Élections Européennes : rien n’est moins sûr que l’incertain

Frédéric Rollin
Pictet AM
Les prochaines élections européennes se dérouleront fin mai 2019. Cet événement signe le retour du risque politique dans l'Union Européenne. Comment les populistes et les eurosceptiques vont-ils peser sur ce scrutin ? Quelles répercutions économiques les investisseurs doivent-ils anticiper ? Frédéric Rollin, conseiller en stratégie d’investissement chez Pictet AM, partage son analyse.
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Populisme Italien : Mario Draghi à la peine

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
Après l'Autriche, la Pologne, la Hongrie ou encore le Royaume-Uni, c'était au tour de l'Italie, dimanche dernier, de céder au populisme. Près de deux électeurs italiens sur trois ont voté pour un parti eurosceptique lors des dernières législatives. Mario Draghi s'est refusé à commenter le scrutin, et a continué de marteler que la devise européenne était irréversible.

L'Europe n'est pas le seul feu auquel soit confronté le banquier central. Face aux menaces de guerre commerciale et en réponse aux nouvelles mesures de Trump sur l'import, Mario Draghi s'est inquiété des effets du protectionnisme sur la croissance européenne.

C'est donc à bout de bras que le Président de la Banque Centrale Européenne est condamné à porter son continent, jusqu'à la fin de son mandat, en octobre 2019.
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Les élections italiennes déjà oubliées par le marché…

Hervé Goulletquer
Point de marché : étonnant ! Après les résultats décevants des élections italiennes le marché a réagi lundi comme attendu : les taux italiens se sont écartés de 4,1 points de bases des taux allemands et le MIB a sous-performé (­0,42% contre +0,83 pour l’Euro Stoxx). Des réactions qui restent néanmoins très modestes.
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