Transition carbone des PME : Greenly rejoint France Invest

La Rédaction
Le Courrier Financier

Afin d'adapter les PME au monde bas-carbone de demain, Greenly — expert du bilan carbone — annonce ce mercredi 3 janvier rejoindre France Invest en vue de verdir le capital-investissement.

Décarbonner l'économie française

Asset Managers, fonds à impact et fonds de private equity sont d’accord : le KPI carbone prend une place grandissante dans le monde de la finance en servant le double objectif de trouver plus facilement des investissements et d’entamer une transformation du business model pour se désengager progressivement d'une trop forte dépendance à la combustion carbone. 

« Travailler avec les fonds d’investissement est un vecteur d’accélération massif pour décarboner l’économie française. Ils ont un grand pouvoir de diffusion et un rôle d’accompagnement de leurs PME dans l’engagement pour le climat, le grand combat du XXIe siècle », déclare Capucine d’Harcourt, Responsable de la Finance Durable chez Greenly.

Levier du capital-investissement

Comme France Invest, Greenly est convaincu que le capital-investissement peut servir de levier pour la transformation du business model des PMEs. Après deux ans d’accompagnement carbone de France Invest dont Greenly a réalisé le Bilan Carbone, elle rejoint la communauté pour agir aux côtés des fonds qui veulent engager leurs PME.

La climate tech apporte son expertise sur la réalisation de bilan carbone, le volet législatif et la stratégie de décarbonation à déployer. A ce jour, Greenly accompagne déjà plus de 80 fonds d’investissements qui activent le levier de la transition carbone. 

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Finance durable : Goodvest rejoint l’association FAIR

La Rédaction
Le Courrier Financier


Goodvest
— spécialiste des produits d’épargne alignés sur l’Accord de Paris — annonce ce lundi 18 décembre rejoindre l’association FAIR, spécialiste de la finance inclusive au service d’un meilleur impact social et environnemental. « Cette adhésion s’inscrit dans la continuité des engagements de Goodvest », déclare la fintech dans un communiqué de presse.

Etablissements financiers engagés

Avec cette adhésion, Goodvest s’intègre à une communauté d’établissements financiers engagés dans une démarche de solidarité (banques, sociétés de gestion et mutuelles d’assurance), d’entreprises solidaires et d’associations qui exercent une activité à forte utilité sociale et environnementale.

La startup rejoint un réseau où tous travaillent avec le même objectif : favoriser le retour à l’emploi et au logement pour les personnes exclues, et soutenir le développement durable. Goodvest rallie l’association pour apporter sa contribution à la promotion de la finance solidaire, partager son expertise, mais également apprendre et s’enrichir de l’écosystème.

Enjeux de finance verte et solidaire

En 2022, l’épargne solidaire ne représentait que 0,45 % de l’épargne financière des Français. Dans ce contexte, FAIR vise à sensibiliser le grand public aux enjeux de finance verte et solidaire. « C’est en toute logique que Goodvest, rejoint le réseau pour rediriger l’épargne des particuliers vers le financement de l’économie sociale, solidaire et durable », précise la fintech.

Depuis le lancement de ses premiers produits d’épargne en 2021, Goodvest a collecté plus de 45 M€. Ces fonds sous gestion participent à la transition écologique (énergies renouvelables, mobilité bas carbone, bâtiments durables, etc.) et au développement d’activités sociales et solidaires — par exemple les crèches intergénérationnelles Tom & Josette et les cafés inclusifs Café Joyeux.

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COP28 : Dubaï face au bilan carbone, la fin de la folie des grandeurs ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Du 30 novembre au 12 décembre prochains, la 28e Conférence de l’ONU pour le climat (COP28) se tiendra à Dubaï (Emirats arabes unis). Comment financer la transition énergétique ? Quelle place pour l'industrie pétrolière ? Le point avec Le Courrier Financier.
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Matthieu Silva Santos — Goodvest : COP28 et décarbonation, « certains secteurs sont incompatibles avec les objectifs de l’Accord de Paris »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Du 30 novembre au 12 décembre prochains, la 28e Conférence de l’ONU pour le climat (COP28) se tient à Dubaï (Emirats arabes unis). Quelles mesures pour décarboner l'économie ? Comment financer ce changement ? Matthieu Silva Santos, Directeur de l'offre et de l'ISR chez Goodvest, répond aux questions du Courrier Financier.
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Marché des cryptos : bitcoin, en attendant l’ETF

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Bientôt un nouveau rallye pour le bitcoin ? D'après un récent rapport d'Alliance Bernstein, l'année 2024 pourrait être très favorable à la reine des cryptomonnaies. Le point du Courrier Financier — avec les réponses exclusives de Thomas Romain, directeur commercial France chez Bitpanda.
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Finance durable : l’AMF publie un deuxième rapport sur le reporting taxonomie des sociétés cotées

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'Autorité des marchés financiers (AMF) publie ce lundi 20 novembre un deuxième rapport sur le reporting taxonomie des sociétés non-financières cotées. Ce document analyse la qualité des informations fournies par 31 sociétés non financières, en ce qui concerne l’éligibilité et l’alignement de leurs activités sur la taxonomie européenne.

