MAINFIRST

MAINFIRST est une boutique multi-investissements européenne indépendante avec une approche de gestion active. La société gère ses propres fonds communs de placement ainsi que des fonds spéciaux dans les classes d’actifs actions, obligations et portefeuilles multi-actifs.

Les équipes de gestion de portefeuille bénéficient d’une totale autonomie dans l’implémentation de leurs idées d’investissement et poursuivent avec cohérence leurs stratégies et philosophies d’investissement respectives.

Cette approche, associée à une culture d’entreprise authentique, constitue la base optimale pour générer de l’alpha et créer de la valeur à long terme pour nos investisseurs. Les aspects de durabilité sont explicitement incorporés à tous les fonds MainFirst et sont pleinement intégrés au processus de décision lors de la sélection active des titres. MainFirst combine ainsi l’expertise et la flexibilité de différentes équipes d’investissement avec les forces et les processus clairement définis d’une vaste plate-forme internationale.

Pour de plus amples informations (dont les mentions légales), veuillez consulter notre site internet www.mainfirst.com

Les fonds MainFirst sont distribués en France via notre partenaire FENTHUM, pour toutes informations veuillez consulter le site internet : https://www.fenthum.com/fr-fr/

Les dernières infos de MAINFIRST

PLUS HAUT POUR PLUS LONGTEMPS – LES TAUX D'INTÉRÊT : UNE DOUBLE PEINE POUR LES STRATÉGIES DE DIVIDENDES ?

Entre inflation et hausse des taux d’intérêt, les stratégies de dividendes font face à une double peine, mais elles n’ont cependant pas dit leur dernier mot. Thomas Meier explique comment elles résistent dans ce contexte et comment repérer les opportunités d’investissement solides et durables.

ÉDITORIAL PAR THOMAS MEIER

LIRE


INVESTIR DANS LE SECTEUR EN PLEINE CROISSANCE DU RECYCLAGE DES BATTERIES DE VÉHICULES ÉLECTRIQUES

mainfirst

PAR ADRIAN DANIEL, GÉRANT DE PORTEFEUILLE AU SEIN DE L’ÉQUIPE GLOBAL EQUITIES/ABSOLUTE RETURN MULTI ASSET

La récente adoption du règlement de l’UE sur les batteries va stimuler l’industrie du recyclage des batteries de véhicules électriques.  D’importants volumes de recyclage sont attendus dès 2027. Cependant, la possibilité pour les investisseurs à long terme de profiter des opportunités de croissance offertes par le recyclage des batteries est déjà présente.

Les perspectives pour le marché du recyclage des batteries sont positives. Le fondement de la croissance du secteur en Europe repose notamment sur le nouveau règlement de l’UE sur les batteries (BattVO), adopté en juillet 2023, qui est le premier texte législatif à adopter une approche basée sur l’ensemble du cycle de vie. Avec des réglementations relatives aux options de simple remplacement et à l’efficacité du recyclage, l’économie circulaire et donc les fournisseurs de services de recyclage de batteries seront renforcés. En principe, les dispositions prévues par l’ordonnance sur les véhicules hors d’usage et la loi sur les batteries stipulent déjà que les batteries usagées des véhicules électriques (appelées batteries industrielles) ne peuvent ni être mises en décharge, ni être incinérées.

Avec l’électrification croissante de l’industrie automobile, il est probable que…

LIRE LA SUITE

 


INVESTIR DANS LES MARCHÉS ÉMERGENTS : EFFORT VAIN OU OPPORTUNITÉ INTÉRESSANTE ?

mainfirst

PAR CORNEL BRUHIN, GÉRANT DE PORTEFEUILLE AU SEIN DE L’ÉQUIPE EMERGING MARKETS/CORPORATE DEBT

De nombreux pays émergents produisent des produits de base. Le Brésil se distingue à cet égard. Il produit de tout, des métaux au sucre, en passant par le café, le jus d’orange, les fruits, le soja, les céréales, les métaux précieux et le pétrole. Il a excellé dans chacun de ces cycles. Non seulement les cours des actions se sont multipliés, mais la monnaie s’est aussi fortement appréciée. Entre 2001 et 2011, le real brésilien s’est apprécié de 100 % par rapport au dollar américain. Les écarts de risque des obligations se sont considérablement réduits et la note du Brésil a été relevée de BB à BBB- par les agences de notation.

Oui, les 12 dernières années ont été difficiles pour les actifs des marchés émergents. De nombreux investisseurs se sont retirés parce que la volatilité des actifs était trop élevée et que la performance finale était plutôt médiocre, en particulier par rapport aux actifs technologiques. Les produits de base ont subi une forte correction au cours de cette période que l’on peut éventuellement considérer comme une perte de temps.

