Marc Campi – Square Management : crédit immobilier, « la hausse des taux va se poursuivre »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce mardi 18 avril, l'Observatoire Crédit Logement/CSA publie les chiffres du crédit immobilier en France. Le recul production de crédit immobilier inquiète Bercy, qui envisage d'assouplir les critères d'octroi du HCSF. Que signifie la baisse actuelle de la production de crédit ? Comment y remédier ? Marc Campi, Partner chez Square Management, répond en exclusivité aux questions du Courrier Financier.
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Crédit immobilier : primo-accédants, les « laissés-pour-compte » du financement

Caroline Arnould
CAFPI
Quel a été l'impact des nouvelles normes d’octroi de crédit imposées par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) sur le marché du crédit immobilier ? Quelles conséquences pour les primo-accédants ? L'éclairage de Caroline Arnould, porte-parole de CAFPI.
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Pierre-Etienne Beuvelet – IN&FI Crédits : taux d’usure, « le mécanisme de calcul était devenu obsolète »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Le taux d'usure passe à 4 % à partir de mars 2023. Dans un contexte de hausse rapide des taux, il sera réévalué tous les mois jusqu'en juillet prochain — au lieu d'une fois par trimestre auparavant. Que penser de ce nouveau taux d’usure ? Peut-il participer à la relance du marché immobilier ? Pierre-Etienne Beuvelet, directeur et fondateur du réseau IN&FI Crédits, répond au Courrier Financier.
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Crédit immobilier : la CNCEF Crédit salue les avancées récentes de l’accès à l’emprunt

La Rédaction
Le Courrier Financier

CNCEF Crédit — association professionnelle agréée de courtiers et mandataires en banque et services de paiement — se félicite ce mercredi 8 février dans un communiqué des dernières mesures destinées à faciliter l'accès au crédit immobilier. Ces avancées sont le fruit d'actions et de concertations menées par différents acteurs de la Place, que CNCEF Crédit salue.

« Depuis plusieurs années, le métier de courtier en crédit a été chahuté et l'accès au crédit immobilier n'a cessé de se restreindre, jusqu'à atteindre une situation de quasi-blocage. Pour les Français qui souhaitent mettre un toit sur leur tête, l'étau devait se desserrer. Et pour les courtiers qui les accompagnent dans leur projet, il était nécessaire de voir leur métier se valoriser », déclare la CNCEF Crédit.

Décongestionner l'écosystème immobilier

L'association salue les avancées récentes menées de front par les différents acteurs qui représentent les courtiers — notamment les différentes associations représentantes, à savoir l'Anacofi IOBSP, l'APIC, La COMPAGNIE IOBSP, l'AFIB, la CNCGP IOB, le groupe CNCEF et le syndicat professionnel UIC. Elle remercie également les institutions et autorités qui ont œuvré pour qu'elles se concrétisent. Parmi elles, la Direction Générale du Trésor, la Banque de France et l'ACPR, qui ont prêté une oreille attentive aux difficultés des Français et de leurs conseils.

« La mensualisation temporaire du taux d'usure et la réaffirmation par Bruno Le Maire des pleins effets du mandat de recherche de capitaux sont de très belles perspectives. Ces mesures de bons sens doivent être évaluées dans la durée et étendues. C'est à ce prix que l'on décongestionnera vraiment l'écosystème immobilier. Nous souhaitons continuer à être, aux côtés des courtiers, en lien avec les autorités compétentes pour rassembler et valoriser ce formidable métier tout en favorisant les projets immobilier des Français » conclut Christelle Molin-Mabille, Présidente de CNCEF Crédit.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Crédit immobilier : Artémis courtage rachète AJN Courtage 

La Rédaction
Le Courrier Financier

Artémis courtage — entreprise de courtage en crédit immobilier et assurance emprunteur — annonce ce jeudi 24 novembre l’acquisition de son franchisé AJN courtage, courtier en crédit immobilier qui comptabilise 23 agences sur le territoire. Depuis 2009, Artémis courtage se développe avec une stratégie de croissance organique et externe, en investissant dans des entreprises fidèles à son esprit entrepreneurial. 