Cette étude apporte un décryptage de la réglementation et met en avant de bonnes pratiques pour aider les sociétés à améliorer leur reporting — qui doit concourir à orienter les investissements vers les activités économiques durables. Ce document fait suite à une première analyse des reportings taxonomie des sociétés cotées publiée en novembre 2022.

Taxonomie européenne

Le règlement Taxonomie est un système européen de classification des activités économiques permettant d’identifier les activités considérées comme durables sur le plan environnemental. Le règlement et ses actes délégués dressent une liste évolutive d’activités « éligibles », c’est-à-dire susceptibles de contribuer aux objectifs environnementaux, et définit pour chacune d’elles les critères pour évaluer sa durabilité.

Une activité durable — c'est-à-dire « alignée » sur la taxonomie européenne — doit remplir trois conditions : contribuer à au moins un des six objectifs environnementaux européens, ne pas nuire aux autres objectifs et respecter des garanties minimales sociales et sociétales. Les sociétés qui publient des déclarations de performance extra-financières doivent communiquer sur le niveau d’éligibilité et, depuis 2023 pour les sociétés non financières, sur le niveau de durabilité de leurs activités selon la taxonomie.

Dans son étude, l’AMF a analysé les informations de 31 entreprises cotées non financières de taille et secteurs d’activité variés. La plupart de ces sociétés ont poursuivi les efforts engagés depuis le 1er janvier 2022 : la grande majorité d’entre elles a publié les différents indicateurs demandés accompagnés d’informations contextuelles. Les explications et les données chiffrées publiées paraissent cependant hétérogènes et peu comparables d’un émetteur à l’autre.

Quatre points de vigilance

Pour cette deuxième année de reporting, les informations fournies par les sociétés étudiées sur la nature de leurs activités éligibles sont dans l’ensemble satisfaisantes. Néanmoins, l’AMF souligne la nécessité d’expliquer l’évolution du taux d’éligibilité d’un exercice à l’autre, dans un contexte où près du tiers des sociétés ont par exemple identifié de nouvelles activités éligibles.

Les sociétés non financières ont communiqué pour la première fois en 2023 sur le taux d’alignement de leurs activités économiques sur la taxonomie en lien avec les deux objectifs d’atténuation du changement climatique et d’adaptation au changement climatique. Dans ce domaine, le rapport met en avant les principaux constats suivants :

  • la quasi-totalité des sociétés se sont limitées à analyser la contribution de leurs activités à l’objectif d’atténuation du changement climatique et ne prennent pas suffisamment en compte l’objectif d’adaptation au changement climatique. L’AMF souligne que l’analyse des contributions aux différents objectifs de la taxonomie est essentielle pour une bonne application de la réglementation ;
  • plusieurs sociétés ont choisi de renoncer à déclarer l’alignement de certaines de leurs activités pour cause d’incertitudes juridiques ;
  • peu d’entreprises ont identifié des plans d’investissements durables alors que cette information est importante pour rendre compte de leurs efforts de transition ;
  • près d’un tiers des sociétés étudiées ont présenté sur base volontaire des indicateurs alternatifs. C’est une possibilité à la condition de ne pas les mettre plus en avant que les informations règlementaires au risque d’induire en erreur le lecteur.

Promouvoir la finance durable

L’analyse des activités économiques éligibles et alignées soulève de nombreux enjeux méthodologiques et défis opérationnels pour les sociétés. Celle-ci ont souvent rencontré des problématiques d’accès à la donnée et d’incertitudes sur l’interprétation des critères techniques de la taxonomie, ce qui peut parfois expliquer un périmètre d’analyse réduit ou le recours à des estimations. L’AMF précise que les sociétés doivent davantage communiquer sur les limites et choix méthodologiques clés retenus dans l’élaboration de leur reporting.

