Face aux médias #1 – Réforme du courtage : quels enjeux pour les courtiers et leurs mandataires ? [1/2]

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Découvrez « Face aux Médias », la nouvelle émission de débat entre acteurs de la gestion de patrimoine lancée par Le Courrier Financier et Club Patrimoine. Dans ce premier épisode, nous abordons la Réforme du courtage. Qu’est-ce qui change pour les professionnels du courtage et de l’assurance ? Quels défis cette réforme engendre-t-elle pour les associations et leurs membres ?
Voir (<20 min.)

Julien Séraqui – CNCGP : rémunération des CGP, « le futur de l’économie européenne est en jeu »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En mars 2023, la CNCGP revient sur la Retail investment strategy (RIS) — la consultation lancée en mai 2021 par la commissaire européenne aux services financiers, Mairead McGuinness. Pourquoi la CNCGP recommande-t-elle de conserver les commissions ?
Voir (<4 min.)

Philippe Feuille – La Compagnie des CGP : « La rétrocession des commissions nous semble nécessaire »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
La Compagnie des CGP revient sur l'actualité de la profession au T1 2023. Dans le cadre de la future Retail investment strategy (RIS), la Commission européenne envisage de mettre un terme aux commissions. Pourquoi l'association défend-t-elle le modèle de rémunération français ?
Voir (<5 min.)

Marigny Capital renforce ses positions en Suisse

La Rédaction
Le Courrier Financier

Marigny Capital — solutions d’investissements pour une clientèle internationale de professionnels de la gestion — annonce ce mardi 15 juin renforcer ses positions en Suisse, avec la création d'un nouveau bureau. Baptiste Selton, nommé Directeur local, est en charge du développement de la filiale installée à Genève. Il est appuyé par deux autres collaborateurs.

Nouveau bureau à Genève

La Suisse est une place bancaire stratégiquement importante pour les acteurs de la finance en Europe. Elle représente une place sécurisée et attrayante pour les avoirs des investisseurs. « C’est un pays avec une tradition d’excellence dans les services financiers, et historiquement le premier marché sur lequel nous avons travaillé », explique Xavier Huttepain, co-fondateur de Marigny Capital.

La Suisse représente près d’un quart de la clientèle de Marigny Capital. « L’importance de ce marché pour Marigny Capital justifie aujourd’hui de nous y implanter, il est important pour nous d’être présent localement en Suisse afin d’être au plus près des besoins de notre clientèle. Il y a de forts enjeux de croissance », commente Xavier Huttepain.

« Ce bureau va gérer les secteurs-clefs de Genève, Lugano et Zurich. Notre objectif est de continuer à augmenter le niveau de service proposé à nos clients et donc, naturellement, d’élargir notre base de clientèle. D’ici fin 2022, nous souhaitons constituer une équipe de 6 à 7 personnes et doubler les actifs conseillés en local », ajoute-il. Jusqu’ici, l’activité suisse de Marigny Capital était gérée depuis Paris. Désormais, la partie franco-italienne est gérée par le bureau genevois, alors que la partie alémanique est encore partiellement gérée depuis le siège parisien.

Des vues à l’international

« Pour le moment, hormis la Suisse, notre volonté est de continuer d’irradier depuis Paris. Nous avons sur place des conseillers compétents de nationalités diverses qui travaillent avec la France, la Belgique, le Luxembourg, Dubaï et une partie des pays de l’Est dans les langues adaptées. Nous souhaitons également donner au bureau Suisse le temps de développer son activité et notre effort s’inscrit dans la durée(...). Naturellement, nous ne sommes pas fermés à l’idée de nous déployer davantage à l’international pour nous rapprocher de notre clientèle, notamment au Moyen-Orient. Nous explorerons ces possibilités à horizon 2023 », affirme Xavier Huttepain.

Activité soutenue en 2020 et 2021

Fondée en 2012 par Thomas Fonsegrive et Xavier Huttepain, Marigny Capital appuie son offre de service en matière de conception et de distribution de solutions d’investissements sur l’excellence du service rendu au client. Elle intervient auprès d’une clientèle internationale de professionnels de la gestion (sociétés de gestion, banque privées, family office, gérants indépendants, entreprises, associations) afin de les aider à créer de la valeur dans les portefeuilles.

