Patrimoine financier : donation d’une somme d’argent avec réserve d’usufruit et abus de droit

Stéphane Jacquin
Lazard Frères Gestion
Donner une somme d’argent avec réserve d’usufruit n’emporte aucun dessaisissement pour le donateur qui reste en possession de la somme donnée. Le comité de l’abus de droit fiscal a considéré qu’une telle donation n’était pas abusive car elle faisait naître une créance dans le patrimoine du donataire. Plus d'éléments avec Stéphane Jacquin, Associé-Gérant, Responsable de l’ingénierie patrimoniale de Lazard Frères Gestion.
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Colloque Harvest Fidroit Quantalys — juin 2023 : Groupe Harvest, « Le patrimoine en question(s) »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Transmission de patrimoine, retraite complémentaire ou encore location meublée... Le 29 juin dernier à Paris, le Groupe Harvest organisait le Colloque Harvest Fidroit Quantalys 2023 « Le Patrimoine en Question(s) » — un événement à destination des professionnels de la gestion de patrimoine.
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Transmission de patrimoine : l’adoption de l’enfant du conjoint

Marion Capèle
Natixis Wealth Management
L'évolution des structures familiales complexifie la transmission de patrimoine. Comment procéder pour adopter l'enfant de son conjoint ? Qu'est-ce qui a changé depuis la réforme de l’adoption de février 2022 ? Le point avec Marion Capèle, Directrice Pôle Solutions Patrimoniales chez Natixis Wealth Management.
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Olivier Rozenfeld & Sophie Launay : rendez-vous au colloque Harvest-Fidroit le 2 décembre 2021

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Ce jeudi 2 décembre, le Colloque Harvest-Fidroit se tiendra à Paris sur le thème « Patrimoine des Français, la nouvelle donne ». L'événement s'adresse à tous les professionnels du patrimoine et de la finance. Quelle forme prend le rapprochement entre Harvest et Fidroit ?
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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EXCLUSIF / Contrôles fiscaux aux Etats-Unis : les causes et la stratégie à adopter

Marc Trost
Orbiss
Quelles sont les principales causes des contrôles fiscaux aux Etats-Unis ? A quelle fréquence se produisent-ils, et comment anticiper leur déroulement ? Les explications de Marc Trost, co-fondateur et associé d’Orbiss — cabinet d'experts-comptables spécialisés dans la croissance des entreprises aux USA — en exclusivité pour Le Courrier Financier.
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Crise sanitaire : comment se passe le contrôle fiscal ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Pendant la crise sanitaire, le cabinet d'avocats CMS Francis Lefebvre Avocats — spécialiste des affaires internationales — publie ce jeudi 2 avril un récapitulatif des mesures prises concernant la procédure de contrôle fiscal. Outre les annonces gouvernementales sur l’interruption des contrôles fiscaux, l’article 10 de l’ordonnance n°2020-306 du 25 mars 2020 relative à la prorogation des délais échus pendant la période d’urgence sanitaire et à l’adaptation des délais pendant cette période comporte plusieurs précisions.

Contrôles fiscaux suspendus temporairement

Conformément aux annonces gouvernementales, la mission de contrôle fiscal de la DGFiP est interrompue. Le ministre du budget a indiqué que la DGFiP était, pendant la période actuelle, au service des contribuables pour les aider dans leur démarches : remboursement de crédits de TVA, de crédits d’impôts, etc. Pendant toute la durée de l’état d’urgence sanitaire, l’Administration n’établira aucun acte de procédure de contrôle : ni envoi d’avis de vérification, ni demande d’informations, ni réponse aux observations du contribuable, etc.  

Des échanges restent toutefois possibles avec les services de contrôle pendant l’état d’urgence sanitaire. Selon les indications données par l’Administration, les services de contrôle restent a priori opérationnels. Ils exercent leur activité en télétravail et les contribuables peuvent échanger à distance avec eux sur les procédures en cours. Des entretiens téléphoniques peuvent avoir lieu à la demande du contribuable ou avec son accord.  