LIRE LA SUITE

 


OPPORTUNITÉS ET RISQUES DU CHANGEMENT DÉMOGRAPHIQUE

ÉDITORIAL PAR L’ÉQUIPE GLOBAL EQUITIES

Mainfirst

La Chine a longtemps été le pays le plus peuplé, mais l’Inde devrait la dépasser cette année. L’Allemagne et surtout le Japon connaissent une évolution inverse. La population de ces deux pays décline et vieillit en raison des migrations. Alors que l’Inde lutte contre le chômage des jeunes, les entreprises allemandes et japonaises se plaignent de la pénurie de main-d’œuvre qualifiée. L’équipe Global Equities/Absolute Return Multi Asset examine la manière dont cette situation pourrait évoluer et les implications possibles pour l’avenir.

LIRE LA SUITE

 


LES DIVIDENDES NE CONNAISSENT-ILS PAS LA CRISE ?

ÉDITORIAL PAR L’ÉQUIPE GLOBAL DIVIDEND

MAINFIRST

Ces dernières années n’ont pas été de tout repos pour les investisseurs à travers le monde. Nous avons été touchés par plusieurs crises simultanées, et les années à venir nous réservent également de nouveaux défis. C’est dans ce contexte que nous souhaitons examiner de plus près l’hypothèse selon laquelle les valeurs à dividendes font preuve de résistance face aux crises.

La situation politique et économique dans laquelle nous nous trouvons actuellement peut être qualifiée de polycrise. En l’espace de quelques années, nous avons connu…

LIRE LA SUITE

 


LES VALEURS DE CROISSANCE - DU BOOM À LA DÉBÂCLE

ÉDITORIAL PAR L’ÉQUIPE GLOBAL EQUITIES / ABSOLUTE RETURN MULTI ASSET 14.03.2023

AMBIANCE MOROSE

Après une année 2022 particulièrement médiocre, la majorité des investisseurs semble nourrir un scepticisme sain à l’égard des valeurs de croissance. Certains vont même jusqu’à comparer la situation actuelle avec la bulle internet survenue il y a une vingtaine d’années. De nombreuses entreprises qui, au début de la pandémie, se plaignaient encore d’une pénurie de spécialistes en informatique, suppriment désormais des postes. Ainsi, de nombreuses plateformes tech ont déjà annoncé des licenciements, par exemple Microsoft 10.000, Alphabet 12.000 et Amazon 18.000. Compte tenu du fait que les trois entreprises citées ont enregistré des chiffres d’affaires record en 2022, ces mesures pourraient être considérées comme un signal annonçant un environnement moins favorable à l’avenir. Mais les perspectives de croissance actuelles sont-elles réellement si désastreuses, ou sommes-nous en présence de l’exemple parfait d’un cycle du porc, qui recèle dès à présent de belles opportunités pour les investisseurs ? Pour pouvoir en juger, il faut d’abord replacer la situation dans son contexte historique.

LIRE LA SUITE

 


L'EUROPE, UN CONTINENT EN PERTE DE VITESSE OU UNE OPPORTUNITÉ D'INVESTISSEMENT ?

mainfirst

ÉDITORIAL PAR ALEXANDER DOMINICUS

Le S&P 500 a surperformé le STOXX Europe 600 (Net Return) EUR de plus de 400 % depuis le creux de la crise financière en mars 2009. Cette année encore, le marché boursier américain est en avance sur l’Europe, mais des signes de rattrapage sont perceptibles. Les marchés européens ont enregistré des performances nettement supérieures ces derniers mois et il y a de bonnes raisons de penser que cette tendance se poursuivra.

L’Europe a traversé une décennie difficile. Après que les banques aient survécu à la crise financière, en gardant toutefois quelques séquelles, s’en est suivie la crise de l’euro. Le Royaume-Uni a voté sa sortie de l’UE en 2016 et cette année aura été marquée par la guerre en Ukraine, les taux d’inflation les plus élevés depuis l’introduction de l’euro et les craintes relatives à l’approvisionnement en énergie.

Malgré tout, les Européens ont réussi à…

LIRE LA SUITE

 


L'INNOVATION, UN FACTEUR DE CROISSANCE

ÉDITORIAL PAR L’ÉQUIPE GLOBAL EQUITIES / ABSOLUTE RETURN MULTI ASSET

 

L’innovation a toujours été l’un des principaux moteurs de la croissance économique et un pilier des évolutions de demain. L’année 2022 a été marquée par une série d’événements et de situations imprévus partout dans le monde.

