbone, l'eau, les bâtiments écologiques et les déchets.

La taille des émissions d'obligations vertes des marchés émergents varie entre 1,5 million et 4,4 milliards de dollars, avec une taille moyenne de 385 millions. Environ 34 % sont en devise forte et, si l’on exclut la Chine, les émissions obligataires en devise locale représentent 6 % des émissions cumulées d'obligations vertes des pays émergents. Environ la moitié des obligations ont une notation, et parmi celles-ci environ 90 % sont notées « investment grade ».

Quel avenir sur les marchés émergents ?

Alors que le marché des obligations vertes dans les pays émergents a d'abord progressé à un rythme plus lent que dans les pays développés, les marchés émergents ont connu un « rattrapage » notable en termes de part d'émission. Les émissions d'obligations vertes ont représenté environ 2,4 % du total des émissions dans les marchés développés en 2018, alors qu’elles représentent 3 % des émissions d'obligations totales des pays émergents.

Paulo de Bolle, Directeur mondial des Institutions financières de l’IFC, déclare : « Le marché des obligations vertes s'est rapidement développé ces dernières années et les marchés émergents devraient contribuer de plus en plus à cette trajectoire de croissance dans le futur. Dans ce contexte, il est essentiel que les émetteurs et les investisseurs disposent des informations indispensables pour continuer à investir dans les obligations vertes, en particulier dans les économies de marché émergents en pleine croissance ».

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Naissance du plus grand fonds d’obligations émergentes vertes

La Rédaction
Le Courrier Financier
Avec un encours de 1,42 milliards de dollars, ce fonds prévoit d’investir près de 2 milliards de dollars dans des obligations vertes dans les pays émergents durant sa durée de vie. Avec un engagement de 256 millions de dollars, IFC est le plus grand investisseur dans le fonds qui vise à financer des projets focalisés sur le changement climatique dans les pays émergents. Amundi Planet EGO adopte une approche intégrée en investissant dans des obligations vertes de pays émergents tout en favorisant la création d’un marché d’obligations vertes de qualité par la mise en place de mesures d’accompagnement des émetteurs. Un programme d’assistance technique géré par IFC avec une subvention initiale de 7,5 millions de dollars émanant du SECO (Secrétariat d’Etat à l’économie suisse) aidera en effet à la création de nouveaux marchés pour le financement climatique en développant des standards d’obligations vertes et en proposant des programmes de formation pour les institutions financières cibles. Cela facilitera l’adoption par ces dernières des « Green Bond Principles » et des meilleures pratiques internationales. Plusieurs grands fonds de pension (Alecta, AP3, AP4, APK Pensionkasse, APK Vorsorgekasse AG, ERAFP, MP Pension), compagnies d’assurances (Crédit Agricole Assurances, LocalTapiola General Mutual Insurance Company, LocalTapiola Mutual Life Insurance Company), gestionnaires d’actifs,  banques de développement international, et autres institutions ont manifesté un grand intérêt pour ce projet de finance verte et leur engagement démontre l’appétit croissant des investisseurs pour l’investissement climatique. « Avec environ 500 millions de dollars américains d'émissions par les institutions financières du secteur privé à ce jour, les marchés de capitaux verts dans les pays d'opérations de la BERD sont encore à un stade naissant. Ce nouveau fonds devrait contribuer à étendre considérablement la disponibilité de financements verts dans les régions où la BERD est présente, sensibiliser les investisseurs locaux aux investissements verts et soutenir les institutions financières locales dans l'émission d'obligations vertes adhérant aux Green Bond Principles »,  déclare Sir Suma Chakrabarti, Président de la BERD. Un comité scientifique composé d’experts de la finance verte issus d’institutions de développement a été mis en place pour conseiller Amundi en tant que gérant du fonds. La politique ESG du fonds reflète les Standards de Performance 2012 d’IFC et les « Activités Exclues » par IFC. La signature de l’Accord de Paris sur le Climat créé des opportunités d’investissement significatives. Une étude récente d’IFC portant sur 21 pays émergents, recense près de 23 trillions de dollars d’opportunités d’investissements d’ici 2030 en lien avec la lutte contre le dérèglement climatique.
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Proparco et IFC investissent dans un Green Bond pour stimuler les energies renouvelables au Maroc

La Rédaction
Le Courrier Financier
Il s'agit de la première émission d'obligations vertes en devise étrangère pour le Royaume et pour IFC et Proparco de la première souscription à des obligations vertes dans la région. D'une maturité de dix ans, ces obligations permettront à BCP, l'un des plus importants groupes bancaires marocains, de refinancer sur le long terme certains projets d'énergie renouvelable. L'objectif principal de cette opération est de créer un mécanisme de financement durable pour que les banques prennent en charge les investissements à long terme sur des actifs verts, en canalisant l'argent institutionnel privé vers la finance climatique via les marchés financiers. « Lutter contre le changement climatique est une priorité d'IFC dans la région et le Maroc est très actif dans ce domaine », a indiqué Mouayed Makhlouf, le Directeur d'IFC pour la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord. « En s'appuyant sur notre partenariat de longue date avec la BCP, nous voulons encourager davantage d'investissements du secteur privé dans des projets à long terme d'énergie renouvelable, qui ouvrent la voie à un développement et une croissance économique plus durables. » « Cette initiative innovante et historique s'inscrit en ligne avec les engagements pris l'an dernier par le Maroc lors de la COP22 à Marrakech », a précisé Yazid Safir, le Responsable du bureau Afrique du Nord de Proparco. « Cette opération pilote pour Proparco nous permettra de stimuler le marché des capitaux marocains et de développer de nouvelles souscriptions à des Green Bonds dans d'autres géographies, tout en renforçant notre partenariat de longue date avec le groupe BCP. » Le financement devrait aider à économiser l'équivalent de 938 000 tonnes d'émissions de CO² en moyenne par an, ainsi que l'équivalent de 17,36 millions de tonnes de CO² en économies de gaz à effet de serre sur le reste de la durée de vie des projets financés. Le Rapport d'IFC Climate Investment Opportunities Report, publié en novembre 2016, a identifié des opportunités d'investissement climatique dans certains secteurs de l'ordre de 23 000 milliards de dollars dans 21 pays émergents d'ici 2030 et de 68 millions de dollars rien qu'au Maroc. Proparco s'est engagée à consacrer 2 milliards d'euros d'ici 2020 à des projets participant à la lutte contre le changement climatique. Le programme de Green Bond d'IFC contribue à inciter l'investissement privé dans des projets à faible émission de carbone. En juin 2017, IFC avait émis 5,8 milliards de dollars en obligations vertes dans 12 devises.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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ThomasLloyd et IFC financent des centrales à biomasse aux Philippines

La Rédaction
Le Courrier Financier
ThomasLloyd et IFC signent des contrats de crédit définitifs s'élevant à 161 millions d'USD pour le financement de centrales à biomasse aux Philippines.
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