60 millions d'euros de CA

Cette nouvelle opération de croissance externe — la plus importante réalisée par Artémis courtage — lui permet d’atteindre un chiffre d'affaires de 60 M€ et 100 points de vente présents sur tout le territoire. Elle illustre également ses fortes ambitions pour devenir un acteur encore plus incontournable du courtage en crédit immobilier et assurance emprunteur. 

Avec l’acquisition de son franchisé AJN courtage, Artémis courtage intègre un acteur de premier plan. Créée en 2010, AJN Courtage, avec ses 23 agences réparties dans l’hexagone (12 en Pays de la Loire et Bretagne, 4 agences Île-de-France et 7 agences en Nouvelle-Aquitaine) et ses 103 collaborateurs, a réalisé en 2022, 1 milliard d’euros de crédits négociés et un chiffre d’affaires de plus de 12 millions d’euros (le plus important enregistré en 12 ans d’activité). 

Accompagner les épargnants

« L’ADN d’Artémis courtage nous a d’emblée séduits, nous sommes convaincus que ce rapprochement va nous permettre d’augmenter considérablement notre audience via la complémentarité de nos expertises et la notoriété d’Artémis courtage », déclarent Julien Ganne et Nicolas Peytavin, fondateurs d’AJN courtage

« Nous souhaitons la bienvenue aux talentueuses équipes d’AJN courtage, nos expertises et implantations combinées nous permettront de rester un leader sur le marché du crédit immobilier en France, dans un contexte agité où les Français sont en quête de conseils et de solutions pour les accompagner dans leurs démarches de financement », ajoute Ludovic Huzieux, co fondateur d’Artémis courtage.

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Courtiers en crédit : les associations réclament le maintien de la liberté de choix des emprunteurs

La Rédaction
Le Courrier Financier

Fin 2019, les tensions s'aggravent entre les banques et les intermédiaires en opérations de banques et services de paiement (IOBSP). Les associations de courtiers IOBSP ont publié ce vendredi 13 décembre un communiqué commun pour défendre la profession. Le document est co-signé par l’Association Française des Intermédiaires Bancaires (AFIB), l’Association NAtionale des Conseils FInanciers (ANACOFI IOBSP), la Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF Crédit), la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine (CNCGP) et La Compagnie IOBSP.

Les associations professionnelles déclarent réagir « face aux remontées d’informations nombreuses et factuelles de leurs adhérents, les conventions supprimées unilatéralement et souvent sans préavis, les refus de certains établissements bancaires de travailler avec les intermédiaires IOBSP, et la communication ouverte de certains établissements dénigrant le courtage ». Elles appellent au maintien de la liberté de choix des emprunteurs, et de leur capacité à trouver « les meilleurs produits ».

Libre choix des consommateurs

« Confrontées à des taux historiquement bas, à un poids réglementaire et financier de plus en plus lourd, les banques cherchent à restaurer leurs marges. Mais ces établissements maintiennent une posture commerciale offensive, en pratiquant des barèmes de taux toujours plus bas et en cherchant toujours à gagner des parts de marché. Il est donc paradoxal de constater que en parallèle, les mêmes établissements cherchent à limiter le rôle des intermédiaires, avec résiliation de conventions, en occultant totalement le rôle fondamental du courtier », déclarent les associations.

« Ce qui est en jeu est ni plus ni moins que la capacité pour les emprunteurs d’avoir accès à la totalité de l’offre du marché et de pouvoir faire jouer la concurrence, en crédit et en assurance du crédit. En cherchant à exclure les courtiers — par lesquels passent aujourd’hui 40 % de la production de crédit — c’est la liberté de choix des consommateurs qui est menacée. Plus de 10 000 professionnels, sur le terrain, guident et accompagnent ainsi les clients dans le maquis des offres », ajoutent-elles.