La guerre en Europe, véritable crise humanitaire, suscite non seulement la peur et l’effroi, mais accélère également la transition vers les énergies renouvelables (notamment en Europe). Malgré des pénuries d’approvisionnement persistantes, l’industrie des semi-conducteurs gagne de plus en plus en importance et, au-delà des conflits d’intérêts politiques, celle-ci recèle un potentiel considérable sur le plan du développement. En particulier sur les marchés incertains actuels, les entreprises innovantes peuvent s’imposer comme de nouveaux leviers de valeur et provoquer un changement structurel fondamental dans leur secteur.

D’une part, l’environnement économique et politique est actuellement marqué par…

LIRE LA SUITE

 


MARCHÉS ÉMERGENTS – PARÉS POUR SURPERFORMER

PAR ANDRANIK SAFARYAN

Cette année, les marchés émergents (ME) sont sous les feux de la rampe. Depuis le conflit entre la Russie et l’Ukraine jusqu’à l’imposition d’importants confinements en Chine en avril, qui ont perturbé les chaînes d’approvisionnement mondiales, les marchés émergents ont retenu l’attention des investisseurs tout au long de l’année. Nous pensons qu’à l’avenir, de nombreuses économies émergentes bénéficieront davantage de la situation macroéconomique et de la dynamique des marchés des matières premières que les marchés développés (DM). Nous privilégions l’Amérique latine et plusieurs exportateurs de matières premières au Moyen-Orient et en Afrique. À notre avis, les sociétés exposées aux matières premières dans ces régions du monde peuvent constituer une couverture adéquate pour les investisseurs dans le contexte actuel, grâce à l’amélioration de leurs flux de trésorerie.

Malgré de nombreuses incertitudes, les marchés émergents sont plus forts aujourd’hui que lors du taper tantrum en 2013.

Alors que l’Europe est confrontée à une crise énergétique et à une inflation croissante, et que les États-Unis vont inévitablement ralentir face au resserrement monétaire agressif de la Fed, les marchés émergents seront …

LIRE LA SUITE

 


EN ATTENDANT L’ANNÉE DU LAPIN : QUELLES MESURES LES AUTORITÉS CHINOISES DÉPLOIENT-ELLES POUR ASSURER UNE REPRISE AU SECOND SEMESTRE ?

Mainfirst

PAR ANDRANIK SAFARYAN
La Chine a connu de multiples développements depuis le début de la crise du Covid. Les marchés d’actions chinois ont atteint un sommet en février 2021, gagnant plus de 40% par rapport à 2020 grâce à une gestion efficace de la pandémie. Les investisseurs ont ensuite dû faire face à un tour de vis réglementaire à l’encontre de secteurs tels que la technologie, l’enseignement privé et l’immobilier, sous l’effet duquel les marchés d’actions ont aujourd’hui cédé la quasi-totalité de leurs gains précédents. Quels outils budgétaires et monétaires le gouvernement emploie-t-il désormais pour stimuler l’économie ?

LE TEMPS DES FORTES HAUSSES DE PRIX EST DERRIÈRE NOUS

mainfirst

ALEXANDER DOMINICUS

Au cours de ces douze derniers mois, de nombreuses entreprises ont bénéficié d’un pouvoir de fixation des prix qu’elles n’avaient plus connu depuis des décennies. Même les entreprises qui, en raison de leur secteur, ont habituellement du mal à imposer des augmentations de prix sont parvenues à le faire. Cette parenthèse va toutefois se refermer dans les douze prochains à venir. Voici le constat d’Alexander Dominicus, gérant de portefeuille des fonds MainFirst Top European Ideas Fund & MainFirst Germany Fund.

 » De nouvelles hausses de prix seront désormais de plus en plus difficiles à appliquer et, si elles le sont, celles-ci ne seront que modérées « , poursuit Dominicus. « Cela a des conséquences sur l’inflation, laquelle va baisser progressivement au cours des douze prochains mois ».

Les conditions pour les entreprises de production n’ont pas été faciles, même après le ralentissement de la pandémie de coronavirus. Bien que la demande ait repris, des effets négatifs ont fait leur apparition. D’une part, les chaînes d’approvisionnement tendues, mais d’autre part aussi la hausse des prix des intrants.  » La combinaison d’une offre limitée face à une demande élevée a fait grimper les prix « , analyse l’expert. « Il a également fallu répercuter la montée significative du coût des matières premières. Ceci a bien fonctionné et a entraîné de fortes hausses de prix. Nous avons également vu ces effets se répercuter fortement sur le taux d’inflation ».

