Soft Brexit / Hard Brexit : les (euro)sceptiques quittent le navire

Roxane Nojac
Le Courrier Financier
Quand la tempête gronde, l'adage veut que les rats quittent le navire. Si les négociations pour la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne semblent compliquées, elles s'orientent tout de même vers un "soft Brexit". Plébiscitée par le parlement et Theresa May, cette rupture relative, qui préserverait la proximité commerciale entre l'île et le continent, n'est pas du goût des euro-sceptiques. Boris Johnson et David Davis, respectivement Ministre des Affaires Etrangères et Ministre du Brexit, fervents partisans d'un "hard Brexit", ont rendu leur démission cette semaine, après que le gouvernement a donné son feu vert au soft Brexit. Mais dans le cas britannique, il semble bien que le gros temps soit au-dessus du radeau de fortune, et pas au-dessus du navire amiral...
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