Marigny Capital s’appuie sur son expérience et sa volonté d’innover pour proposer à ses clients des produits et conseils à forte valeur ajoutée. Pour ce faire, compétence technique, maîtrise des risques et de la règlementation, efficacité des équipes et suivi sur-mesure font partie de l’ADN de la société. Récemment, Marigny Capital a lancé MARCAP, une plateforme digitale pour ses clients.

Marigny Capital a traité plus de 5 milliards de nominal depuis 2013. En 2020, la société de conseil en investissement a lancé près de 800 produits par le biais de 25 émetteurs. Son équipe est aujourd’hui constituée de 20 collaborateurs basés entre Paris et Genève.

Lire (3 min.)

Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

Lire (3 min.)

La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

Lire (2 min.)

Crédit immobilier : l’accès se durcit, les associations appellent les IOBSP à la vigilance

La Rédaction
Le Courrier Financier

Les associations professionnelles représentatives des IOBSP — AFIB, ANACOFI-IOBSP, APIC, CNCEF Crédit, CNCGP et Compagnie des IOB — se sont de nouveau réunies le 15 mai 2020. Objectif faire le point sur les tensions constatées avec les partenaires bancaires et sur le resserrement des conditions d'accès au crédit des ménages.

Ce mercredi 27 mai, elles observent de façon unanime que malgré de nombreuses démarches entreprises auprès des autorités — Gouvernement, Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), Comité consultatif du secteur financier (CCSF) — les ouvertures au dialogue sont restées sans réponse.

Appel à la vigilance des IOBSP

« L'augmentation des refus bancaires ainsi que des situations contentieuses entre intermédiaires et prêteurs deviennent inquiétantes, dans un contexte où les synergies devraient au contraire aider à la reprise économique », indiquent les organisations professionnelles dans un communiqué.

Les différentes associations demandent à leurs adhérents de leur transmettre tous les cas avérés, faisant état de dérives manifestes, afin de constituer un dossier étayé qui pourrait être confié aux autorités.

Lire (2 min.)

Courtiers en crédit : les associations réclament le maintien de la liberté de choix des emprunteurs

La Rédaction
Le Courrier Financier

Fin 2019, les tensions s'aggravent entre les banques et les intermédiaires en opérations de banques et services de paiement (IOBSP). Les associations de courtiers IOBSP ont publié ce vendredi 13 décembre un communiqué commun pour défendre la profession. Le document est co-signé par l’Association Française des Intermédiaires Bancaires (AFIB), l’Association NAtionale des Conseils FInanciers (ANACOFI IOBSP), la Chambre Nationale des Conseils Experts Financiers (CNCEF Crédit), la Chambre Nationale des Conseils en Gestion de Patrimoine (CNCGP) et La Compagnie IOBSP.

Les associations professionnelles déclarent réagir « face aux remontées d’informations nombreuses et factuelles de leurs adhérents, les conventions supprimées unilatéralement et souvent sans préavis, les refus de certains établissements bancaires de travailler avec les intermédiaires IOBSP, et la communication ouverte de certains établissements dénigrant le courtage ». Elles appellent au maintien de la liberté de choix des emprunteurs, et de leur capacité à trouver « les meilleurs produits ».

Libre choix des consommateurs

« Confrontées à des taux historiquement bas, à un poids réglementaire et financier de plus en plus lourd, les banques cherchent à restaurer leurs marges. Mais ces établissements maintiennent une posture commerciale offensive, en pratiquant des barèmes de taux toujours plus bas et en cherchant toujours à gagner des parts de marché. Il est donc paradoxal de constater que en parallèle, les mêmes établissements cherchent à limiter le rôle des intermédiaires, avec résiliation de conventions, en occultant totalement le rôle fondamental du courtier », déclarent les associations.

« Ce qui est en jeu est ni plus ni moins que la capacité pour les emprunteurs d’avoir accès à la totalité de l’offre du marché et de pouvoir faire jouer la concurrence, en crédit et en assurance du crédit. En cherchant à exclure les courtiers — par lesquels passent aujourd’hui 40 % de la production de crédit — c’est la liberté de choix des consommateurs qui est menacée. Plus de 10 000 professionnels, sur le terrain, guident et accompagnent ainsi les clients dans le maquis des offres », ajoutent-elles.

Défendre le rôle des courtiers

Face à ce constat, les associations représentatives de l’intermédiation bancaire veulent « agir collectivement auprès de toutes les instances et demander le respect de leur statut et de la loi. Accompagnateurs de croissance, les courtiers concrétisent les projets de leurs clients, en tenant compte de leurs profils et de leur connaissance de la matière financière ».

