Assurance vie : transition et résilience en 2022

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
Flambée de l'inflation, incertitudes géopolitiques et économiques... En 2022, l'assurance-vie a prouvé sa résilience. Quel bilan pour cette année hors norme ? Quelles perspectives en 2023 ? Philippe Crevel, Directeur du Cercle de l'Epargne, partage son analyse.
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Septembre 2021 : assurance vie, une rentrée en douceur

Philippe Crevel
Cercle de l'Epargne
En septembre 2021, l'assurance vie retrouve son niveau d'avant-crise et confirme son statut de premier placement financier des ménages français. Quelles perspectives d'ici la fin de l'année ?
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Fonds en euros : se désintoxiquer, une nécessité pour les épargnants français

Vincent Cudkowicz
Primaliance
Les chiffres sont formels, le fonds en euros, tel qu’on l’a connu depuis plus de 20 ans est condamné ! Pour conserver leur rentabilité, les épargnants français doivent se détacher de leurs réflexes et délaisser les fonds en euros pour se tourner vers d’autres produits. Il en va de leur salut patrimonial. Le point avec Vincent Cudkowicz, cofondateur et directeur général de Bienprevoir.fr et Primaliance.
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Assurance vie : faut-il investir dans un contexte de marché volatil ?

Philippe Lauzeral
Stellium
Il n'est pas évident pour les épargnants de savoir vers quels placements financiers ils peuvent se tourner. La crise sanitaire a rebattu les cartes, et l’avenir incertain n’aide pas à se faire des convictions. Pourquoi le contexte est-il propice à l’ouverture d’un contrat d’assurance vie ou au reversement d’un contrat existant ? Eléments de réponse avec Philippe Lauzeral, Directeur Général Délégué de Stellium.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Fonds en euros : quelle place demain dans l’épargne des Français ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Fidelity International — spécialiste des services de gestion de placements — dévoile ce mardi 9 juin les résultats de sa dernière étude, réalisée avec le cabinet Insight AM. L'enquête s'intitule « Fonds en euros : Quelle place demain dans l’épargne des Français - Regards croisés entre les épargnants et leurs conseillers financiers ». Elle a été menée dans le contexte de la crise sanitaire du coronavirus, auprès de plus de 1 000 épargnants et 400 conseillers financiers et banquiers privés.

L'avenir du fonds en euros

Si le fonds en euros reste le placement privilégié des épargnants français dans le cadre de contrats d’assurance-vie, dont les encours s’élevaient à 1 741 milliards d’euros (fin mars 2020), la baisse de ses rendements a connu une sensible accélération. Les souscripteurs en assurance-vie se voient désormais davantage sollicités pour mobiliser leur poche en UC, en vue de compenser la baisse des rendements.

« Le marché français de l’épargne est indéniablement entré dans une phase de mutation sans précédent, et nécessite des réponses pour se préparer à un environnement où la recherche de rendement face à l’érosion des solutions établies et garanties devient ardue et perpétuelle », commente Christophe Gloser, Direxteur des ventes pour l'Europe continentale chez Fidelity International.

Des épargnants avertis

Contrairement aux idées reçues, une large part des épargnants français semblent disposer d’une culture financière. Près de 60 % des épargnants sont bien informés de la forte baisse des rendements du fonds en euros dans les contrats d’assurance vie.

Fidelity International note une prise de conscience de la majorité des épargnants ; 80 % se déclarent insatisfaits des rendements servis sur le fonds en euros, qui ne pourrait à lui seul délivrer une performance conforme à leurs objectifs de long terme. Par ailleurs, 50 % des épargnants interrogés souhaitent réagir à la prochaine baisse de rendements.

Les UC plébiscitées

Les épargnants avertis plébiscitent les UC comme solution alternative à la baisse des rendements du fonds en euros. Si différentes manières d’agir sont envisagées, près de 48 % sont favorables à la proposition d’accroitre leur part d’UC. Il pourrait sembler dès lors que l’aversion au risque de l’épargnant français ne soit qu’une légende urbaine.