Conséquences sur les délais de prescription

Le droit de reprise de l’Administration se prescrit à l’expiration d’un délai de six ans en matière fiscale sauf délai plus bref ou plus long fixé par la loi. Le délai de prescription est réduit à trois ans pour les impôts directs d’Etat (IS, IR, IFI), la TVA et les taxes  sur le chiffre d’affaires et d’un an pour les impôts locaux. Il peut être porté à 10 ans dans certaines situations : activité occulte, détention d’avoirs financiers non déclarés à l’étranger.  

L’arrêt temporaire de la mission de contrôle fiscal se traduit par une suspension des délais de reprise de l’Administration : tous les délais de prescription sont suspendus pendant la période du 12 mars 2020 jusqu’à l’expiration du délai d’un mois à compter de la cessation de l’état d’urgence sanitaire, désignée comme la « période juridiquement protégée ». Cela concerne uniquement les périodes pour lesquelles la prescription est en principe acquise au 31 décembre 2020.  

Sauf prolongation, la fin de l’état d’urgence sanitaire est normalement prévue le 24 mai prochain, ce qui signifie que le délai de reprise de l’Administration est suspendu du 12 mars jusqu’au 24 juin, c’est-à-dire pendant plus de trois mois. A l’issue de la période de suspension, le délai de reprise recommencera à courir jusqu’à l’expiration du délai légal. Comprenez trois ans, six ans ou dix ans selon les cas.

La DGFiP disposera donc d’une période de plus de trois mois en 2021 pour procéder à des rectifications, au titre de périodes d’imposition qui auraient été normalement prescrites le 31 décembre 2020. C'est le cas par exemple pour l'année 2017. Ces rectifications pourront résulter de contrôles engagés en 2020 ou même en 2021, avant l’expiration du délai de reprise.  

Délais qui encadrent les procédures de contrôle  

Tous les délais de procédure prévus par la loi ou le règlement sont suspendus par application de deux principes. Premier principe, les délais qui avaient commencé à courir avant le 12 mars sont suspendus et recommenceront à courir à l’expiration de la période juridiquement protégée. Par exemple, une proposition de rectification a été reçue le 5 mars et le contribuable disposait d’un délai de 30 jours pour y répondre. Ce délai cesse de courir à compter du 12 mars. Il recommencera à courir pour une durée de 23 jours à compter de l’expiration du délai d’un mois, après la cessation de l’état d’urgence sanitaire.

Deuxième principe, les délais qui ont commencé à courir à compter du 12 mars 2020 ne courront qu’à compter de l’expiration de la période juridiquement protégée. Par exemple, une proposition de rectification a été reçue le 14 mars 2020. Le délai de 30 jours dont dispose le contribuable pour y répondre commencera à courir à l’expiration de la période juridiquement protégée soit, en l’état actuel du droit, le 24 juin 2020.

Autre exemple, l’Administration a reçu une réponse d’une administration fiscale étrangère le 20 mars 2020 à la suite de l’envoi d’une demande d’informations en décembre 2019. Afin de satisfaire aux conditions prévues par l’article L 188 A du LPF pour bénéficier d’une prorogation du délai de prescription, l’Administration doit informer le contribuable de la réponse reçue dans un délai de 60 jours. Ce délai d’information commencera à courir à l’expiration du délai d’un mois à compter de la cessation de l’état d’urgence sanitaire. 

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JIP 2020 – La retraite & l’union du droit et de l’économie financière

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Cette semaine, les 9e Journées de l'ingénierie Patrimoniale (JIP) se tiendront à Paris autour des thèmes de « La retraite » et de « L’union de l’économie financière et du droit fait la force du conseil ». Pensez à vous inscrire !
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Droit de la copropriété : la réforme exclut le plan pluriannuel de travaux, la FNAIM réagit

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le projet d’ordonnance portant réforme du droit de la copropriété — prévue par la loi ELAN — a été adoptée le mercredi 30 octobre en Conseil des ministres. Dans un communiqué publié le lendemain, la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) a salué une réforme « relativement équilibrée ». Elle déplore cependant la disparition du plan pluriannuel de travaux (PPT) obligatoire, une mesure « pourtant approuvée à l'unanimité par l'ensemble des acteurs de la profession et des associations de consommateurs ». Pour la FNAIM, c'est « une occasion manquée ».