La taxonomie a récemment été étendue à quatre nouveaux objectifs environnementaux qui devront être pris en compte à partir des prochains reportings en 2024 : des critères de durabilité spécifiques ont été définis pour les objectifs liés à la préservation de la biodiversité, à la protection des ressources marines et aquatiques, au développement de l’économie circulaire et à la prévention et au contrôle de la pollution. Un reporting complet des émetteurs permet aux autres acteurs des marchés financiers (gérants, assureurs, conseillers, etc.) d'intégrer à l’avenir la durabilité dans leur prise de décision et dans leur offre de produits financiers.

« Dans le cadre de ses orientation stratégiques 2023-2027, l’AMF s’est fixée pour priorité de promouvoir une finance plus durable. Nous veillons donc avec la plus grande attention à la qualité de l’information extra-financière qui est indispensable pour assurer la confiance des investisseurs. Les constats de ce rapport, riche en enseignements, permettront aux sociétés de poursuivre leurs efforts de communication sur la durabilité de leurs activités, » a déclaré Marie-Anne Barbat-Layani, la présidente de l’AMF.

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Climat : décarboner les entreprises américaines

Michael Lewis
DWS
Le thème de la décarbonation des entreprises américaines sera abordé lors de la New York Climate Week. L'adoption d'objectifs de réduction des émissions fondés sur des données scientifiques pourrait s'avérer utile. L'éclairage de Michael Lewis, Responsable de la Recherche ESG chez DWS.
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Décarbonation : Argos Climate Action boucle sa première levée de fonds à 120 millions d’euros

La Rédaction
Le Courrier Financier

Argos Wityu — groupe européen indépendant de capital-investissement — annonce ce mercredi 6 septembre qu’Argos Climate Action, son fonds dédié à la décarbonation des PME et ETI européennes, a bouclé sa première levée de fonds à 120 M€, soit 40 % de son objectif initial. Le fonds « Argos Climate Action » est classé SFDR 9. Il constitue la première pierre de la stratégie d’expansion de la plateforme Argos Wityu au-delà de ses fonds historiques Mid-market.

Grâce à cette nouvelle levée de fonds, Argos Wityu gère désormais 1,7 Md€ d’actifs. L’équipe d’Argos Climate Action se compose d’associés d’Argos Wityu de différents bureaux européens et aux profils complémentaires. Ils conjuguent une connaissance approfondie du Private Equity et une expérience et une expertise de haut niveau en matière de développement durable.

Décarbonation : Argos Climate Action boucle sa première levée de fonds à 120 millions d’euros
Caractéristiques du fonds Argos Climate Action
Source : Argos Wityu

Transition « Grey to Green »

Argos Climate Action capitalise sur les 30 années d’expérience d’Argos Wityu dans le Mid market européen. Cette stratégie de transition environnementale innovante a été conçue pour investir dans des entreprises à fort potentiel auxquelles la décarbonation significative des activités fournira un avantage compétitif durable.

Objectif, façonner des champions européens durables à travers une stratégie de transition « Grey to Green ». Cette dernière repos sur la conviction que financer la décarbonation d’entreprises du quotidien sera générateur de rendement financier important. L’objectif du fonds est de réduire de 7,5 % chaque année l’intensité carbone des entreprises en portefeuille tout en accélérant leur développement.

LBO Mid-Market européen

Bénéficiant du soutien d’institutions publiques, d’investisseurs institutionnels et de family offices, tous fermement convaincus de la nécessité de contribuer activement à la lutte contre le changement climatique sans faire de compromis sur les rendements financiers, Argos Climate Action offre une réponse à leurs attentes dans le domaine du LBO Mid-Market européen.

« Bon nombre d’institutions et de family offices passent désormais à l’action concrète face au changement climatique. Nos équipes et nos investisseurs ont travaillé dur à l’élaboration de cette stratégie et à l’aboutissement de cette première levée de fonds. Nous voici désormais pleinement opérationnels et impatients de faire émerger de futurs champions durables européens », déclare Louis Godron, Managing Partner chez Argos Wityu.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Distingo Bank se lance dans l’épargne responsable

La Rédaction
Le Courrier Financier

Distingo Bank — activité dépôts de Banque Stellantis France — annonce ce mardi 23 mai se lancer dans l'épargne responsable avec un nouveau compte à terme Green (2,5 %). Dans la continuité du plan stratégique de Stellantis, dans lequel le groupe s’engage à lutter contre le changement climatique, Distingo Bank s'adapte ainsi aux enjeux de mobilité durable.

Quel rendement pour cette épargne ?