C’est également ce pour quoi plaide l’analyse des types d’UC privilégiés avec un arbitrage au profit des actifs risqués et du rendement, qui ressort explicitement dans l’étude : 51 % des interrogés déclarent préférer se diriger vers des actions ou des actifs diversifiés et 35 % préfèrent des UC favorisant le rendement.

Quid de la baisse des marchés ?

Les répondants ont été sondés avant et pendant le confinement. L’évolution de leurs réponses donne aussi une analyse intéressante de leur comportement à l’égard du risque durant cette période : pendant le confinement, ils étaient 39 % à souhaiter accroitre leur niveau de risque via les UC (contre 48 % auparavant).

Cela peut se lire, soit par davantage de prudence — l’incertitude engendrée par la crise du coronavirus conduisant à un plus fort immobilisme — soit par le fait que les épargnants aient déjà profité pleinement de l’effet d’aubaine dans la première phase de baisse des marchés, phénomène aussi connu sous le nom de « achat au son du canon ».

L’effritement des marchés boursiers sur la première baisse (en amont du confinement) aurait été une opportunité pour ces investisseurs avertis d’accroitre la part d’UC dans leurs contrats. Ainsi, la seconde vague de baisse — correspondant au début de la phase de confinement — aurait-elle limité l’amplitude du mouvement. Par ailleurs, les UC Actions et Diversifiés se voient renforcées comme axe d’investissement privilégié.

Prudence et proximité

Côté conseillers, cet environnement de baisse des rendements du fonds en euros a permis une plus grande proximité avec leurs clients, en leur donnant l’opportunité d’apporter un conseil plus régulier et plus congru. L’étude montre que 87 % des conseillers considèrent avoir anticipé la dégradation des rendements dans les portefeuilles de leurs clients — ce qui explique la grande réactivité constatée de ces derniers.

Les distributeurs recommandent à leurs clients de renforcer leurs UC, à niveau égal avec l’investissement immobilier (66 %). L'étude relève des différences marquées entre type de distributeurs. Les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) plébiscitent fortement l’immobilier (69 % contre 44 % pour les conseillers de banques privées), alors que les banquiers privés s’orientent en faveur des UC (75 % contre 65 % pour les CGP).

Des aménagements en vue

Si les distributeurs considèrent largement le recours aux UC, leur appétence pour le risque est moins notable que celle de leurs clients en termes de sous-jacents. Les conseillers soulignent leur besoin d’une révision des gammes de supports en UC mises à leur disposition (65 %) de la part de leurs promoteurs, passant prioritairement par le déploiement de véhicules à risque limité (SRRI de niveau 2 ou 3), de véhicules immobiliers et de produits favorisant le rendement.

Les conseillers se prononcent également pour plus de personnalisation de la relation avec leurs clients dans ce contexte. Cela passe d'abord par un conseil plus prononcé et plus régulier (66 %). Un besoin d’accompagnement plus marqué des clients, à travers des explications claires sur le budget de risque utilisé, ressort également (44 %), tout autant qu’un besoin de suivi et de flexibilité sur des arbitrages en portefeuilles plus systématiques (44 %).

Des pistes de réflexion

Si les épargnants ont pris acte de la nécessité d’agir, l’attachement à la notion de garantie reste très ancré. Leur capacité à prendre du risque ne remet pas en cause leur volonté de conserver une garantie sur une partie conséquente des encours. Ils sont 27 % à être prêts à ne bénéficier que d’une garantie nette de frais — majoritairement le cas aujourd’hui — et 17 % à ne bénéficier d’une garantie qu’en cas de détention sur longue période. Les autres propositions, plus risquées, sont moins envisagées.

D’autre part, les résultats de l’étude démontrent qu’il existe deux types d’épargnants en France : ceux qui sont conseillés et donc avertis, et ceux qui nécessitent d’être mieux accompagnés pour ainsi étoffer leur culture aux produits d’épargne. 60 % des épargnants considèrent ne pas avoir reçu de proposition de solution alternative par leur établissement financier face à la baisse des rendements du fonds en euros, ce qui suggère des écarts face à l’accès au conseil en fonction des typologies d’épargnants.