Elles entendent défendre le rôle des courtiers en crédit qui « par leur approche client pédagogique et personnalisée accompagnent leurs clients, dans la gestion de leur budget et de leurs projets de vie. Cette relation humaine repose sur une vraie création de valeurs ». En conclusion, elles souhaitent « le rétablissement de relations harmonieuses de partenariat avec les établissements bancaires dans le dialogue et la concertation dans l’intérêt des clients et d’une saine concurrence ».

Lire (3 min.)

La Parole aux Assos’ – ANCDGP (1/3) : « Nous sommes contre la création d’associations de courtiers »

Philippe Loizelet
ANCDGP
Dans « La Parole aux Assos' », Le Courrier Financier vous présente l'actualité de l'ANCDGP. La Directive DDA impose aux courtiers des heures de formation obligatoires. Dans ce cadre, les associations de courtiers sont-elles nécessaires ? Quel rôle laisser à l'Orias et à l'ACPR ? Philippe Loizelet, Président de l'ANCDGP, répond à nos questions.
Voir (<4 min.)

La Parole aux Assos’ – CNCGP (3/3) : associations de courtiers et réforme du 3e usage du courtage

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Dans « La Parole aux Assos' », Le Courrier Financier vous présente l'actualité de la CNCGP en novembre 2019. Associations de courtiers, DDA et réforme du 3e usage du courtage… Dans ce 3e épisode, nous parlons du métier de courtier. Quel avenir pour le courtage en assurances ? Julien Séraqui, Président de la CNCGP, répond à nos questions.
Voir (<3 min.)

Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

Lire (2 min.)

Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

Lire (2 min.)

Qu’adviendra-t-il du dispositif dons ISF?

Charlyne Alloin
Macron l'avait déjà annoncé lors de la campagne présidentielle. La suppression de l'ISF (il deviendra un impôt sur le patrimoine immobilier), chamboule tout le dispositif de défiscalisation qui l'accompagne. Premières victimes : les PME, qui bénéficient actuellement du dispositif ISF-PME. Ce serait plus d'1 milliard d'euros de manque à gagner pour ces entreprises. Pourtant, il suffit de se pencher un peu sur la question pour se rendre compte que le dispositif dessert l'attractivité des PME auprès des investisseurs Français.
Lire (3 min.)

La Fondation Financière de l’Echiquier met le cap sur l’Europe

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Fondation prolonge ainsi sa mission auprès des personnes en difficulté dans les pays où La Financière de l’Echiquier (LFDE) est déjà présente en soutenant des projets associatifs favorisant l’accès au monde professionnel. Les trois premières associations soutenues sont Apprentis d’Auteuil en Suisse, Rock your life ! en Allemagne et Duo for a job en Belgique. De prochains développements sont également prévus en Espagne et en Italie.

Dix ans d’actions en France ont permis de distribuer 5 millions d’euros et de financer plus de 150 projets solidaires. 75% du budget de la Fondation proviennent du partage des frais de gestion de deux fonds, Echiquier Excelsior et Echiquier Agressor Partage – un mécanisme de partage précurseur, qui a valu à LFDE d’être élue, en 2013 et 2014, « Financier altruiste de l’année ». Les 25% restants émanent de dons privés.

« Cette ouverture à l’Europe amorce un nouveau chapitre de l’histoire de notre fondation, a déclaré Bénédicte Gueugnier, Directrice de La Fondation Financière de l’Echiquier. Elle a pour objectif de faire connaître et d’ancrer durablement les valeurs de l’entreprise dans les pays dans lesquels cette dernière s’implante, au-delà de son cœur de métier. Comme c’est le cas en France, les collaborateurs de LFDE s’impliqueront en prenant part à toutes ces nouvelles initiatives locales. »

« Nous sommes heureux et fiers de déployer avec plus d’intensité encore notre action philanthropique, partout où nous sommes présents. Cette belle initiative accompagne de façon naturelle les dernières avancées de notre projet de croissance et renforce notre engagement local. Je me sens profondément européen et j’avais à cœur de répliquer à cette échelle le travail formidable que nous menons en France depuis plus de dix ans », a ajouté Didier Le Menestrel, Président-directeur général de LFDE.

Lire (2 min.)