L’épargne collectée dans ce nouveau Compte à terme Green contribue exclusivement aux financements de véhicules électriques des marques distribuées en France par le groupe, à destination des particuliers. Elle assure un taux de rendement performant aux épargnants.

Le Compte à terme Distingo Green propose ainsi un taux actuariel brut de 2,5 % à horizon 10 mois. Ce produit financier cible les épargnants particuliers qui souhaitent investir dans l’économie réelle et en faveur de la réduction des émissions de CO2.

Financer des véhicules électriques

« Ce nouveau produit est en parfaite adéquation avec la place qu’accorde le groupe Stellantis à la responsabilité éthique, dans l’objectif de garantir une mobilité durable pour tous et contribuer à renouveler le parc automobile français et réduire son impact carbone », déclare Sarah Zamoun, Responsable de l’activité Distingo Bank.

« Il réaffirme également la volonté de Distingo Bank de proposer une épargne performante au quotidien et utile à l’économie française. En contribuant au financement de véhicules électriques, nous restons fidèles à notre modèle grâce auquel les fonds épargnés par nos clients irriguent l’économie réelle », ajoute-elle.

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Décarbonation : Goodvest intègre la thématique solutions climatiques à son portefeuille d’investissement

La Rédaction
Le Courrier Financier

Goodvest — courtier en assurance et conseiller en investissement financier — annonce ce mardi 28 février le lancement d'une huitième thématique d’investissement : « solutions climatiques ». Dans ce cadre, la fintech a sélectionné le fonds « M Climate Solutions », développé par Montpensier Finance. Ce véhicule finance des entreprises européennes, américaines et asiatiques activement engagées en faveur de la transition écologique pour le climat.

« Nos clients auront désormais la possibilité d’investir leur assurance vie dans le fonds M Climate Solutions de Montpensier Finance, qui propose à ce jour l’approche la plus pure possible et la plus efficace sur la question de la transition climatique. En proposant le thème « solutions climatiques », nous voulons donner toutes les clés pour faire fructifier son épargne tout en contribuant à soutenir les entreprises porteuses de solutions : celles qui aident et aideront le monde à se décarboner », déclare Joseph Choueifaty, cofondateur de Goodvest.

Transition énergétique

Lancée en 2020, la société Goodvest propose la première assurance vie compatible avec l’accord de Paris sur le climat. Tous ses portefeuilles d’investissement sont alignés sur une trajectoire de réchauffement climatique de maximum 2 °C. Pour s’en assurer, la fintech s’appuie sur une méthode d’analyse extra-financière stricte qui la distingue des stratégies ISR classiques.

En pratique, Goodvest permet à ses clients de choisir entre sept thèmes d’investissement différents selon son profil de risque : transition écologique, emploi et solidarité, accès à l'eau, forêts, santé, pays émergents et innovations technologiques. Aujourd’hui, elle enrichit son offre afin de financer de nouveaux piliers de la transition énergétique.

Avec sa huitième thématique, « solutions climatiques », Goodvest veut permettre aux épargnants d’investir dans le développement des énergies renouvelables, le stockage d’énergie, la rénovation énergétique des bâtiments, les transports bas carbone, ou encore l’innovation dédiée à la valorisation énergétique des déchets.

M Climate Solutions

La thématique « solutions climatiques » inclut le fonds « M Climate Solutions » géré par Montpensier Finance. Objectif, sélectionner des entreprises internationales engagées dans la réduction de l’impact climatique. Le fonds retient trois vecteurs de la transition : l’énergie responsable, la préservation du capital terrestre et les transports efficients.

Ce fonds n’utilise pas la poche de diversification autorisée par le label Greenfin. Il est totalement investi dans des entreprises qui agissent sur la transition climatique. En outre, Montpensier Finance accompagne l’amélioration des pratiques RSE de ses entreprises en portefeuille, en favorisant une approche active de vote aux assemblées générales. Parmi les principales convictions du fonds M Climate Solutions, se trouvent :

  • Alfen (énergie responsable et transport efficient) : le leader européen des smart grids et bornes de recharge pour véhicules électriques, avec plus de 100 000 équipements installés.
  • Sunrun (énergie responsable), leader américain dans l'installation de systèmes solaires photovoltaïques et solutions de stockage d'énergie, principalement pour des clients résidentiels.  
  • Alstom (transport efficient), le fleuron français des transports ferroviaires ;
  • Vestas (énergie responsable), le leader mondial de l’éolien, qui représente à lui seul 24 % des éoliennes installées sur le territoire français.

Goodvest ne perçoit pas de frais de rétrocession des fonds avec lesquels elle travaille.

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