Prévenir la dégradation des immeubles 

La mise en place obligatoire d’un plan pluriannuel de travaux (PPT) pour les copropriétés de plus de 15 ans a disparu du texte final de la réforme. La FNAIM regrette le retrait de cette mesure, qui aurait permis d’assurer une rénovation du bâti dans la durée. Le PPT aurait ouvert la voie à « une plus grande anticipation pour les copropriétaires, notamment grâce à l’obligation d’abonder les fonds travaux à hauteur de 2,5 % minimum du PPT », assure Jean-Marc Torrollion, Président de la FNAIM.

« Concrètement, cette mesure aurait permis de mieux prévenir la dégradation des immeubles et d’éviter des drames comme ceux de la rue d’Aubagne à Marseille (...) C’est pour les professionnels de la copropriété une réelle déception. Nous attendons les explications du gouvernement sur les moyens qu’il compte mettre en place pour lutter contre le délabrement de nombreux bâtiments », ajoute Jean-Marc Torrollion.

Régime unique et contrat socle

D'après la FNAIM, le maintien d’un régime unique de gestion de la copropriété est une mesure positive. Elle garantit une égalité des copropriétaires face au droit, quelle que soit la taille de la copropriété. Les petites copropriétés bénéficient cependant d’aménagements. « Le risque était de créer un régime de copropriété à deux vitesses, qui aurait pu engendrer une rupture en matière de services proposés aux copropriétés de 5 lots au plus ou bien 15 000 € de budget pendant 3 années consécutives en les faisant sortir de la gestion professionnelle », ajoute Jean-Marc Torrollion.

La réforme donne également la possibilité aux syndics de proposer un contrat socle. Cette mesure marque une avancée concrète pour les services proposés par le syndic, au-delà du contrat type qui limitait jusqu’alors cette possibilité. « Cela permettra au syndic de proposer aux copropriétaires toute une gamme de prestations répondant aux attentes et besoins des copropriétaires conciergerie, gardiennage, babysitting, dogsitting, etc. qui pourront-être autant d’éléments apportés au bien vivre au sein de la copropriété », précise Jean-Marc Torrollion.

Renforcement du rôle du conseil syndical

Le projet maintient la mise en concurrence obligatoire du syndic à chaque échéance, malgré les interrogations de la profession. Cependant, la FNAIM a obtenu que la mise en concurrence se place sous la responsabilité unique du conseil syndical. Le non-respect du processus par le conseil syndical n’aura aucune incidence sur la validité du contrat. « Cela permet au syndic de travailler avec sérénité et que sa mission ne puisse être remise en cause dans le cas où la mise en concurrence ne serait pas appliquée dans les délais », indique Jean-Marc Torrollion.

Le renforcement du rôle et des pouvoirs du conseil syndical sera un levier d’amélioration de la gestion des immeubles en copropriété. La FNAIM cite notamment le renforcement des pouvoirs du président du conseil syndical, et l’encadrement de la délégation des pouvoirs accordée au conseil syndical pour l’exécution de certaines décisions. Pour Jean-Marc Torrollion « Le conseil syndical reste dans son rôle et il n’a pas été donné suite à l’idée, évoquée pendant un certain temps, d’un conseil d’administration dans les grandes copropriétés qui ne correspondait pas à notre vision de la gestion des immeubles collectifs en France, et aurait remis en cause l’esprit de la loi de 1965, basé sur un fonctionnement « démocratique » de la copropriété ».

Plus de fluidité dans la gestion

De nombreuses dispositions présentes dans ce texte vont permettre de faire primer la gestion collective sur les intérêts particuliers. Objectif, assurer un fonctionnement plus fluide et plus efficace de la copropriété. Par exemple :

  • l’interdiction à la copropriété de faire obstacle à des travaux de mise aux normes handicapées sur les parties communes ;
  • la facilitation du vote par correspondance ;
  • la portabilité des documents dématérialisés lors de changement de syndic ;
  • l’obligation pour toutes les copropriétés gérées par un syndic professionnel d’ouverture d’un compte bancaire séparé ;
  • la mise en place de mesures facilitées pour le recouvrement des charges ;
  •  ou encore, l’abaissement des majorités afin de faciliter les prises de décisions.