Défendre le rôle des courtiers

Face à ce constat, les associations représentatives de l’intermédiation bancaire veulent « agir collectivement auprès de toutes les instances et demander le respect de leur statut et de la loi. Accompagnateurs de croissance, les courtiers concrétisent les projets de leurs clients, en tenant compte de leurs profils et de leur connaissance de la matière financière ».

Elles entendent défendre le rôle des courtiers en crédit qui « par leur approche client pédagogique et personnalisée accompagnent leurs clients, dans la gestion de leur budget et de leurs projets de vie. Cette relation humaine repose sur une vraie création de valeurs ». En conclusion, elles souhaitent « le rétablissement de relations harmonieuses de partenariat avec les établissements bancaires dans le dialogue et la concertation dans l’intérêt des clients et d’une saine concurrence ».

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Assurance emprunteur : le Sénat adopte le droit effectif au changement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Sénat a adopté ce mercredi 23 octobre — dans le cadre d’un ordre du jour réservé au groupe socialiste et républicain — la proposition de loi qui renforce l'effectivité du droit au changement d'assurance emprunteur, à l’unanimité en première lecture. Cette proposition de loi a été déposée au Sénat par le sénateur Martial Bourquin (Socialiste et républicain – Doubs) et plusieurs de ses collègues. Elle tend à clarifier et renforcer l’information du consommateur sur le droit à résiliation de son assurance-emprunteur. 

Depuis les lois du 17 mars 2014 et du 21 février 2017, un emprunteur peut choisir librement l'établissement qui va l'assurer, à condition que le contrat d'assurance présente un niveau de garantie équivalent à celui proposé par l'établissement prêteur. L'emprunteur peut également tous les ans substituer un nouveau contrat d'assurance à un autre, grâce à un amendement de Martial Bourquin à la loi du 21 février 2017. Cependant, certaines banques et assurances recourent à des pratiques qui privent leurs clients de ce droit au libre choix de leur assurance emprunteur.

Renforcer les droits de l'emprunteur

Telle que modifiée par la commission des affaires économiques, sur le rapport de la sénatrice Élisabeth Lamure (Les Républicains – Rhône), cette proposition de loi prévoit de :

  • fixer une date unique d’échéance du contrat d’assurance-emprunteur, à savoir la date anniversaire de la signature de l'offre du prêt par l'emprunteur, sauf si ce dernier choisit d'en retenir une autre figurant sur son contrat d'assurance, et faire faire figurer cette nouvelle définition de la date d'échéance sur la notice remise par le prêteur à l’emprunteur (article 1er) ;
  • renforcer le dispositif d’information de l’emprunteur de son droit à résiliation et des délais qu’il doit respecter pour en faire usage, tout en renforçant les sanctions en cas de manquement par l’assureur à ses obligations d’information (article 2) ;
  • faire entrer en vigueur les dispositions des articles 1er et 2 quatre mois après la date de publication de la présente loi, y compris pour les contrats en cours à cette date.

En séance publique, les sénateurs ont adopté des dispositions contraignante pour les assureurs qui refusent une demande de substitution d’assurance présentée par un emprunteur. Ils doivent désormais présenter l'intégralité des motifs de refus et préciser les documents manquants.

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Les cahiers de la Maison de l’Epargne : Les emprunts forcés

Gérard Auffray
Aux larmes, épargnants ! De malheureux événements historiques ont marqué la collecte de l’épargne depuis plus d’un siècle : les emprunts forcés.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Sauver l’Italie, combien ça coûte ?

Stéphane Déo
Combien ça coûte de sauver l’Italie ? Beaucoup. Mais alors vraiment beaucoup !
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Les obligations en tant qu’amortisseur

Isabelle Mateos y Lago
BlackRock Investment Institute
Les emprunts d’État ont joué le rôle d’amortisseur au cours de la plupart des corrections des actions intervenues depuis la crise financière. En moyenne, les obligations ont en effet témoigné d’une corrélation négative.
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