Avec ces constats en tête, les distributeurs de produits d’assurance vie, aux côtés de leurs partenaires promoteurs, peuvent engager ou approfondir leurs réflexions pour réinventer la structure des produits d’épargne proposés à leurs clients, associant garantie et rendement. Les besoins en formation et en accompagnement des clients — au travers de la pédagogie et des outils digitaux — constituent également des pistes à approfondir ensemble pour répondre au besoin d’évolution du marché de l’épargne.

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Conseil Financier Indépendant : les CGP très réactifs pendant la crise, selon Nortia

La Rédaction
Le Courrier Financier

Nortia — spécialiste en assurance vie, compte-titres et prévoyance, filiale du groupe DLPK — publie ce jeudi 6 mai son Observatoire du Conseil Financier Indépendant. D'après cette étude, la crise mondiale du Covid-19 a fortement impacté les choix des CGP partenaires de Nortia et de leurs clients.

Vision à long terme

L'Observatoire s'appuie sur les mouvements d’arbitrages, les versements initiaux et complémentaires — par classe d’actifs — de près de 1 000 CGP actifs sur la plateforme Nortia. Dédiée aux CGP avec 12 milliards d’euros d’encours, Nortia mesure les grandes tendances en termes d’allocation.

Sécurisation et diversification des portefeuilles, les CGP sont restés très réactifs. « La crise sanitaire n’a pas suscité de mouvement de panique chez les investisseurs, une vision de long terme qui a permis à nos partenaires de continuer à placer des capitaux dans les fonds actions européennes et internationales, notamment », analyse Philippe Parguey, directeur général.

Collecte et encours

En termes de collecte brute sur le trimestre, la part des OPCVM est passée de 35 % au 4e trimestre 2019 à 26 % au 1er trimestre 2020. Le grand gagnant sur la période reste l’immobilier, qui passe de 10 % au 4eT 2019 à 23 % au 1er T 2020. Tous les types de supports sont concernés (SCPI, OPCI, etc.), ce qui confirme leur place majeure de la gestion de patrimoine. La part dédiée aux fonds en euros reste stable.

En termes d’encours, la part consacrée aux fonds en euros continue à témoigner de la volonté des CGP de sécuriser les portefeuilles de leurs clients, passant de 40,7 % fin 2019 à 46,1 % fin mars. Les SCPI progressent légèrement de 3,8 % à 4,3 %.

Concernant l’encours sur les compte-titres, la part des espèces a progressé modérément, passant de 15 % à 18 % en 3 mois, au détriment des OPC (64,4 % fin 2019 contre 61,1 % fin mars), alors que la part consacrée aux produits structurés est restée stable (15,3 %). 

Volatilité et arbitrages

En termes d’arbitrages entre les classes d’actifs, il est intéressant de faire un zoom sur les réactions pendant la crise : deux périodes se sont succédées. Entre le 2 et le 15 mars derniers, des mouvements forts sont intervenus en faveur des fonds en euros, pour répondre aux besoins de sécurisation des CGP et de leurs clients, dans une période de très grande incertitude. Ceci s’est accompagné de désinvestissements massifs sur les fonds diversifiés : la décollecte s’est accélérée jusqu’à mi-mars avant de ralentir peu à peu.

A partir du 16 mars, Nortia constate des réinvestissements progressifs vers les fonds actions, délaissés la 1ère semaine de mars. Toutefois très vite, la dynamique a repris lors de la 2e semaine, et n’a globalement pas faibli, même lors de l’entrée en vigueur du confinement en Europe et aux États-Unis. La très grande majorité des flux bénéficie aux fonds actions européennes et internationales.

Face au regain de volatilité, et dès la mi-mars, les produits structurés ont bénéficié de flux d’investissement solides. De leur côté, les fonds obligataires n’ont pas connu de rebond marqué. Leur décolle reste significative depuis début mars 2020, avec une semaine particulièrement « noire » pour les fonds investis en obligations internationales entre le 9 et le 13 mars. La tendance à la décollecte ralentit, voire s’inverse. Quand la collecte est positive, elle reste très contenue.