« Bien que le pragmatisme l’ait emporté dans beaucoup des mesures et que cette réforme préserve les équilibres indispensables au bon fonctionnement de la copropriété, la FNAIM regrette le manque d’ambition dans certaines mesures pourtant essentielles, à l’image du plan pluriannuel de travaux », conclut Jean-Marc Torrollion.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Fiscalité : Arsene élit un nouveau Managing Partner

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Assemblée Générale des Associés d’Arsene — cabinet d'avocat indépendant, spécialisé en fiscalité — annonce l'élection, le 17 septembre dernier, d'un nouveau Managing Partner du cabinet. Denis Andres (47 ans) est avocat fiscaliste. Il a participé à la création d’Arsene, en 2004. Ces dernières années, Denis Andres était membre du Comité de management du cabinet, en charge de la politique des Ressources Humaines d’Arsene.

Denis Andres succède à Frédéric Donnedieu de Vabres, co-fondateur d’Arsene qui assurait les fonctions de Managing Partner depuis 2004. Ce dernier continuera d’exercer ses fonctions de Chairman du Board de Taxand, premier réseau international d’experts en fiscalité et présent dans une cinquantaine de pays, dont Arsene est membre fondateur.

Focus sur le cabinet Arsene

Créé il y a 15 ans, le cabinet Arsene a connu une forte croissance annuelle de son chiffre d’affaires. Il compte désormais 160 collaborateurs, dont plus de 140 avocats fiscalistes établis à Paris. Le cabinet intervient en conseil et en contentieux sur l’ensemble de la fiscalité : gestion fiscale des entreprises, fiscalité personnelle pour la clientèle privée, fiscalité immobilière, conseil en contentieux douaniers, prix de transfert, TVA, URSSAF, R&D et Crédit Impôt Recherche, ou encore taxes et contributions locales.

Particulièrement actif dès sa création sur le domaine du Corporate Tax, le cabinet a développé au fil des années une clientèle — tant française qu’internationale — d’entreprises de toute taille sur l’ensemble du territoire (CAC40, SBF 120, ETI, PME et startups). Arsene revendique la confiance de gestionnaires de fonds d’investissement et de dirigeants et entrepreneurs en matière de conseil fiscal patrimonial.

En 2019, dans le cadre de son développement, Arsene a annoncé notamment la création d’Arsene Innovation, offre de conseil dédiée au financement et à la performance de la R&D et de l’innovation, ainsi qu’à la transformation digitale des métiers de conseil. Outre des avocats fiscalistes, le cabinet a recruté des profils complémentaires — économistes, ingénieurs, codeurs, etc. — afin de répondre aux nouveaux enjeux fiscaux de ses clients à travers des outils innovants.

Focus sur Denis Andres

Arsene élit un nouveau Managing Partner

Denis Andres est Managing Partner du cabinet Arsene. Diplômé du Magistère Juriste d’Affaires DJCE à Montpellier (1996), il rejoint Arthur Andersen International en 1998. Par la suite, il participe à la création du cabinet Arsene en 2004, en qualité d’associé, au sein duquel il est membre du Comité de Management et du Conseil des Associés.

Denis Andres dispose notamment d’une expérience dans la gestion des enjeux fiscaux des opération de fusions et acquisitions, sur le marché et dans un environnement international. Il travaille sur les problématiques et la stratégie fiscale pour les dirigeants d'entreprise et les directions fiscales. Il conseille plus spécifiquement des clients dans les secteurs de l’audiovisuel, de l’énergie, du luxe ou encore du BTP.

Denis Andres les assiste également à l’occasion de contrôles et de contentieux fiscaux. Bon nombre de dirigeants lui confie également leurs enjeux de fiscalité personnelle. Enfin, il participe à l’animation des équipes Fusion/Acquisition et Private Equity au sein du cabinet et du réseau Taxand. Denis Andres est également membre de l’Institut des Avocats Conseils Fiscaux (IACF).

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Succession : la transmission de patrimoine dans de bonnes conditions

Albert d'Anthoüard
Les questions de succession sont souvent délicates, mais nécessitent d’être anticipées pour permettre une transmission de patrimoine dans de bonnes conditions. Droits de succession, abattements fiscaux, intérêts de l’assurance-vie : voici les grandes lignes à connaître. Est-il nécessaire d'épargner pour ses enfants ?
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