Mais les circonstances pourraient désormais changer rapidement. L’incertitude est grande et la conjoncture pourrait s’affaiblir. Cela pèse également sur la demande, un phénomène que l’on peut déjà observer auprès des consommateurs. En parallèle, les prix des matières premières ont parfois chuté de manière drastique au cours des dernières semaines et des derniers mois. Cette évolution allège les coûts des entreprises de production et les hausses de prix deviennent de moins en moins urgentes pour les entreprises concernées. « Il devient de plus en plus difficile pour les entreprises d’imposer des hausses tarifaires, car la baisse des prix des matières premières les prive d’un argument important pour pouvoir le justifier auprès des acheteurs », explique Dominicus.

La conséquence de tout cela sera une baisse successive des taux d’inflation au cours des douze prochains mois. Il s’agit d’une bonne nouvelle pour le marché des actions, car cela soulagera les banques centrales de la pression qui s’exerce sur ces dernières en vue d’un resserrement encore plus drastique des taux d’intérêt.  » En cas de léger ralentissement de la conjoncture associé à une baisse des taux d’inflation, il est probable que les marchés actions atteignent bientôt leur niveau plancher « , résume Dominicus. Les valeurs secondaires, notamment, qui ont connu une baisse plus importante, pourraient offrir un potentiel de rattrapage considérable.


ÈRE DE L'INFORMATION : LA PROCHAINE ÉTAPE EST SUR LE POINT DE COMMENCER

MAINFIRST

Après la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis et la pandémie de Covid-19, la guerre en Ukraine constitue le prochain revers pour la mondialisation de l’économie. La perturbation et l’engorgement des chaînes d’approvisionnement en matières premières sont susceptibles d’entraîner des hausses de prix drastiques. Dans les secteurs qui dépendent largement de produits externalisés, tels que la construction automobile, les chaînes de production se retrouvent parfois même totalement à l’arrêt. Les gouvernements et les entreprises sont contraints de réagir à ces nouvelles circonstances. L’an dernier, les États-Unis ont annoncé qu’ils allaient soutenir la production nationale de semi-conducteurs, à hauteur de plus de 52 milliards de dollars. Les fabricants d’articles de sport, tels que Nike ou Adidas, doivent également élargir leur base de production pour diminuer leur dépendance vis-à-vis de pays comme le Vietnam ou l’Indonésie, qui ont été particulièrement touchés par les confinements régionaux. De nombreuses entreprises allemandes subissent également les effets de la guerre en Ukraine. Thyssen Krupp, à titre d’exemple, a besoin de nickel pour la production de son acier inoxydable, qui provient en grande partie de la Russie. Mettre en place des sources d’approvisionnement alternatives prend du temps, mais signifie aussi des prix plus élevés. La fiabilité des voies d’acheminement et l’amélioration de la sécurité des approvisionnements sont désormais à l’ordre du jour pour de nombreux secteurs. La hausse des coûts de transport, due à l’augmentation des prix de l’énergie, entraîne une hausse des prix, tout comme la hausse des frais de stockage et la diminution de la production dans les pays à bas salaires. Autrement dit : il s’agit là d’un renversement de la mondialisation. La conséquence de cette évolution se traduit par des pertes en termes d’efficacité et, donc, par une hausse des prix à la consommation. Les entreprises qui ne peuvent pas répercuter ces prix plus élevés sur les consommateurs devront, à moyen terme, mettre la clé sous la porte. Les guerres ont généralement un effet inflationniste. Elles favorisent le protectionnisme et augmentent les dépenses publiques par des renforcements militaires improductifs. Aujourd’hui, l’Europe se dirige exactement dans cette direction. La baisse de croissance due aux manques d’efficacité, associée à la hausse des prix et des dépenses militaires, entraîne une perte de prospérité pour les Européens.

LIRE LA SUITE

 


L'OMBRE PORTÉE DE LA GUERRE

 

Mainfirst

PAR THOMAS MEIER ET CHRISTOS SITOUNIS

L’économie mondiale et le secteur des entreprises sont actuellement confrontés à de nombreux problèmes : la pandémie qui perdure, la fragilité des chaînes de valeur, des taux d’inflation élevés, le resserrement monétaire et la guerre en Ukraine. Individuellement, ces problèmes entraînent déjà des perturbations, mais leur cumul génère un environnement complexe et hostile. Dans cette situation économiquement tendue, il est d’autant plus important de recourir à une approche fondamentale et de sélectionner les entreprises qui sortiront renforcées de la crise.

 

LIRE LA SUITE