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Assurance vie : Bourse Direct Horizon reçoit l’oscar 2020 du « Meilleur fonds euro-croissance »

La Rédaction
Le Courrier Financier

Bourse Direct — société de courtage en ligne française — annonce ce mardi 14 avril avoir été récompensée pour la 2e année consécutive d'un oscar pour son produit d’assurance vie. « Bourse Direct Horizon » remporte ainsi l’oscar du meilleur contrat d’assurance vie nouvelle génération décerné par le magazine Gestion de Fortune, dans la catégorie « Meilleur fonds euro-croissance »

Tous les ans, le jury des Oscars de l’assurance vie — composé de personnalités du monde de l'assurance et de la gestion privée, ainsi que de journalistes de Gestion de Fortune — récompensent ainsi les meilleurs contrats du marché.

Euro-croissance, ces fonds « nouvelle génération » 

Les fonds Euro-croissance sont complémentaires aux supports en unités de compte (UC) et aux fonds euros traditionnels. Le fonds « G Croissance 2014 » présent dans le contrat Bourse Direct Horizon propose une offre à la carte. L’investisseur choisit une durée d'investissement — entre 8 et 30 ans — et un niveau de garantie en capital au terme, entre 80 % à 100 %. Le capital investi est ainsi garanti à l'échéance fixée — net des frais de gestion qui s'élèvent à 1,20 % par an — à hauteur du niveau choisi.

« Dans le contexte très particulier dans lequel nous sommes actuellement — cumulant une extrême volatilité des marchés financiers et une crise sanitaire inédite — il est plus que jamais important que les épargnants puissent protéger leur épargne. Notre contrat d’assurance vie Bourse Direct Horizon offre une gamme complète de supports en unités de compte mais également un fonds euro-croissance et 2 fonds en euros. L’assurance vie se positionne comme un placement de long terme », explique Catherine Nini, Présidente de Bourse Direct.

Risques à prendre en considération

L'investissement sur les supports en unités de compte supporte un risque de perte en capital puisque leur valeur est sujette à fluctuation à la hausse comme à la baisse dépendant notamment de l'évolution des marchés financiers. L'assureur s'engage sur le nombre d'unités de compte et non sur leur valeur qu'il ne garantit pas.

L’investissement net de frais sur le fonds « G Croissance 2014 » supporte un risque de perte en capital en cas de désinvestissement avant l’échéance ou d’un niveau de garantie partiel, les montants investis sur le fonds « G Croissance 2014 » étant sujets à des fluctuations à la hausse ou à la baisse dépendant de l’évolution des marchés financiers.

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La Parole aux Assos’ – CNCGP (2/3) : Sommet BFM Patrimoine, loi PACTE et PER, fonds en euros

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Dans « La Parole aux Assos' », Le Courrier Financier vous présente l'actualité de la CNCGP en novembre 2019. Sommet BFM Patrimoine, loi PACTE et PER, fonds en euros... Dans ce 2e épisode, nous parlons événements et débats d'actualité. Où trouver des opportunités commerciales en 2020 ? Julien Séraqui, Président de la CNCGP, répond à nos questions.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Assurance vie : fonds en euros, un appel à la responsabilité

Antoine Delon
Linxea
Cet automne, de nombreux assureurs se préparent à introduire des barrières à l’entrée sur leurs fonds en euros. Ces supports restent pourtant plébiscités par les épargnants français, notamment dans les contrats d'assurance vie. Dans le contexte de marché actuel, quels rendements pouvons-nous attendre des fonds en euros ? Quel rôle vont-il continuer à jouer dans l'épargne des Français ? Antoine Delon, PDG de Linxea, partage son analyse.
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IFI : un impôt plus subtil qu’il n’y paraît

Elena Azria
Les Français s’apprêtent à connaître cette année de nombreux changements sur le plan de la fiscalité avec la mise en place de la « flat tax », l’augmentation de la CSG et la transformation de l’ISF en IFI. Très débattue l’an dernier, la réforme de l’IFI est l’une des plus intéressantes à analyser.
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